« Ils » ne viendront pas avant 20h45, je les attends plutôt pour 21h. On aura presque une heure devant nous pour tout préparer. La miss s’est rapidement changée. Enfiler des bas noirs, mettre ses chaussures à talons, revêtir sa microjupe en latex noir est l’affaire de quelques minutes. . Un haut noir complète avantageusement l’ensemble…Elle est parfaite dans sa « tenue de combat ». Bien entendu, je lui ai immédiatement enlevé sa culotte, elle n’en portera plus de la soirée. Les préparatifs me prennent une demi-heure, il nous reste du temps pour nous..

Elle a senti que je bandais. Instinctivement, elle avance la main.. Je me dégrafe…donne ma pine turgescente à la bouche vorace.. Elle n’attend que ça, ne demande que ça .. Une bonne prise en bouche, une bonne bouche-ventouse pour me faire durcir encore plus.. « Allonge-toi sur le canapé » ai-je dit  « écarte tes belles cuisses, je vais t’en mettre un petit coup ».

 Bien sûr, elle obéit dans l’instant. Je pose ma langue sur sa chatte qui sent si bon..

Elle a fermé les yeux et murmure dans un souffle : « depuis le temps que je l’attends cette caresse… ».

La fente est déjà moite, le trou chaud et palpitant…Quelle bonne mouilleuse !

Je ne prends même pas le temps d’enlever mon pantalon, me contente de l’abaisser sur mes genoux, pour la prendre au plus vite. En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, je prends possession du trou, j’enfile progressivement la connasse qui gémit…Je l’ai bien dressée : plus aucune révolte ni protestation. Elle se fait prendre à la lumière du jour et ne s’en rend même plus compte. Pas de musique non plus alors que je sais qu’elle s’en passe difficilement. Non. Le silence. Les gémissements. La baise à l’état pur.

Je la lime bien, la baise à fond. Surtout : me retenir ! car la soirée risque d’être longue.. Cette queue bien dure qui la perfore la rassure, me rassure. Déjà ça de pris. Dans la frénésie, je n’ai même pas enlevé mon jean et c’est une erreur : alors que je la baise agenouillé, mon genou appuie sur quelque chose de dur. Je m’apercevrai plus tard que c’est mon téléphone portable dont je viens moi-même de casser l’écran LCD…peu importe.

 Je n’ai qu’une envie. Baiser cette bonne salope. Les voilà, « ils » arrivent. On a eu le temps de bien baiser. Je range mon objet luisant et toujours dur dans mon boxer. Elle rabaisse juste sa jupe et s’assied sur le canapé, elle attend sagement, la chatte ouverte, la chatte trempée, elle attend sagement ceux qui vont venir la baiser.