Vendredi 25 décembre 5 25 /12 /Déc 19:00

T .......  23 juillet 2009 - 13h 16 -  sms top départ.

« Je suis sorti, ma voiture se trouve dans la deuxième rue en montant, prendre à droite. »

J’étais prête depuis un bon moment, robe d’ été toute simple et dans mes petits souliers (à talons) car cette rencontre, après l ‘incident de la veille, était déterminante.
Son précédent sms « Merci pour hier, fier de toi » ne m’avait pas convaincue ni rassurée. Moi j ‘étais pas fière du tout ! Quelle idée stupide de tomber dans les pommes alors que j’étais ligotée sur cette croix de St  André qui m’avait tant fait fantasmer !
J’y étais bel et bien sur cette croix, mais ..  offerte dès le début  à cet inconnu que le traître avait invité sans me prévenir, ou si peu, laissant planer un doute .. 100_1535.JPG
Bon, là je remonte l’avenue sous les palmiers,  tout va se jouer maintenant, à moi de lui faire oublier sa déconvenue de la veille, il y a des évanouissements diplomatiquement pervers, après tout ..

Lui.
Je suis à l’heure, et même en avance car je suis inquiet. Ses sms du matin me laissent comprendre qu’elle culpabilise d’avoir, involontairement, écourté la soirée en me tombant, inanimée, dans les bras, alors que notre partenaire finissait de la détacher afin qu’on puisse l’étendre sur le sol. Et pourtant, ce « lâcher prise » inattendu et .. spectaculaire,  est le premier qu’elle m’a offert, et j’en suis bizarrement touché.

Elle s’avance vers moi, elle sourit,  j’aime bien sa robe d’été.

Je tourne à droite, il est là comme la veille au soir, debout sur le trottoir tel un souteneur des années 50 sous le soleil de midi,  lunettes noires, jean sombre et chemise blanche, prévisible par la tenue, imprévisible dans les actes, les pensées, tout .. Il est si  beau  et plein de charme que déjà je succombe !

Il regarde ma mine et semble satisfait. On embarque vers le donjon, voie rapide direction Nice et virage dans cette banlieue aux lauriers rose récurrents, qui passent par dessus les murets ; je commence à reconnaître le nom des rues, on discute de tout et de rien, qu’est ce que ça veut dire ?
Je refuse de penser au pire (sa déception devant ma fragilité, ma rébellion inconsciente). Vivre le moment présent. Juste le moment présent.  Et ne rien supposer.

Les cigales dehors. Comme hier soir, où elles stridulaient  encore dans la nuit tombante, trompées, m’avais tu dit, par les lumières industrielles – elles ne seraient pas les seules  à être trompées ce soir là !-
C’est plus fort que moi, je suis prête à tout pour contourner à nouveau  le bâtiment en trottinant à tes cotés, attendre que tu ouvres la porte et la referme à clé derrière nous, cet endroit fait partie de mes royaumes intérieurs, c’est clair.
On pénètre dans la grande cuisine aux fenêtres barraudées. Question rituelle et délicatement technique : « tu veux passerr aux toilettes ? » et moi qui refuse systématiquement, ayant pris mes précautions avant !

Alors on monte l’échelle de meunier qui ouvre sur le salon du haut, une réplique exacte de la pièce donjon, version « Coté Sud » : ambiance provençale, jaune et chaleureuse, sofa, bibliothèque, bureau, et cette nouvelle tenture écossaise qui masque la petite porte basse à coté du bar.
Tu prends ton temps cette fois. Plein d’attentions, tu redescends chercher deux verres, nous sert la suite de la bouteille de Beaumes de Venise entamée la veille, et propose spontanément de faire une séance photo vanille ; des semaines plus tôt j’avais exprimé cette envie, qu’on figure ensemble sur une photo anodine, tu t’en es souvenu ..
Essais de cadrage, retardateur, poses, zoom,  tu es trop gentil pour être honnête je trouve .. de nouveau l’angoisse

Doute.

Je commence à lorgner sur la porte secrète que tu as néanmoins ouverte tout de suite.
De l’autre coté, il semble faire moins chaud, le noir des murs absorbe un peu de la lumière au zénith, reflétée par le rouge intense de la moquette,  mais rien qu’un peu. Les climatiseurs ronronnent, épuisés.

Tu fais durer le plaisir, pourquoi est ce que je désire tant ce qui me fait si peur ? Me mettre à nu, jouer  faire l’amour en pleine lumière, là, de l’autre côté, comment peux tu me convaincre de faire ça ? car maintenant je ne doute plus, tu ménages tes effets,
mais je vais franchir la porte ..000_0203.jpg

Et voilà, j’entre une fois encore dans la souricière. Et pour la troisième fois en plein jour et en pleine connaissance de cause. Tu es très fort de me faire accepter cette imparable solution, mais c’est de bonne guerre : le mois dernier, c’est toi qui étais venu te prendre dans mes filets, dans la pénombre de la chambre 123. La, je vais me donner, rien qu’à toi, et si tu le veux ainsi, si me voir ne te fait pas fuir, alors oui, je le veux aussi.

On tourne autour de la pièce, de plus en  plus envahie par la vie du couple qui vit à coté de temps en temps .. je remarque une nouvelle penderie, et  près de la croix des taches de cire sur la moquette rouge, des bougies sont d’ailleurs alignées sur la commode, devant la collection de plugs !



A ta demande, j’enlève ma robe avec défi, et toi aussi tu te déshabilles, entièrement, comme pour m’encourager. Tels que nous sommes.
Tu me dis avec  une simplicité expéditive : « quitte ta culotte » je le fais. Tu me dis « mets tes bas », et je sors de mon sac des étonnants bas rouge, opaques, des bas de courtisane 18e siècle, de marque, et que j’ai acheté en solde, trop contente de ma trouvaille,  car ils sont importables .. sauf ici. Rouge donjon, rouge passion !

A ce moment je réclame. Hier ça m’a tellement manqué !  Te sucer, tu le sais. Je prends, avec une faim rageuse je t’engloutis avec une gourmandise éhontée, savante ..  « Tu en avais envie hein ? » oui j’en avais envie, tellement ! mais je ne peux pas répondre, pas une seconde je veux lâcher ma proie !


Entrés dans la pièce, nous nous déshabillons dans un silence presque religieux.
Voir la salope enfiler ses bas rouges agit sur ma bite comme un chiffon de même couleur sur un taureau dans l’arène  et la durcit aussitôt« Regarde » t’ai-je dit, exhibant la protubérance sous mon caleçon..
Tu te penches et me happes avidement. Avec un geste d’empressement fiévreux, elle écarte ses lèvres pulpeuses et douces, faisant de sa langue chaude et souple, un véritable fourreau vivant. 
Je craignais que, parvenu comme elle était au comble de la frénésie, elle en vint à me mordre à pleines dents…cette pine que tu suces, tu la suces avec une gourmandise qui fait plaisir à voir…Ensuite, ça ne traîna pas…de la belle ouvrage.. Je reste sur mes gardes : cette salope est tellement bonne fellatrice, avec sa bouche gourmande et ses doigts véloces qui vous massent les bourses, elle est tellement bonne suceuse donc, que cette femelle vous viderait les couilles avant même d’avoir écrit la fin de cette phrase…Veiller donc à bloquer ma montée de sève…

Ayant estimé que c’était suffisant, je l’entraîne vers la table à baiser…
Bien sûr, elle s’offusqua. Pas question pour elle de s’allonger sur cette table, baignée par la lumière….   « Tu n’y penses pas »etc…etc… Je la laisse protester mais finit par la faire allonger sur la table en bois ..

carcan

Je ne vois toujours pas mon collier, mais tu t’avances avec le lourd carcan en bronze doré que tu as ramassé par terre et m’entraîne vers la table, qui est , comme par hasard, situé juste sous le vasistas inondé de lumière !
Je proteste, je te supplie, « Regarde ce petit coin à l’ombre, là contre le mur, il suffirait de pousser un peu la croix ?oui, là c’est bien ! »  .. j’essaie de négocier,  je te rappelle même oubliant mon orgueil, des photos que tu m’avais montrées, d’autres séances où les soumises de l’autre étaient là, sur le sol, dans ce même carcan ! Alors pourquoi pas moi ?
Mais non, tu t’obstines comme toujours, tu me veux sur la table d’infamie, sous l’œil impitoyable du soleil, et immobilisée dans ce carcan, suspendu ensuite  aux chaînes surmontant la table !

Lui .. La  voici en pleine lumière, ma chienne soumise…ses cuisses moelleuses écartelées par le carcan suspendu m’apparaissent plus blanches et plus belles.. Je me penche et lui donne quelques coups de langue pour la faire patienter..
recadrage
Encore une fois je me laisse convaincre, tu arrives de toutes façons, toujours à tes fins et je grimpe sur la table garnie d’oreillers où tu m’attends avec le lourd objet, dans lequel tu  glisses habilement mes chevilles et mes poignets côte à côte.
J’ai  peur de tomber de la table étroite,  déséquilibrée par le poids du carcan et ma position périlleuse, alors  tu es obligé de me faire glisser tel un vulgaire sac de sable pour me positionner correctement en dessous des chaînes, que tu relies au carcan.
Ce geste je le ressens comme très humiliant, je me vois comme une grosse baleine échouée sur la grève, incapable de me mouvoir par moi même ,   oui je sais, c’est ça que tu aimes, me savoir immobilisée, contrainte à la passivité, moi qui déteste ça ..

Et la tu ne me touches pas, tu te contentes de prendre des photos, de face, de dos, de profil, avec ton appareil, avec le mien. Je suis exposée dans la lumière et tu ne me touches pas, non, alors que j’en crève d’ envie .. Juste ton regard. Un coup de langue au passage ..  Simple mise en condition.
donjon6
Enfin tu me délivres et me voilà debout contre le mur, jouant avec la croix pour exorciser la veille, mais déjà tu t’approches avec le collier médiéval, et les fers qui vont avec, si lourds, si beaux, qu’on dirait des bijoux barbares, je les adore oh oui je les aime tant, et ils me vont si bien !donjon

On dirait que tu le trouves aussi car tu me prends beaucoup en photo ainsi parée, contemplant ton œuvre .. noir-et-blc.jpg
et soudain tu  t’agenouilles devant moi, et enfin me touches au plus intime, regarde, regarde comme tu mouilles salope, oui rien à voir avec hier où les caresses de l’autre participant, comme des tiennes d’ailleurs, me laissèrent de marbre, et pour une fois je n’ai pas honte de couler ainsi, je suis fière, je te laisse faire, continue oh oui c’est trop bon, et tu  fais la fontaine me dis tu encore, adossée contre le mur sombre, jambes et bras écartés, vaincue, inondée  de cyprine jusqu’aux cuisses et tu m’empêches de m’essuyer. Je dois bien sentir mon envie, la porter sur moi sans honte, ou avec, mais la porter.


Te voici adossée au mur, portant fièrement tes chaines…ma main qui palpe ton entrecuisse.. Je me mis à masser vigoureusement ta fourche, accompagnant ses gémissements sonores… « Non ! » criait-elle de surprise, comme s’il lui paraissait incroyable que ma main ait un tel pouvoir sur son sexe…Je barattai  sa fente, fit battre les œufs en neige, entendant soudain ce bruit de clapot qui signe chez elle l’abandon total.

Elle ployait comme si elle allait tomber.. .flageolant sur ses jambes, le sexe inondé au point que je vis la cyprine couler sur ses cuisses..
un dernier « NON » suppliant et incrédule et alors que j’ouvris davantage sa fente, elle se libéra violemment dans le creux de ma main…Je sentis le jus brûlant dégoulinant à travers mes doigts…Le jus de Violette coulait comme une soupe chaude, et je me mis à lui badigeonner le ventre et le haut des cuisses pour bien lui montrer combien  chienne et vicieuse elle pouvait se révéler…
« Je vais aller m’essuyer ! «  implore-t-elle.
« Pas question, tu restes en l’état ! je te veux trempée ! » tranchai-je, « c’est comme ça que j’aime te baiser ! ».

Et alors tu me traînes jusqu'au lit, lui aussi, à l’opposé de la table, juste dessous d’un autre vasistas, redoutable puits de lumière.

Tu ne m’enlèves pas mes chaînes et on va faire l’amour comme ça, au soleil, tu me transperces d’un seul coup  tel un papillon aux ailes (en l’occurrence mes cuisses) déployées  sur son présentoir .. 

Et tu me baises tout simplement, mes jambes alourdies de fers posées sur tes épaules, mon collier valse avec mes chaines autour de mon visage, risquant de me marquer, ou me casser un os,  à peine si je songe à m’en protéger, tellement je suis partie dans le truc, tu me pilonnes avec une violence étrange, des rythmes changeants, ta sueur coule sur mon visage, ma poitrine, je n’en ai cure, ça monte, je jouis, je n’ai pas à aller chercher la jouissance, elle s’impose, elle vient toute seule, enfin avec toi, au plus profond ..

cru 1« je t’adore je t’adore ! » m’entends je répéter, hors de moi même, la tête heurtant les barreaux du lit, alors on pivote sur le coté, un vrai champ de bataille, putain comme j’aime ça !

Toi tu te réserves pour la suite, je crois la connaître, je n’ai plus peur. On se redresse enlacés, silencieux, un bref moment


Lui

Couverte de tes chaînes, je te fis allonger sur le lit.
« Ecarte tes cuisses, salope ! ». Les jambes s’ouvrirent grand, je touchai un ventre tiède, mes doigts bougeant aisément sur le piège d’amour beurré…Je me penchais un peu plus…les lèvres étaient séparées, découvrant la tendre dentelle rose, et plus loin encore, l’orifice sombre et secret du vagin, la moule s’ovalisant, devenant comme un anneau de corail…Je devins fou à la vue de cette rosée humide, intime, qui reluisait autour de l’anneau…Je relevai haut ses jambes et la pénétrai aussitôt… Je partis pour une étreinte folle.

Cette fille, je l’ai dans la peau, c’est complètement dingue…une sorte de pulsions irrésistible à vouloir la baiser, et l’envie est chaque fois plus forte à chaque nouvelle rencontre…
Ses gémissements de chienne en chaleur couvre la musique d’ambiance et les grincements terribles du lit couvre presque le chant d’amour de Violette..

Je crus que j’allais fendre la chatte en deux et pulvériser le lit ! Tu es en phase avec ton instinct de femelle. Et je te prends. Et je te  cogne. Et je te fous des coups tant que je peux dans ton bas-ventre,..Je pousse, j’enfonce, j’y vais fort.  te casse la chatte. Retiens-toi ! retiens-toi ! Elle est insatiable et en voudra encore !  Retiens-toi, salaud, elle va jouir.

Je tape. Bourre. Défonce. « oui ! oui ! oui ! comme c’est bon ! « hurles-tu « J’en veux encore, baise-moi ! ». Je sue à grosses gouttes.
Pourquoi baise-t-on comme des chiens ? Quel sortilège as-tu pu me lancer pour que je sois obsédé à ce point par ton corps ?

Le monde pourrait s’ effondrer autour de nous,  un tsulami pourrait dévaster la Côte d’Azur que je te baiserais encore, salope…Même une nouvelle crise financière ne me ferait pas interrompre cette enconnade frénétique… J’étais prêt à y  faire passer aussi  toute ma matière grise s’il le fallait.

Puis je me relève, et tu me diriges enfin  vers « l’anneau ».

anneau1Ce n’est pas celui des Niebelungen mais c’est tout comme pour moi.

Il est mythique, c’est le lieu de mon attachement, de ma si modeste soumission, j’ai toujours envie d’y revenir telle une chienne à niche, oui, c’est le seul endroit où je peux commencer  à me sentir ta chienne ..anneau

Ce n’est qu’un anneau métallique sortant  du sol au centre d ‘une soudure noire, mais il représente l’âme du donjon, presque invisible, j’ose espérer qu’il n’est la que pour moi, (NON!) à un moment ou à un autre il m’y enchaînera, mon maître, réduisant plus ou moins l’espace entre l’anneau et ma laisse métallique, entre le sol et mon visage, et là il me donne du jeu,   car ce n’est pas une simple figure imposée : si je suis la, c’est pour être possédée en bouquet final, par le troisième orifice que je vais lui offrir sans résistance (lui dirait un autre mot  qui résumerait l’ensemble !)

Cérémonie aussi, car depuis le mois de février, il parle de me faire connaître un certain jouet préparateur, précisément dans cette position là ..  Un de ceux qui trônent sur la commode et qu’il me détaille à loisir, me concédant celui de taille moyenne, mais dont je trouve la base très imposante !
Me voilà donc arrimée à mon anneau, pour tout dire à quatre pattes, le soleil a un peu tourné et se fait moins envahissant. Ce qui va m’envahir, ça va être autre chose .. Il me laisse mariner dans cette posture d’attente, me photographie encore, sous tous les angles, avant de s’éloigner vers les commodes pour de mystérieux préparatifs.
100 1602 objet du délit


Ne me ménage pas, surtout pas, oublie ma faiblesse d’hier, j’aimerais tant que tu me frappes pour m’en punir, là seulement je me saurais pardonnée, c’est le comble,  mais tu n’es pas comme ça, tu veux seulement accomplir ton idée, je ne peux pas dire que tu ne m’avais pas avertie.

 

 


Te voici enchainée à l’anneau…et moi c’est à un autre « anneau » que je vais m’attaquer!..
Ta position à quatre pattes ne me satisfait pas. « Cambres-toi, creuse les reins, relève ta croupe ! allez salope ! ». Et parce que tu n’obéîs pas assez vite j’appuie un peu brutalement sur tes reins pour accompagner le mouvement.

Je m’empare d’une cravache et t’administre quelques coups sonores sur la croupe…Même pas mal ! car la cravache est en plastique, et on peut y aller de toutes ses forces, les petites zébrures sur ton cul auront disparu dès le lendemain…Mais, aujourd’hui, clairement, je veux « ménager ma monture ».

Cette mise en condition effectuée, J’écarte tes fesses, Violette et de mon doigt ganté de latex, je franchis la première bordure par jeu…l’index ondule amplement, pour préparer la route à l’invasion qui suivra…

Tu étais déjà "partie", ne sachant plus si c'était mon doigt, ma queue ou autre chose.."Qu’est ce que c’est là?" m'as-tu demandé. Avec mon doigt ganté et du gel intime, j'ai bien graissé ton trou du cul et ton conduit anal... .ensuite, je me suis saisi du plug
..


Ton doigt m’explore, je frémis, je dis ne pas savoir mais je sais bien que c’est ton doigt, de  toi je veux bien, je suis ta chose à cet instant, tu le sais bien, depuis deux heures la tension est montée, puissante et bénéfique, comme toujours quand on est ensemble, cette fluidité des actes est presque miraculeuse, exempte de la moindre fausse note, toujours, et  malgré le coté scabreux de la situation, tout me semble lumineux, facile, grave et ludique à la fois .. Même si  mes parents me voient et se retournent dans leur tombe, tant pis, c’est à toi que j’appartiens et que personne ne bouge !

Avec douceur et obstination  tu fais maintenant progresser l’objet en moi, il y a un moment où ça fait mal mais tu continues et c’est moi qui finit par aller au devant, et m’empale au plus profond. (détail dont je n’ai pas conscience et que tu me révèleras ensuite).

Sensation d’être remplie, comblée, ah qui osera décrire ce terrible besoin d’être remplie de partout, qu’ont les femmes ? c’est vraiment dégoûtant quand on y pense mais tellement urgent, voilà où ça te mène cette envie ma fille me dis je tandis qu’il contemple à loisir mon postérieur investi, et me branle en même temps, presque la main toute entière, je gémis, j’en pleurerais de bonheur, servilement attachée à mon anneau, tu peux m’insulter, me traiter de salope, et même de connasse,  je m’en fous, je touche le fond mais ne m’évanouis pas, cette fois, loin de la, je suis tellement vivante  pour assister à ma douce déchéance, je veux  bien être « ça » pour toi, devant toi, je suis à toi.




Quelques précisions donc sur ce fascinant » trou-du-cutage »...l'objet que tu as dû prendre et accepter, c’est un bon gros plug. J’ai commencé par mettre une capote dessus, puis l'enduire de gel intime. ensuite, j'ai écarté tes fesses, et j'ai juste mis le bout. Puis par  une poussée très lente mais constante, j’entreprends de forcer le passage centimètre par centimètre. Ne pas relacher la pression. le cylindre de caoutchouc rentre lentement mais implacablement, par l'action conjuguée de la pression de ma main et par ton sphyncter qui cède peu à peu du terrain...Tu as senti ton anus s’écarteler au fur et à mesure que progressait le cylindre massif…ta muqueuse est repoussée tout autour du manchon en caoutchouc qui investit les lieux. Pour moi, c'est jubilatoire, car c'est symboliquement la prise de possession de toi, la forteresse qui capitule...les derniers centimètres sont les plus difficiles, mais c'est ton cul qui est finalement venu vers ma main, aidant à la manoeuvre! le plus gros diamètre vient de rentrer, ton sphyncter aussitôt se referme, avec soulagement. .mais le piège est en place: il ne peut pas se refermer totalement: il reste trois bon centimètres de diamètre à la base du plug, qui vont te maintenir à demi ouverte, te rendant plus souple. Tu t’immobilises, haletante, heureuse…  Empalée par ce cône qui avait pour effet de dilater au maximum ton orifice, afin de faciliter, plus tard, la  pénétration à laquelle  tu te soumettras avec empressement… tu  ne peux pas oublier la présence de ce manchon en caoutchouc qui te prend le cul, même s'il ne te fait pas mal. il te rappelle à son bon souvenir, constamment.. Tu as la sensation d'être totalement "prise"...Et tout à l'heure, quand je retirerai le plug de ton fessier prometteur pour le remplacer par ma bite bien dure, ton sphyncter, vaincu, n'opposera pas la moindre résistance: je serai rentré dans ton cul comme dans un pot de miel....

Satisfait, je m’approche…et constate que la lente invasion de ton cul a aussi entraîné une lente montée de ton excitation.. …L’étage en dessous reste étonnement disponible :  la chatte est entrouverte et baveuse et donne envie de s’y introduire. on pourrait y loger, sans problème, une queue…C’est au moment où mon doigt s’ enfonce dans une chatte incroyablement spacieuse et liquide que la chienne ondule de la croupe et perd pied….



Elle :  «  en plus, je suis attachée à l’anneau… »
Lui : « Alors, t’es quoi alors, sinon une chienne ! Regarde-toi.. »
Elle : « MMMMMMM »
Lui : « Tu le sens, le plug dans ton cul, qui travaille ton cul de petite salope ? »
Elle : « OUIIIIII » (gémissements incrédules)
Lui : « Ça te plait, hein ? »
Elle : « OUIIIII   OUIIIII »
Lui : « Regarde, regarde mon doigt trempé, regarde comme tu mouilles ! »
Elle : « AAAHHH  AHHHH » (long sanglot de chienne)
LUI : « Tu sens bien le plug dans ton cul, là ? »
Elle : « OUI »
Lui :  « Connasse ! ah voila ! »
Elle :  « AAAH »
(Il y a quelque chose d’animal, en fin de compte, à se faire baiser le cul…Ton cerveau, Violette, à cet instant-là, est dans ton cul….Tu dois te sentir comme la reine des pouffes. Se faire casser l’anus par une si belle après-midi, il n’y a rien de mieux…)

Ma chienne, toujours en position, reprend un peu ses esprits.
Elle : « Je voulais ça mais je ne me pensais pas capable »

Lui (la baisant toujours de son doigt) : « Tu ne te sentais pas capable de quoi ? »
Elle (avec un long sanglot heureux): « Ben  de faire ça ! mais finalement. ouiii. »
Lui (toujours la travaillant) : « Et finalement tu y arrives ! » 
Elle : « Finalement j’y arrive » (un long râle) puis une supplique : « ooh bouge dedans ! bouge dedans ! »
Lui :  « Hein ? »
Elle : « Bouge dedans OOOUII »

(
Te rends-tu simplement compte, Violette, combien j’ai fait de toi un animal servile, à la merci des jouissances les plus honteuses ? Combien ta volonté s’est érodée, combien je t’ai rendu réceptive à des pratiques que, voici seulement deux ans, tu aurais réprouvées ? )


J’ai retiré le plug…Cette portion de toi entre ton œillet brun et ta fente insatiable, et cette bande de peau plus sombre qui relie l’une à l’autre, et ce cul généreux, c’est devenu maintenant le centre de mon monde. Alors quand je mis ma pine au ras du trou, la gaine anale se trouvait tellement lubrifiée que les muqueuses parurent aspirer ma verge…
Pendant qu’elle poussait de longs gémissements modulés, son cul s’ouvrait, je m’enfonçais en elle jusqu’à la racine, c’était comme glisser comme sur un plan incliné… une enculée qui sait s’ouvrir aux hommes..
Jamais je n’avais eu l’impression d’une chose aussi parfaitement à ma taille, d’un fourreau aussi doux et soyeux. Je me mis à aller et venir dans les entrailles féminines…
Ce fut presque trop court tant j’étais excité…Elle me fit voir, tu me fis voir.. un ciel plein d’ étoiles.


Puis  tu me retires l’objet qui a du mal à ressortir tant il est fiché en moi, et toi tu prends sa place, tellement excité que tu viens presque tout de suite, presque trop vite, et t’écroules sur moi .. 
Alleluia, je vais redevenir humaine, ce sera un souvenir  brûlant de plus, chaque fois il me semble que c’est encore mieux qu’avant, plus fort, plus inoubliable  ..


On reprend nos esprits, quand même un peu sonnés, et puis c’est la dernière fois qu’on se voit avant les vacances.

On range, on boit, on prend une douche, la voix un peu surjouée, l’émotion contenue maintenant. 
J’ai du mal à partir d’ici, et j’ose te le dire, ce lieu est un aimant, l’anneau diabolique  brille en son centre, il me dit « je t’attends », déjà .. avant qu’il éteigne la clim, qu’il referme la porte à clef, et qu’on ressorte dans la touffeur de la fin d’après midi.

Et que dans ta voiture qui me ramène en ville, tu me redises ces mots que j’attends et que j’entends chaque fois » je pense qu’on se reverra » (et tu semblais ajouter silencieusement : « très vite ») en me me donnant un dernier baiser.
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Quelques jours ont passé. Ma vie sexuelle était déjà très compliquée. Ma vie affective le devient.

Tu es repartie et j’ai déjà envie que tu reviennes. Après trois nuits sans sommeil, où je n’ai pensé qu’à toi, après nos mails pluriquotidiens, je me suis rendu à l’évidence. Toutes mes digues ont cédé, et je me laisse emporter par le flot de ta sensualité. Alors ce soir, quand tu conclueras notre conversation sur msn, je saurais quoi répondre.

Elle : bonne nuit.. Je t’aime.

Lui : moi aussi… moi aussi je t’aime.






Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : les blogs persos
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