Ce qui va suivre pourra choquer même les habitués des pires turpitudes ..
Quand la pulsion est là, le style de mon homme se fait échevelé, haletant, dionysiaque, excessif et donc imparfait, outrancier, voire vulgaire.
C'est pourtant d'abord avec ses mots qu'il a su me séduire, m'intriguer, me troubler ...
Ce récit représentait pour lui la fin de ses problèmes, de sa déprime, comme il me disait "l'usine à rêves, grace à toi mon ange, va tourner pendant deux ans au moins!"
Il s'avérera, hélas, que j'aurais travaillé pour deux mois seulement, je n'y ai gagné qu'une jolie bague maintenant dérisoire, et beaucoup de larmes ..
La rançon du péché, en somme ...
« Laissez venir à moi les deux soumises ! » Je les prends chacune par la main et les entraîne à ma suite…
Je fais asseoir les deux miss sur le canapé et entrave chaque cheville avec un bracelet en cuir, ce qui me fait répéter l’opération quatre fois…
Comme la fois précédente, je fais agenouiller Naty sur la moquette. Mais j’ai pris soin d’inverser la position des deux femmes, Naty aura cette fois le visage tourné vers le fond de la pièce puisqu’il est prévu que je prenne Violette en photo. Au tour de Violette donc. « A genoux ! » je lui ordonne. Je la place dos à dos contre naty, lui demandant de reculer les jambes jusqu’à ce qu’elles s’intercalent entre celles de Naty.
J’hésite ensuite à mettre une cagoule à Naty, comme je l’avais prévu, et en plein accord avec Guy.
A la réflexion, j’aurais dû, ce qui m’aurait permis de la photographier « plein pot ». D’un autre côté, c’eût été la priver du plaisir visuel une bonne partie de la soirée (la cagoule étant totalement aveuglante). Sans doute inconsciemment une certaine culpabilité de ma part, peut être parce que je l’avais beaucoup délaissée la séance précédente)…
Ensuite, je fixe les chevilles deux à deux par des mousquetons. Pour compléter la contrainte, il ne reste plus qu’à menotter les poignets des voisines ensemble. Les voici soudées l’une à l’autre, il leur est impossible de s’échapper… Je prend aussitôt des photos de cette position de contrainte que nous appellerons « double chienne »…
Pour ajouter à la solennité du moment, je passe en boucle « Enigma » de Sadness. Je me recule, fasciné, émerveillé. L’esthétique de la position et une gratitude infinie envers ces deux femmes qui me permettent de réaliser ce fantasme. En sachant aussi que ce n’est que le hors d’œuvre. Une chose est de contempler ces chiennes. Ca sera(serait ?) tellement mieux de les consommer…
Très vite, Guy se désape, fourre sa bite dans la bouche de Violette. Stéphane, qui jusqu’ici assistait passivement à la scène, plonge ses mains entre les deux croupes dénudées, et caresse les deux salopes par en dessous, chaque main s’occupant d’une chatte. C’est un régal de les entendre soupirer de concert, gémissements synchrones des deux chiennes…
Pour ma part, je mitraille à tout va. Depuis l’arrivée de Guy et Naty, je ne bande plus. Ca me rappelle un peu trop le 31 mars.. Bis repetitat ?
La bouche de Violette étant maintenant libre, j’y enfourne ma bite à moitié molle…Elle a dû penser : « ça y est, ça recommence »…La malédiction recommence, c’est ce que je me suis dit aussi…Mais il était dit que ça ne recommencerait pas. A chaque succion de mon adorable salope, mon érection s’améliore… On procède à un échange, Guy pour Violette et moi dans la bouche de Naty tout juste libre… »oui, vas-y, suce-moi bien ! » je l’encourage. Je me tourne vers Guy : « elle suce bien, ta femme ! » « oui » répond-il, « c’est une excellente pipeuse » . Un coup d’œil sur ma bite dressée le rassure. Je replonge dans la bouche de Naty. Elle a une petite bouche, juste assez large pour ma queue.
Pris d’une soudaine euphorie, je me mets à chantonner sur la musique, rempli d’une joie sauvage, tout en me branlant dans la bouche de cette dépravée. « too late to apologize, too late ! ». Trop tard pour s’excuser en effet.. et s’excuser de quoi ? les mains entravées, les femelles n’ont que leur bouche à donner. Il suffit de rentrer nos queues et aller à notre rythme. Je veille à ce que Violette garde ses mains en arrière, pour éviter l’inconfort de sa voisine !
Stéphane veut maintenant sa part du gâteau. Il s’approche bite dressée de la bouche de Violette. Vite, mon appareil photo ! la queue noire s’enfonce au maximum, bite énorme qui grossit encore, qui n’attendait que la chaleur nouvelle du gosier pour s’expandre.. Elle gémit d’excitation, ma pouffiasse, hoquète de surprise…Plus tard, elle manquera s’étouffer, prise d’un haut le cœur, un vrai réflexe nauséeux , tant la bite s’enfonce dans sa gorge et prend toute sa place… Une longue fellation, et la black décide de changer de bouche…Chacun a fait le tour des deux femmes… « C’est chaud ! » s’exclame Guy, en train de se faire pomper par Violette. Je vais vers lui, vaguement inquiet. La climatisation ne convient pas à Naty ? « Tu veux que je pousse la clim ? »
Il éclate de rire : « Non, je parle de l’ambiance ! c’est chaudement sexuel ! »
Je pousse un soupir de soulagement, toujours peur des problèmes d’intendance…regardant sa femme sucer Stéphane, Guy, qui n’en est pas à une mauvaise idée près, s’approche d’eux, la queue à la main…. « Viens, elle va nous prendre tous les deux dans sa bouche en même temps… »..les deux queues sont épaisses et ça me parait impossible, mais Naty, écarte au maximum sa mâchoire.. Et Naty de prendre en même temps la queue blanche et la queue noire…
Il m’a suffi de rester « dehors » quelques minutes et me voici en train de débander.. Je me remet dans la bouche de Violette…Un échec est encore possible ! « ça recommence » a-t-elle dû penser de nouveau.. Quelques secondes suffisent pour me rendre à l’évidence : ma queue rétive se remet à durcir pour la seconde fois…C’est la soirée des miracles…
Il est temps « d’enchaîner » (c’est le cas de le dire) la suite du scénario. Je défais « l’attelage » des deux femelles. Mais c’est pour aussitôt installer Violette sur le lit. « Allonge-toi sur le dos, les mains au dessus de la tête » lui ordonnai-je.
Je referme les lourds bracelets moyenâgeux (les « fers médiévaux) sur ses poignets, au moyen d’un cadenas. Chaque cadenas emprisonne en même temps le bout d’une lourde chaine enroulée au barreau de la tête de lit. La salope est enchaînée à la tête de lit sans aucune échappatoire possible. Je sais qu’elle adore ça…
De même que, j’en suis sûr, elle va adorer la suite : elle a gardé ses bracelets de cuirs aux chevilles. Je sors du tiroir une barre de contrainte en bois que j’intercale entre ses chevilles, chaque extrémité de la barre est pourvue de mousquetons et trouve tout naturellement la boucle des anneaux de chevilles.. Le résultat est là : la femelle se trouve contrainte d’écarter au maximum ses cuisses.. Bien entendu, tout a été mûrement réfléchi dans le moindres détails dans ma tête d’incorrigible vicieux. Bien entendu, on m’objectera que cette séance n’a rien de spontanée. Certes, mais en revanche, quelle fluidité.. Aucun temps mort. « Te voilà attachée comme une chienne. Je suis sûr que tu aimes ça. » son visage inquiet exprime tout le contraire, mais cette chienne est aussi vicieuse qu’elle est ambivalente. La motte est aussi humide qu’une lavette de vaisselle ( !)….Stéphane ne se fait pas prier, l’exposition de la chair est trop attirante. Malgré les suppliques muettes, la main du Black vient caresser la fente.. ça te fait tout drôle, hein salope ? fais confiance à ton maître : tu n’as encore rien vu de la soirée !!
Je fais signe à Guy : « Viens, on va installer Naty sur la table des supplices »…On la prend par le bras, l’amène devant la table. Elle s’allonge docilement. Je procède rigoureusement comme la dernière fois. Lui attacher les chevilles à la barre de contrainte suspendue, lui attacher ensuite les poignets aux menottes fixées de la table sera l’affaire de quelques minutes. La voici en position « prête à emploi »…Le cul à l’aplomb de la table, les mains entravées derrière la tête, les jambes suspendues et écartées en équerre, comme deux pointes de compas. Mes mains se promènent sur la poitrine nue, je lèche les pointes dressées pendant que Guy, du doigt puis de la langue, « travaille » la chatte de son épouse.
Il n’a pas oublié mes instructions : la « préparer » pour que je la baise dès qu’elle sera prête…Que je n’ai plus qu’à glisser mon bout dans la niche…Elle est là, sur la table, telle un met à déguster…
Je laisse Guy à son travail buccal et retourne voir Violette. Qui se laisse caresser par la main de Stéphane. Ne le voudrait-elle pas qu’elle ne pourrait de toute façon rien faire ! Avec ces fers qui lui maintiennent les mains au dessus de la tête, et cette ignoble barre de contrainte qui l’oblige à l’écartèlement infâme, à cette pose obscène et dégradante dont elle se serait bien passée…Je prends des photos, j’aime bien le contraste des doigts noirs qui se pose sur les belles cuisses blanches de ma femme. Les doigts d’ébène qui se promènent sur le piège d’amour beurré… Mon doigt à son tour glisse dans la fente…toujours aussi trempée, ma cochonne !
Je soulève la barre de contrainte et dit à Stéphane : « Tu peux y aller, elle est à toi ! »
Je relève les jambes de la miss en élevant la barre de contrainte. La miss est ainsi obligée de suivre le mouvement.
Le Black s’installe entre les cuisses moelleuses…Est-ce qu’ils font tous comme ça, les blacks, au moment de pénétrer une femme ? Lui aussi, comme le prédécesseur de la dernière séance, lime longuement la motte horizontalement avec sa grosse queue, en restant à l’extérieur…Est-ce pour exciter la femme ? est-ce pour s’exciter eux-mêmes ? Est-ce pour impressionner la femme blanche avec leur barre à mine ?
Puis il empoigne son gros manchon et s’enfonce dans la chatte blanche.. vite, mon appareil photo ! Pas question que je rate ça, que je fasse comme la dernière fois…Dans ce genre de contexte, les photos ne peuvent qu’être réussies, elles le seront au-delà de toute espérance…
Mais la vision de la queue d’ébène entre les cuisses blanches me donne un coup de fouet. J’en profite pour mettre ma queue bien au chaud dans la bouche de Violette pendant qu’elle se fait prendre par Stéphane. La vision et l’activation buccale renforce mon érection, mais un échec est encore possible, ma bite encore un peu molle. J’ai rendez-vous avec mon destin…
Je m’approche de Naty, glisse ma queue semi-dure dans la paume de sa main enchainée.. Elle se met à me branler. Pendant ce temps, les cris de Violette s’élèvent, couvrent la musique, Guy, intéressé se dirige vers le duo sur le lit..
C’est le moment pour moi d’y aller. Vite, une capote.. Pourtant, le temps pour moi de l’installer et ma queue a déjà perdu de sa superbe.. ça va être limite. .ça va vraiment être limite, me dis-je en prenant position entre les cuisses. Je pousse désespérément. C’est bien mou mais ça rentre quand même ! d’extrême justesse…Il faut dire que Guy me l’a bien préparée : la pouffiasse est bien ouverte…mais oui, il l’a bien travaillée, doigtée, massée, léchée et fait mouiller…
Je commence à aller et venir prudemment dans la connasse…Je commence à me sentir durcir…A quoi tient un succès ou un échec !! Guy vient assister à la saillie mais je n’ose encore sortir ma queue de peur qu’elle ne défourne ou qu’elle ne paraisse trop ridicule…mais j’accélère.. J’accélère et Naty se met à gémir doucement. Un autre écueil possible : l’éjaculation précoce mais tout va bien de ce côté, je sais déjà que ce soir, elle ne me menacera pas. J’accélère encore. Cette fois, je me sens bien mieux.. j’ai la perception de ma queue qui élargit le fourreau alentour…La chatte est « juste bien », ni trop serrée ni trop lâche…Le stress part d’un coup et une douce euphorie m’envahit.
« Yeeeeesssss ! » « enfinnnnnn ! » ai-je lâché. La peau de ses cuisses est incroyablement douce, le teint étonnamment laiteux, d’une blancheur irréelle..
Naty ferme les yeux et gémit doucement. Maintenant, je peux la bourrer franchement, entrer et sortir, ma pine est devenue une barre de fer !!
A présent, plus rien ne peut m’arriver.. La soirée, je le sais, sera réussie…
« oui, elle est bien grosse sa queue ! il te prend bien ! « dit discrètement Guy à Naty, et je réalise à cet instant combien il était important pour lui que je pénètre sa femme.
Ça m’amuse à présent de faire prendre le frais à ma bite, de la sortir presque complètement pour voir le chemin qu’elle a parcouru dans les profondeurs féminines et la remettre ensuite au four…Guy n’en perd pas une miette.. « Attention » me dit-il, « ta capote est en train de descendre …» . L’anneau de latex, sous les va et vient est descendu de deux centimètres en effet.. Pas grave, ça…Je réajuste la capote et bourre de plus belle. Guy nous laisse seuls.
Naty tourne la tête vers le fond de la salle. « ça m’excite de voir Violette… » me dit-elle comme pour s’excuser…
Ce dilettantisme, cette désinvolture même pourraient me déconcerter, me scandaliser… elle aurait plutôt tendance à renforcer mon excitation…Cette salope baise aussi naturellement qu’elle se laverait les dents…Elles serait capable de chercher ses clefs dans son sac tout en se faisant saillir…Je la laisse regarder, je m’en fous , je suis bien. « Elle est bonne ta chatte !. » m’exclamai-je. « Putain, que c’est bon ! ». Guy m’avait interdit les mots crus, ma réflexion est volontairement ambiguë. Que désigne ce mot « putain » ? une exclamation ? une insulte ? elle n’a pas relevé, tout à son spectacle.. Spectacle, il y a…Un son et lumière. Plutôt sons que lumière d’ailleurs…les gémissements appuyés de ma femelle qui reçoit les assauts fougueux de l’étalon faisant craquer le lit à chaque ruée. CracCrac CracCracCrac !
Détail cocasse :Violette me dira que j’étais aussi bruyant, l’estrade sur laquelle je m’appuie est solidarisée aux pieds de table et l’ensemble fait un bruit incroyable à chaque bourrade. Ce bruit la perturbait énormément…Chose étonnante, ce bruit passait totalement inaperçu à mes oreilles, occupé que j’étais à ma tâche et concentré que j’étais à discerner les bruits de ma femme s’envoyant en l’air…Naty restera aussi longtemps que je le voudrai sur cette table et c’est ça aussi qui est excitant. Elle est à ma disposition. Je compte déguster le plat qui m’est offert, faire durer le plaisir..
Pendant ce temps, le Black a retourné Violette, débarrassée de ses chaînes et de sa barre de contrainte, et l’installe en levrette.. Tu as raison, l’ami, elle est encore meilleure à prendre en levrette…Et je m’aperçois qu’il me faut absolument faire une photo de cette scène ! Je m’en voudrai toute ma vie si je n’ai pas cette photo-là !
Je défourne donc de Naty, la détache et me précipite sur l’appareil photo pour prendre le cliché de mon ange, défoncée à quatre pattes par le jeune black….Crépitement du flash pendant que ma chienne se fait sauvagement bourrer.. c’est vraiment excitant, c’est délicieusement excitant, je ne savais pas que cette vision de Violette me régalerait autant…
Naty nous a rejoint. Je l’allonge sur le lit….à gauche du couple improvisé. Je fais signe au black, lequel ne se fait pas prier, passant d’une chatte à l’autre, il enfile sa deuxième salope de la soirée. Je m’offre une belle série de photo entre Violette et Naty… « hooooo….hoooo » tout en écoutant les gémissements de Naty qui, en missionnaire reçoit stoïquement et de plein fouet entre ses cuisses, la ruade africaine, je contourne le lit et récupère Violette, hagarde, échevelée, dans un état second… je fourre ma pine dans sa bouche encore haletante et me fais sucer.. Puis la bascule sur le lit et la prend dans la même position que nos voisins de gauche. C’est excitant de procéder ainsi, de baiser de façon symétrique. Floc ! floc ! mon pubis bute sur l’entrecuisse de Violette, ma queue coulissant dans la cheminée humide. .Bruits mouillés et cris de ma partenaire…Les deux bûcherons que nous sommes redoublent d’ardeur…CracCracCrac fait le lit..baise frénétique ! on rentre en résonnance ! on va casser le lit ! (D’ailleurs il s’avèrera que le lit sera bel et bien cassé…mais je l’apprendrai bien plus tard). Je ralentis. Stéphane , lui, s’arrête, demande à Naty de se mettre à quatre pattes. Naty se recroqueville sous lui, replie ses bras, ses jambes, fait le hérisson pendant le black se positionne…Il la prend, la recouvre, fait l’arc-boutant au dessus d’elle…Elle gémit : « oooh doucement »…Naty à genoux, repliée sous lui, pendant qu’il la tringle. Vision excitante. « ooh doucement » elle ajoute, presque grimaçante, à l’adresse de Violette : « il faut trouver le bon angle pour qu’il ne fasse pas mal… » conseil d’une libertine chevronnée à une libertine en devenir. C’est marrant qu’elles arrivent encore à parler tout en baisant …quant à moi, je suis toujours dans Violette, la baisant sur un rythme plus tranquille, ma main gauche s’égarant sur les seins de Naty qui bougent en rythme avec le bassin du black…
Je décide de laisser ma place à Guy…Il se fait aussitôt sucer par ma chérie, qui s’est remise sur son séant pour la circonstance… « Elle est à toi » dis-je « prends là quand tu veux ! » murmurai-je à l’oreille de Guy.
« Plus tard, plus tard, me répond il à voix basse « j’aime prendre mon temps, j’aime faire durer le plaisir… ». Pour l’instant donc, c’est juste une sucette. Redevenu spectateur par la force des choses, je reprends une photo « de groupe ». Violette qui suce Guy et Naty baisée par Stéphane.
« On fait un break ? » propose Violette. Acquiescement général. Violette partie aux toilettes, Naty rejoint son mari sur le canapé et entreprend de sucer Guy. Violette est de retour et s’assied entre nous… Je lui caresse les cuisses… »Elle a de belles jambes, Violette ! » s’exclame guy, admiratif… « Violette, ma belle… » surenchérit Naty avec, certainement, une petite arrière-pensée..
J'entraîne Naty vers le lit, la couche sur le dos, lui fait écarter les cuisses. On installe Violette, réticente, dans la même position à côté de Naty.
« Ecarte bien tes cuisses, ma chérie.. » murmure Guy « j’aime quand elle est la plus obscène possible, j’adore la voir quand elle écarte les cuisses ». La fourche de Naty est écartée au maximum, un pied sur l’épaule de Violette, l’autre posée sur sa cuisse… Je sens Violette de plus en plus mal à l’aise mais je dois dire que la position des deux femmes m’excite beaucoup..Le Black n’y trouve rien à redire non plus, dont le doigt malaxe gentiment le capuchon du clito de Naty…A force de persuasion et d’encouragement, je parviens tout de même à ce que Violette pose la main sur la cuisse de Naty, tout près de la chatte…Violette me lance un regard désespéré, comme si elle allait monter sur l’échafaud ! La main du Black, celle de Violette, la motte et l’entrecuisse de Naty, voila un beau tableau qui mérite photo..Le flash a bien crépité et la photo a bien été produite…Mais c’est à ce moment précis que ma carte mémoire a choisi de dysfonctionner….Et toutes les photos prises ensuite, à l’instar de celle –ci, seront perdues…
C’est peu après que Guy revient à la charge et me prend le bras. « Il faut trouver un moyen de les contraindre, cuisses écartées, pour leur travailler le cul… ».
« - la table des supplices serait idéale » répliquai-je « mais elle est trop courte, on ne pourra pas les installer toutes les deux dessus en même temps, et je reste persuadé qu’il faut les laisser ensemble.. »
« - alors propose-moi autre chose ! »
Ma décision est vite prise.
« -sur le lit ! » fais-je « sur le lit, avec chacune une barre de contrainte entre les pieds ! ».
ça tombe bien, j’en ai deux exemplaires de ces barres en bois…Je sors la deuxième de la commode…
« On va installer les filles en travers du lit, côte à côte » poursuivis-je, « et leur fixer ceci entre les chevilles »..
C’est ainsi que Naty est allongée sur le lit, en position dorsale, et à chaque extrémité de la barre, un mousqueton permet d’y fixer l’entrave en cuir qui entoure chaque cheville…Exactement comme l’était Violette tout à l’heure, avant d’être livrée en pâture au Black..
Me voyant reprendre sa barre de contrainte et lui faisant signe de s’allonger à côté, Violette a compris la manœuvre et proteste : « C’est ça, hein ? » lance –t-elle furieuse « Tu veux nous exhiber comme ça ? comme un étal de boucherie ? »
On fait taire la salope, on la force à s’allonger, et elle se retrouve vite réduite à l’impuissance, la barre de contrainte rapidement fixée à ses pieds, et la voici en position obscène, la moule offerte malgré elle, les cuisses qu’elle ne peut refermer, la fourche largement ouverte à cause de cette foutue barre qu’elle doit maudire et vouée aux gémonies…
Mais je n’ai cure de ses protestations.
Ces bonnes choses étant faites, je m’en vais chercher le plug de silicone, celui qui est « mou », et le met en « position d’attaque » : un préservatif glissé par-dessus l’objet que je badigeonne ensuite abondamment , et le tour est joué : Naty est prête à enculer…
J’enfonce l’engin doucement, centimètre par centimètre dans le cul de la rouquine…L’objet progresse méthodiquement et implacablement dans le fondement de Naty. Elle tente de se tortiller pour échapper à l’emprise mais je tiens bon…Je fais signe à Guy, qu’il vienne constater qu’elle est totalement prise…hihihi L’engin est fiché dans son cul, bien au fond !
« ça fait une drôle de sensation ! » gémit-elle.. « c’est un plug en silicone, c’est ce qu’il y a de plus doux sur le marché ! » ricanai-je..
Au tour de Violette. Quand elle me voit revenir avec un bon gros plug, elle pâlit… « Pas le plus gros ! » supplie-t-elle..
Je ricane.. « Ce n’est pas le plus gros, c’est celui juste en dessous ! ça va le faire : celui-là tu le prends sans problème ! »… « attends que je le prépare…un peu de lubrifiant sur la capote et je te le mets bien au fond de ton cul ! »
« oh non . » supplie-t-elle…mais il est déjà trop tard..le gros manchon de caoutchouc se lance allègrement à la conquête de ce cul d’exception, franchit les premières bordures par jeu…l’anneau de chair ne résiste même plus au premier assaut, il se laisse distendre….il commence à s’habituer à ce genre de possession…ce n’est qu’au deux derniers centimètres, là où le plus gros doit passer qu’il réagit enfin, résiste… »Oh non ! « gémit la chienne « arrête ! ». « On y est presque ! vas-y ! pousse…pousse…pousse bien ! il rentre ! tu vas le prendre au bout ! »
le dernier ressaut passe…Le sphincter tombe dans le piège, se referme sur le col du plug…Piégé car il ne peut se renfermer qu’en partie, même pas à moitié…Et pendant qu’à l’intérieur, l’engin diabolique occupe tout l’espace de ton cul, dilatant tes entrailles, ton sphincter se laisse endormir par le plug…Celui-ci, minute après minute, va te l’assouplir, celui-ci va bien t’élargir, afin de rendre ton cul de pute bien accueillant…Je me suis juré de te mouler en objet de service, de te faire un cul de chienne. Je vais te rendre facile à prendre, facile à enculer…Tu vas montrer, d’ici peu, ce qu’est un cul de chienne…
Observant le plug en place sur Violette, Guy n’en croit pas ses yeux… « Elle l’a pris entièrement ! » s’exclame-t-il…Il se met en tête de lècher les deux femmes. Sa langue s’attarde tour à tour sur les chattes laissées libres.. Ce gros cochon de Guy se fait ensuite pomper le dard par nos deux salopes. J’en profite pour honorer de ma langue les deux chattounes exhibées. Je sais ce qu’il a en tête…il a envie de t’enculer.
Pour le moment, je me contente de te souffler à l’oreille de salaces paroles…
« mmm, tu le sens le gros plug qui te dilate le petit trou ! oh oui, tu le sens bien ! »
Je demandai bien plus tard à Violette ce qu’elle pouvait ressentir à ce moment précis.. « Rien ! » m’avait-elle répondu « Ou plutôt si, un peu de honte quand même.. » A vrai dire la scène me semblait totalement irréelle et réduisait mon cerveau à l’impuissance ..
Je déplugue Violette en douceur, libérant son orifice…
Guy n’a plus qu’à relever bien haut la barre de contrainte sous les protestations et les suppliques de Violette.. Celle-ci a beau supplier, rien n’y fait ! l’élévation de la barre de contrainte provoque la rotation de son bassin et la mise en position du petit trou.. Il faut bien que tu comprennes, salope, qu’il a fait une heure de route rien que pour connaître la douceur de ton cul moelleux…Elle avait « peur » m’avait elle dit de sa queue « courte mais épaisse » qui lui ferait « mal »… Pourtant, maintenant fermement les cuisses de la chienne repliées sur son ventre, je vois Guy s’enfoncer méthodiquement dans les entrailles féminines, la queue remplace le plug et prend immédiatement la place chaude.. La possession de son cul a le mérite de calmer instantanément la connasse…D’un point de vue physique, il m’apparaissait évident que le remplacement de l’objet massif dont elle ne pouvait oublier la présence de par son volume, par une bite, fut-elle « courte mais épaisse » devait apparaître comme un soulagement…D’un point de vue cérébral, c’était autre chose…Elle s’offrait totalement, elle le savait. Enculée par ce quasi-inconnu, possession totale, et le tout sous les yeux de 3 autres personnes, témoin de sa déchéance ! La honte…La honte totale.. L’humiliation, l’humiliation totale.. La honte qui faire rougir les joues, la honte qui brûle le visage. .il a bien raison, Guy de t’enculer…tu es encore meilleure par derrière que par devant.. Comme il a raison, à présent, de te faire basculer, te mettre à quatre pattes et t’enculer dans cette position, comme une chienne, parce que la vue sur ton beau fessier est imprenable…Et comme j’ai bien raison de te souffler ces mots qui te font rougir, comme j’ai bien raison de t’encourager à cet abandon : « oui ! donne-toi bien ! tu l’as bien dans le cul ! hein, tu la sens bien dans ton cul ! »
Toi : « oui ! »
Moi : « Regarde comme tu es bien ouverte ! ».
Finalement, Guy s’est retiré du cul de Violette . l’air hagard de Guy ne laisse guère de doute sur la conclusion de leurs ébats.. Je crois savoir qu’il a joui entre ses fesses.. je crois que ma vicieuse de compétition lui a soutiré des bourses la totalité de son foutre.. Sinon, il n’errerait pas tel un zombie, vidé de toute énergie… « Ne bouge pas ! Reste dans cette position ! » ordonnai-je à Violette. Je me précipite sur l’appareil photo…. « Ta tête dans les draps ! » commandais-je « Et tu écartes tes fesses avec tes mains ! voilàaa comme ça, c’est parfait ! tu ne bouges pas ! tu restes immobile ! ».Et la salope m’obéit, et la salope s’exécute. Et je vois la fente bien ouverte, et je vois le petit trou bien ovalisé, qui s’offre comme une bouche qui demande…Le flash crépite, photo sublime d’un cul d’enfer que je ne récupèrerai jamais…Se produit alors un évènement inattendu.
Derrière le cul offert et immobile, voilà que le black s’enfile une capote et se positionne…Je lui avais pourtant bien spécifié que Violette n’était pas sodomisable la première fois. « ce n’était pas prévu ! » souffle Violette. La décision m’appartient. D’un geste de la main, je peux écarter l’importun. D’un autre côté, je comprends Stéphane, je comprends qu’il ne puisse résister. Ce n’est pas tous les jours qu’il peut s’offrir le cul d’une blanche. La queue du black est plus grosse que celle de Guy, bien plus longue aussi. Mais son diamètre reste inférieur au plug, à ce qu’il me semble. .la salope est-elle en état de l’absorber.. ? je juge que oui. Au demeurant, quoi de mieux que cette sodomie à la chaîne pour l’humilier totalement.. ? Je n’ai pas levé la main, la main, je la coule au dessous de Violette pour lui caresser le clito, histoire de rendre moins douloureux le gros paquet qu’elle va se recevoir…Tu vas l’avoir, ton cul de blanche !
« Il me fait maaaaal ! »
« mais non » répliquai-je « tu vas y arriver… »
« rentre doucement » dis-je à stéphane.
J’aurais dû dire « tres doucement », car s’il ne rentre pas brutalement, il le fait sans douceur excessive…
« sois bien ouverte ! » il lui a déjà rentré la moitié de sa matraque dans le cul, lui empoignant les hanches à deux mains pour qu’elle ne se dérobe pas..…Putain, quel pied ! que c’est excitant.. la salope se met à gémir, la douleur s’estompe…Je craignais de voir le visage de ma chérie crispée de douleur sous la formidable poussée, je craignais de voir une longue bataille avant que le cul ne soit vaincu, mais il n’en sera rien…Et si le visage est crispé, ce n’est que de honte.. Il faut rendre hommage à ce cul si élastique, si dilatable, si extensible, capable de toutes les prouesses…En 20 secondes à peine , la matraque d’ébène avait pris possession des lieux….Fourrée jusqu’aux couilles !
Pendant que Violette se fait démolir le cul à quatre pattes par le black, pourquoi ne pas profiter de Naty ? Je fais signe à l’intéressée. « Penche toi en avant, les mains tendus sur le lit ». je l’enfile ainsi, debout sur ses talons, ses mains faisant l’arc-boutant au dessus de la tête de lit…
Quelques minutes de va-et-vient dans cette position…Puis je l’emmène sur le lit, l’installe à droite de Violette, la met à quatre pattes et replonge au chaud. J’enfourne et défourne, et me livre à mon passe-temps favori : voir le chemin qu’elle parcourt pour arriver à l’air libre. « Guy est out ! » me fait remarquer ma monture. Je vois Guy, en effet, affalé sur le canapé, à moitié inconscient…
Naty en levrette donc, et moi qui la ramone avec précaution.. « Je ne te fais pas mal ? je peux y aller ?» je demande, faussement inquiet…
Plus tard, j’ai lâché Naty alors qu’à 20 centimètres de là, Violette subit toujours les virils assauts du jeune africain. « il est dans ta chatte ? » « non non pas exactement… » murmure –t-elle. ( !)
« ça va ? c’est supportable ? » je m’enquiers un peu hypocritement.
« oui oui » souffle –t-elle…
Du coup, j’en remets un coup à Naty…en levrette… Je plante ma queue, bien grossie et bien durcie, dans la fente …ma queue parait énorme entre le petit cul bien dessiné..Je la vois qui coulisse entre les deux globes de chairs à la peau blanche et douce. Naty gémit doucement..
Et puis soudain un cri me fait tourner la tête. Un cri bestial. C’est Stéphane qui se met à hurler. Je n’oublierai jamais son expression, le rictus incroyable de son visage au moment précis où il jute dans le cul de ma femelle.. tu l’as eu, ton cul de Blanche !
Violette reste immobile, tétanisée…Je prends place à mon tour derrière la croupe dressée.. « on va laisser ton petit trou tranquille » ai-je murmuré. Elle n’a pas bougé. Je l’enfile. Dans la chattoune. Que c’est beau, que c’est bon une chienne baisée à l’excès ! Je ne tiendrai pas longtemps, je le sens dès les premières bourrades.. Il y a eu les deux bouches expertes de ces salopes qui travaillent votre queue, puis la chatte de naty qui érode votre résistance, et pour finir, cette chatte –ci qui joue avec votre pine comme un presse citron..Tous ces réceptacles cumulés ont de quoi vous rendre fou..alors j’ai versé une pleine louche dans la matrice..Alors j’ai crié moi aussi…L’impression de mes bourses pressées jusqu’à la dernière goutte…En mobilisant le ban et l’arrière ban de mes couilles, j’ai tapissé de foutre la caverne de velours..et vous savez quoi ? je l’ai senti contente….
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