Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 09:45

PREMIERE SEANCE AU DONJON



Lui
T.- 11 juillet 2008- 13 h33.

Il fait chaud. Je viens de me garer dans le parking souterrain, juste à côté de l’hôtel.. Je me sens un peu nerveux. Tout à l’heure, à 11h23, reçu un texto d’elle me prouvant qu’elle est bien dans son  TGV : « C bon, on est reparti mais quel b… !) ». C’est à ça qu’on reconnaîtra toujours les femmes : la pudeur. Une seule lettre au lieu du mot entier. Jamais on ne leur fera dire : « encule –moi », mais tout au plus « e….-moi ». Je suis nerveux parce que je subodore un retard de train, des complications etc…Qu’elle viendra, je suis en revanche persuadé, je la connais trop bien maintenant…

J’envoie un texto « Je suis en bas de l’hôtel » et j’attends sur l’esplanade, écrasée par un soleil de plomb.  Je repense au programme que je lui ai concocté. Elle m’a trop exaspéré pour une tendre séance dans sa chambre d’hôtel. Ce sera le plan B : transfert en voiture puis séance de fouet dans le donjon. Après…après j’aviserai en fonction de la tournure des évènements (soit je lui fais subir l’humiliation ultime, soit retour dans sa chambre d’hôtel). 

Violette

Ce matin la, donc, un beau matin ensoleillé de juillet, je me suis trouvée embarquée dans ce « rail movie » à suspense, avec les inévitables retards de train, la correspondance ratée mais remplacée par la providence, le cheminement maudit entre la gare et l’hôtel sous l’impitoyable soleil de midi, et lui, bien au frais,  m’envoyant de petits textos banals et rassurants, et pour finir, alors que je refermais enfin la porte sur ma chambre d’hôtel pour m’y rafraîchir et m’y apprêter : « tu es arrivée à bon port » ? (Oui, « à bon porc ! », ai je eu envie de répondre !)


Lui

« J’arrive » : son texto me surprend par sa rapidité et sa brièveté. Je me remémore toute l’organisation que j’ai mise en place pour son « accueil ». La climatisation qui tourne depuis hier soir dans la « salle des tortures », la bouteille de muscat au frais dans le vieux frigo du rez de chaussée, la moquette rouge pas encore fixée mais dépliée pour l’occasion, le « sound system » qu’il n’y a plus qu’à allumer pour créer l’ambiance musicale.. et pour commencer, la « petite surprise «  que je lui ai préparée dans la voiture…les menottes dans la portière de gauche et les fers à chevilles sous la boite à gant…Sonnerie de mon portable., La miss arrive juste à ce moment-là, sourire aux lèvres, et lunettes de soleil..
Je ne sais pas pourquoi mais je sens que  la journée s’annonce bien. Je fais un petit salut amical et souriant . La miss, sans se départir de son sourire, attend patiemment que se finisse ma conversation. Je l’observe tout en parlant : vêtue d’une robé légère et de talons hauts. Elle me plait bien. Ca devient une habitude : on s’est à peine échangé trois mots que déjà nos corps se cherchent.. Je l’emmène , la prend par la taille, lui indique la direction du port.. Je l’entraîne à ma suite dans le parking souterrain.   

Première satisfaction : la femelle a fait ses 450 km rien que pour ouvrir ses cuisses.

La dernière fois que je lui ai faite cette réflexion, elle a eu un haut-le-corps, un sursaut d’orgueil outragé.. mais n’est-ce pas l’implacable vérité ? deuxième satisfaction : elle a l’air plutôt détendue, rien à voir avec les séances précédentes, la perspective de baise prochaine devient source de réjouissance et non plus d’inquiétude. 
Ouvrir tes cuisses redeviendra un geste naturel, je te le promets..

Violette

En fait, c’est la première fois que nous nous rencontrons dehors, en public, et sous la lumière du jour ! Une chose que je redoutais à plus d’un titre, mais qui me devient soudain la plus naturelle du monde.
Je me rends compte, une fois de plus, de l’épaisseur injustifiée de mes tabous, et qu’ils s’effondrent les uns après les autres tels des colosses aux pieds d’argile, et sans beaucoup d’effort !; dans l’allée, il me prend la main : des années que je n’ai pas marché ainsi, alors je suis bon public et je lui en fais la remarque en souriant



Nous avançons dans l’allée obscure du parking et je lui prends la main. Pas prévu au programme mais j’ai eu envie. Elle est touchée : « ça fait longtemps qu’un homme ne m’a pas pris la main… ». J’ai un ultime geste de galanterie : lui ouvrir la portière. Il fait chaud mais pas trop, l’endroit est désert et obscur. J’abaisse les vitres car je n’ai pas l’intention de démarrer, pas immédiatement...   
« Tu as une culotte ? Tu vas l’enlever immédiatement ! » Ma voix est plus tranchante, je viens de décider de basculer dans le jeu. Maintenant. Elle me regarde un peu surprise  « retire ta culotte ! ». Elle s’exécute, un peu d’inquiétude dans la voix. « Je veux que tes fesses soient directement en contact avec l’étoffe du siège. Retrousse ta robe. »
« Je veux que tu éprouves cette sensation de ton cul sur le siège, comme dans Histoire d’O chapitre 1..lorsqu’elle est amenée au dressage.. ». 
« Sous la boite à gant, il y a un objet métallique » je poursuis « tu le prends immédiatement ».
Sa main plonge. Bruits et tintements métalliques. Les fers aux chevilles. « tu refermes les bracelets sur tes chevilles.. »
« Mais.. »
- Ne discute pas. Obéis ! ajoutai- je d’une voix douce.

Elle se penche en avant. Je ne vois pas grand-chose dans la semi-obscurité du parking souterrain, je perçois tout juste le cliquetis du métal et la l’éclat fugace d’un bracelet. Puis les bruits caractéristiques des deux bracelets qui se referment…Doux claquements qui résonnent à mes oreilles.. Mais je préfère vérifier par moi-même. Ma main file le long de ses jambes, histoire de vérifier la présence des bracelets. Contraste entre sa peau douce et chaude et le froid et la dureté de l’acier qui entrave ses mollets.. Entre ses chevilles, j’aperçois la chaînette, tendue, luisante.  « Bien tu maintiendras tes cuisses écartées pendant tout le trajet ! » 
« Parfait, à présent, dans ta portière, il y a des menottes, tu les  prends et tu te les mets ».
Elle proteste encore…  « mais je ne vais pas arriver à me les mettre moi-même.. »
« Dans ce cas, donne-les moi ».
Donne les moi, salope ! me dis-je en mon for intérieur. Je vais me faire un plaisir de te les passer.
« Mais…si quelqu’un me voit avec ? » objecte-t-elle alors que je lui enchaîne précautionneusement les poignets.
« il y a une carte routière devant toi ! tu la déplies sur tes mains, tu cacheras ainsi tes menottes ! »
Ainsi fut fait. En route, à présent…
« Il y a deux écueils.. » lui expliquai-je alors que nous débouchions du parking « deux risques …le premier, c’est d’être arrêté par les flics, le second c’est d’avoir un accrochage. Dans les deux cas, je me vois mal te faire descendre de la voiture avec tes chaînes…alors prions pour que le trajet soit sans anicroche.. »
Elle se tourne vers moi : « C’est loin d’ici ? »
«  Dix minutes si le trafic est fluide… ». Mais ce n’est pas son visage que je regarde, ce sont ses jambes que je distingue bien, maintenant, dans l’éclat du soleil…Je n’arrive pas à comprendre pourquoi elles me fascinent, elles captivent tant mon regard…Est-ce l’anneau d’argent qui lui emprisonne la cheville ? pas seulement.. Est-ce le galbe de sa jambe qui me fait ressentir cet élancement délicieux dans mon bas ventre ? Elle m’a encore jeté un sort!..

Elle est étonnement détendue. La conversation reprend sur un ton badin, comme si de rien n’était. Ma passagère commente le paysage urbain, sourire aux lèvres. De temps en temps, un délicieux cliquetis accompagne ses mouvements. Je ne vois pas ses chaînes mais je les entends….
  Elle sourit, et par jeu comme par défi, rejette la carte routière à ses pieds … « on est sur l’autoroute maintenant, je n’ai plus besoin de me cacher ! » Elle ne ressent aucune honte, elle porte ses menottes comme elle porterait ses bijoux, c’est presque incroyable mais pour elle, c’est comme une parure, comme un ornement. Etonnement détendue donc, ma femelle lyonnaise, rien à voir avec Corinne, qui placée dans la même situation, entre Toulon et Marseille, ne savait plus où se mettre…

Et alors quoi ?  Cette salope-ci n’a pas la réaction que j’attendais.. Mais c’est peut-être aussi le signe qu’elle fait d’énormes progrès…D’ailleurs, je m’en fous, je ne pense plus qu’à ses jambes que je me promets d’écarter bientôt …

Elle me rend fou, cette garce : je vais la baiser. Gicler dans son trou. 

« Nous arrivons bientôt » fais-je
« - Je vois que nous sommes dans une zone industrielle » remarque-t-elle, curieuse et un peu inquiète du côté glauque de l’endroit.
« -urbanisation mixte » je corrige « moitié résidentielle, moitié industrielle ».
Je l’observe à la dérobée, elle est joyeuse en fin de compte. Joyeuse que  tout à l’heure, je lui ai pris la main, joyeuse que je la promène en voiture, joyeuse que je la conduise au donjon, dans le saint des saints. Joyeuse en fait de se savoir enfin une soumise à part entière…

«Tous ces  laurier roses, il y en a partout !» s’exclame-t-elle en regardant par la vitre latérale, histoire de m'échapper un peu.

Moi, c’est plutôt une feuille de rose que je te réserve, pensai-je tout bas, et probablement beaucoup plus  ..
Le temps de me garer dans un coin discret. Je coupe le contact et me tourne vers elle. « Inspection de la chatte, ouvre-moi tes cuisses ! ».  Elle proteste mollement , mais ma main a déjà filé sous la jupe . C’est bien ce que j’imaginais : je passe un doigt sur la fente et l’endroit est chaud et visqueux. Moite comme une lavette à vaisselle, trempée comme une soupe.
« Mais dis-moi, tu mouilles comme une salope ! Regarde comme tu mouilles… »
« - Mais non, fait-elle avec humeur, il fait chaud, c’est de la sueur.. »
De la sueur, mon cul !
  « Tu parles ! de la sueur ! tu mouilles comme une vicieuse, oui ! ». Et de retirer mon doigt, luisant, et d’y goûter, et de le lécher..
« mmmh » fais-je «  c’est de la liqueur d’amour, du jus de chatte. Un vrai pot de miel… ».
Je la vois se décomposer..   
Je regarde dans le rétroviseur. Un type s’approche. « Il y a un passant. Cache tes mains. Ensuite, je te délivrerai. »  Aussitôt dit , aussitôt fait. Le type passé, je débarrasse la chienne de ses entraves métalliques.
« - Ne perdons pas de temps ! tu vois cet entrepôt ? le donjon est juste derrière. »
je continue à donner mes instructions.
« - Tu me suis discrètement. Tu restes bien à gauche pour éviter de te faire voir du hangar. C’est le hangar de Roland. »
De nouveau, je la vois se décomposer…  « Le hangar de..de Roland  …  ? mais tu m’avais dit qu’il ne serait pas là ? Il ne viendra pas avec nous au moins ?? »
Roland  n’est pas là aujourd’hui » répliquais-je « ça ne m’aurait pas gêné qu’il te voit. Simplement, inutile de nous faire voir de son personnel.. Allez viens.. ! »
  Nous passons devant un camion. Deux types nous dévisagent . Nous leur disons bonjour le plus naturellement du monde. Nous longeons l’entrepôt lépreux sur un sentier envahi d’herbes folles. C’est fou de penser que le local  sinistre dont j’ouvre la porte d’entrée a servi de logement il y a peu de temps encore….Je fais entrer la chienne. Elle ne peut pas ne pas voir les planches qui traînent à même le sol, la sciure sur le carrelage, les pots de peinture abandonnés, elle ne peut pas ne pas sentir l’odeur amère du ciment frais, des canalisations pourries ..
  Tu voulais voir le donjon, mon bébé ? Tu ne me croyais pas quand je te disais que ça n’était pas prêt, n’y trouvant qu’un prétexte pour t’empêcher de venir ? Eh bien, tu y es !!

Violette

Dix minutes plus tard, nous arrivons devant un grand hangar dans une banlieue paumée écrasée de soleil du  style « Amérique profonde ». Nous contournons le bâtiment par un sentier envahi d ‘herbes hautes, on entend le chant des cigales et le ronronnement du climatiseur, juste au dessus de la porte rouillée qu’il ouvre avec l’une de ses nombreuses clés secrètes. J’ai beau me dire que je suis folle, j’entre tout de même dans la souricière avec la plus grande curiosité, la première étant de vérifier l’adéquation  avec les photos qu’il m’avait envoyées.
Tout y est, en pire : le matelas neuf roulé en attente de son lit, les planches sur le sol carrelé, les sanitaires complets mais sans raffinement, les ampoules nues au plafond, l’odeur terreuse de ciment frais, les fils qui pendent de partout, et l’escalier de bois brut étroit et escarpé, inondé de lumière, cette redoutable lumière zénithale qui m’attend, je le sais, tout là-haut ..
Les honneurs du rez de chaussée rapidement faits, nous montons à l’étage, d’abord dans une pièce « innocente », qui serait agréable si la chaleur n’y était intenable. Il se dirige donc rapidement vers la porte basse, façon médiévale, l’ogive en moins, qui conduit au donjon ..


Lui

Pour lui remonter le moral, il y a le vieux frigo qui ronronne bruyamment, avec deux bouteilles de bon Muscat au frais. La salle de bain, avec sa douche à peu près correcte.. à l’inverse des WC, poussiéreux. 
« Et là c’est l’escalier ? celui qui monte au donjon ? » dit elle en considérant l’échelle branlante aux marches escarpées et  tachées de peinture.
« oui, absolument. Mais avant, viens je vais te montrer quelque chose… ». J’ouvre la porte qui donne sur une autre pièce, sombre. Je montre à la chienne ébahie l’ébauche ce qui sera sa future cage.. « Un jour, je t’obligerai à entrer dedans. Dès qu’elle sera prête… ».   
Nous voici dans la pièce du haut. La clef dans la serrure, j’ouvre la petite porte et la fait rentrer dans la pièce voisine. Elle doit se pencher pour passer à travers l’étroite ouverture…est-elle impressionnée ? je le crois. A la chaleur ambiante succède la fraîcheur entretenue par un climatiseur qui ronronne doucement…La pièce est gris anthracite, les quatre murs ainsi que le plancher, recouvert partiellement de moquette rouge. 
Trois  rais de lumière zénithale venus de trois vasistas situés au plafond irisent la  vaste salle. Deux paires de chaînes, les unes au milieu de la pièce, les autres à droite tombent du lointain plafond. Je referme discrètement la porte derrière moi, à clef. La femelle a vite repéré la table suédoise, elle en profite pour photographier la grande moquette rouge sur laquelle j’ai disposé tout mon matériel..
« C’est très bien » me dit-elle « il faudra juste oblitérer les vasistas par des stores pour que ce soit plus intime ».
« C’est prévu  » répliquai-je. Pour qui se prend-elle ? agent immobilier ? décoratrice d’intérieur ?. 
« On peut repartir ! Je suis contente d’être venue ! » conclut-elle avec un sourire. Plaisante t elle vraiment?

Je ris sous cape : elle va vite déchanter. 

« Tu n’imagines quand même pas que je t’ai amenée ici  simplement pour te faire visiter les lieux et écouter tes commentaires ! ».
Je vis son visage se décomposer en quelques secondes… » Je ne pourrai rien faire ici.. il y a trop de lumière… » se met-elle à gémir. 
Mais je ne l’écoute pas, j’essaie de l’entraîner mais elle résiste ! Mon premier objectif : l’entraîner au centre de la pièce, lui passer le gros collier métallique, et l’attacher au bout de la chaîne qui pend…Le plus simple aurait été bien sûr de lui empoigner les cheveux pour parvenir à mes fins. Mais elle essaie de parlementer. Tout en faisant mine de négocier, je rapproche la chaîne et la ramène à proximité de la femelle…

Violette

Il s’approche de moi avec un lourd et épais collier métallique pourvu d’ un mousqueton et entreprend de me le passer autour du cou. A ce moment la précisément je me rebelle devant l’obstacle, surtout quand je comprends qu’il va le relier à la longue chaîne qui coulisse de la haut, et que je vais être attachée telle une chienne à la niche, et l’image me semble soudain révoltante.
Les autres fois, c’est toujours moi qui demande à porter un collier, comme par jeu. Là, c’est tout différent !
Comme je tente de résister, il me serre contre lui en me répétant de me calmer, toujours de sa voix douce qui se veut rassurante, mais, je vais le remarquer tout le long de cette éprouvante séance, volontairement détimbrée.
Cette nuance a sur moi un effet glacial, certes je me calme et j’obéis, mais contre mon gré, je sens qu’il est inutile de protester, tout en sachant que je devrais le faire, le pourrais, et qu’il serait bien obligé de sortir du jeu !
Mais voilà, est ce que je veux vraiment sortir du jeu ? non, bien sur, alors, j’accepte le collier, la laisse qui vient d’en haut, la lumière, tout pourvu qu’il cesse de me parler de cette façon la.


Lui

Que comptes-tu faire ? «  me dit-elle sur un ton suppliant « je ne veux pas que tu me mettes toute nue ici ! ».
« Je comptais te punir, je vais donc te punir ! » déclarai-je. Je refermai rapidement le lourd collier métallique autour de son cou. Passer le cadenas dans la boucle du collier pour le fermer complètement puis dans le dernier maillon de la lourde chaîne métallique fut l’affaire de trois secondes. Une fois le cadenas refermé, la salope se retrouve prise au piège, faite comme un rat ! « Tu m’attaches comme un animal ». dit-elle d’une voix plaintive, mais je sais que sous cette plainte se cache les prémices d’une secrète jubilation. Elle a besoin et envie de devenir chienne à l’attache, elle le sait bien…


« Prends moi en photo comme ça ! » me demande-t-elle. Ça y est : elle entre dans le jeu. Elle n’en sortira plus….Le temps de prendre quelques photos de la salope avec son collier et je décide d’avancer dans le programme.

Pour l’instant, si le collier ne lui permet plus de s’enfuir (car l’autre extrémité de la chaîne est solidement cadenassé, quatre mètres plus haut à la poutre métallique du plafond), il lui reste une certaine liberté de mouvement, d’un bon mètre autour de l’axe vertical  de la chaîne, qui m’est utile pour ce qui va suivre. « Tu va t’asseoir sur la moquette et mettre tes bas ! » lui ordonnai-je. Elle s’avance vers son sac, qu’elle ne peut atteindre. « Ils sont dans mon sac».
Je lui tend donc l’objet en question, avec une exquise galanterie. Assise par terre, sur la moquette, elle entreprend donc d’enfiler méticuleusement ses bas. Pendant ce temps, je branche et règle mon MP3 pour créer une ambiance musicale.. en lui expliquant que les voisins (le garage mais aussi une autre entreprise juste à côté) pourraient entendre et que la musique est aussi destinée à couvrir les claquements du fouet que je m’apprête à lui administrer…
« Voilà, c’est fait » me dit-elle. Je viens inspecter et m’aperçois avec stupéfaction que son bas noir sur la jambe droite est filé… « Mais tu te fous de moi ?! »   gueulai-je et l’éclat de ma voix la fit sursauter..  « Regarde-moi ton bas ! Je t’ai demandé de ressembler à une pute, mais pas à une pute de bas étage ! »
Rouge de honte, elle balbutie : « Mais je..j’en ai un autre… ». 
« Dépêche-toi de le mettre ! » aboyai-je « et plus vite que ça ! ». Honteuse en même temps qu’ahurie, la salope obtempère pour une fois sans répliquer …pendant que je saisis une paire de menottes. 

« Mets toi debout ! et plus vite que ça ! ». Prestement je passe les menottes à ses poignets et je les remonte à hauteur de son visage puis les fixe à la chaîne verticale. Je trouve également excitant de raccourcir la chaîne de son collier pour l’obliger à rester debout : la voici donc debout, mains entravées à hauteur du visage, et le collier à même hauteur, la chaîne verticale quasiment tendue. La situation est excitante mais périlleuse : que la miss vienne à perdre connaissance ou à perdre l’équilibre, et elle se retrouve avec le coup du lapin. (Je tâcherai la prochaine fois qu’il y ait une tierce personne car la chose est totalement déconseillée quand on n’est que deux )..

« Maintenant, salope, écarte légèrement les cuisses… »
« Qu’est-ce que tu vas faire, » gémit-elle
« Pour commencer, je te veux nue, en pleine lumière.. » ; oui, je la veux nue, histoire de mater un cul et des miches ballotants hors de toute contrainte.. 
« Non ! non ! » supplie-elle.
« Tais-toi salope ! quand je t’offrirai à mes amis, tu auras le droit d’être exhibée avec une guêpière. Mais moi, je te veux nue, à poil.. Je ne vois d’ailleurs pas pourquoi ça te traumatise puisque je t’ai déjà vue sous toutes les coutures, je connais chaque centimètres carrés de ta peau ou presque.. »
« Ooui mais c’était dans la pénombre, pas sous une lumière aussi crue, ! ».
Je ris sous cape, car je viens de relever sa robe jusqu’au cou et son corps m’apparaît en pleine lumière…Sans qu’évidemment la pétasse, menottée comme elle est, ne puisse s’y opposer…Elle n’a pas compris que c’est ce genre de thérapie de choc, qui la brusque et qui la fait progresser.. Elle n’a pas compris que je voulais qu’elle se donne totalement et complètement . Elle ne comprend pas que je la veux à poil, à l’exception de ses bas et ses chaussures. 

Ce qui m’intéresse c’est la viande…Pour moi, une Pute est une femelle qui ose être à poil en talons hauts, et capable de s’exhiber de son propre gré avant d’être capturée puis dressée. Et ça, tu finiras bien par le faire, salope ! Elle ne comprend pas, enfin, que pour bien la fouetter, il faut que je dégage totalement ses fesses, son dos, son ventre…..

J’en profite pour glisser une main dans la fourche. Sa chatte est douce et excitante, mouillée tout de suite, devient rapidement baveuse lorsque je profère deux ou trois obscénités. « Non, mais  tu as vu comme tu mouilles, salope ! tu m’en mets pleins les doigts »..Je plonge ma main entre ses cuisses, bientôt des nappes de lave clapotent autour… 

J’étale sur ses cuisses le jus que je récupère entre ses fesses, manière de lui faire voir combien elle est excitée.. Je la branle un peu , pas beaucoup car je suis stupéfait : je sens des gouttes chaudes inonder ma main comme si elle urinait, je vois une pellicule de jus tiède glisser sur sa cuisse et inonder son bas. Incrédule, je me recule.. Non seulement la chienne dégoulinait mais sa fente gouttait sur la moquette ! Rouge de honte et d’excitation, elle bafouille qu’elle n’est pas normale ,..qu’elle ira consulter sa gynéco… Je lui rétorque qu’elle mouille comme une fontaine et qu’elle n’a nul besoin d’aller consulter, et que oui, elle n’est pas normale car mouiller ainsi, c’est tout simplement…du vice !
Je suis allé chercher mon appareil photo, me suis allongé sous ses jambes écartées pour immortaliser la scène…
Il est temps de passer à l’étape suivante…Je me saisis du martinet. « Je vais maintenant te corriger ! » m’écriai-je « te faire payer toutes ces soirées que tu as passer à me faire tourner en bourrique ! ». 



Instinctivement, elle se protège, tourne sur elle-même pour soustraire ses fesses à la morsure du fouet et je réalise mon erreur : pour la fouetter en toute sérénité, il faut lui interdire toute liberté de mouvement, bras et jambes doivent être totalement bloqués. Donc plan B (que j’avais heureusement prévu à l’avance)…   Pour commencer, je lui saisis les poignets que j’emprisonnais dans les bracelets de cuirs pendus aux chaînes : la voici maintenant bras en croix, écartelée entre les deux chaînes. Pour compléter l’écartèlement, j’installai entre ses chevilles une barre de contrainte qui lui interdisait tout mouvement des jambes..

Commence alors un jeu que nous connaissons bien, Elle et moi. Je reprends un à un mes griefs des mois précédents et je lui chauffe le cul au martinet à chaque élément de mon réquisitoire.. Je relis à haute voix tous ces mails qui m’ont tant déplu, le claquement du fouet sur son gros cul faisant office de ponctuation du texte…

Mail du 02/07 :"regarde bien ces billets de train, tu n’es pas prêt de les revoir, ils vont revenir d’où ils viennent quand j’aurais un moment" Moi : « et un coup de fouet ! un ! »

Tes photos du donjon et les autres, à la poubelle !
Moi : « tu les a vraiment mis à la poubelle ? »
Elle : « non, non ! »
Moi « salope ! et menteuse en plus de ça ! un coup de fouet ! »

Je me demande pourquoi tu m’envoyais tout ça puisque ce n’était pas fait pour moi
Moi : « vraiment . Allez que ça te cingle le cul, salope ! »

Tu nous as offert une porte de sortie honorable, merci pour tout ! 
Moi : « Pas de quoi ! Prends ça chienne ! »



Mail du 24/07 : (où la salope annule sa venue) : "ne te fatigue pas. Pour le 11 juillet c’était un peu précipité. Bien sûr cela ne change rien à nos relations «
(Ben voyons, un coup de fouet).
"Je pense que tu seras tout à fait d’accord si j’en juge le passé récent.
(Un autre coup de fouet pour insolence)


02/07 petit rappel. "Eh bien, non, ce ne fût pas moi ! et comme je n’aime pas passer en deuxième service, ça sera jamais " (Tu vas voir !). "A moi de trouver une solution de remplacement et je n’en manque pas."  (salope ! un autre coup de fouet ! )

25/6 "Ecoute, si tu décommandes ton couple vendredi, je viens. Mais je veux une preuve, le transfert de ton mail."  tentative de chantage, allez hop ! le fouet !

Et moi de poursuivre ma litanie, car cette salope n’a rien trouvé de mieux que de porter l’affaire en place publique, sur un forum, m’attirant une bordées d’insultes de toutes parts  :  « 26/6 le topic ! et tu me l’as signalé pour être sûr que j’irais le voir ! le bouquet final !afin comme tu l’as si joliment dit de stigmatiser le gaffeur et me mettre au ban de l’infamie.

Et tes copains et copines du forum qui me traitent successivement de (1 coup de fouet par insultes) : 
Goujat ..  maitre trouduku … con ou méchant …  malsain…  con,.. cruel,…destructeur, ya des types qui valent1000 fois mieux que lui ! dégage-le de ta vie !

tu me demandes s’il est con ou méchant : l’un ne vaut pas mieux que l’autre ! 

c’est soit un gros porc soit un mec bien avec une idée bien précise..  « alors là je t’épargnes, »fais-je«parce qu’elle a quand même pensé que je pouvais être un type bien.. »
il est soit con soit méchant soit probablement les deux !

Et elle encore :
»Il sait qu’il est en train de me perdre, par vanité, maladresse ou plus simplement sotte provocation d’enfant gâté."
Regarde, salope comme il te chauffe le cul, l’enfant gâté !!
Vil et bas .connard immature… «ces insultes valent 4 coups de fouet. »

Et au gré de toutes ces insultes et de mes griefs, je la flagellai avec un rythme et une vigueur qui lui firent écarquiller les yeux…

"Et aucun doute sur le fait que je vais le rejoindre dans 10 jours juste pour quelques heures et à 400 km de chez moi pour passer au 2è service ? non mého ! «  

Non, aucun doute, salope ! puisque tu es là ! et tu vas voir pour le 2è service ! «  « et tu as fait tes 400 km ! juste pour ouvrir tes cuisses! je me marre! tiens prends ça ! ».et la morsure du cuir, de nouveau sur son cul tout rouge, couvert de cinglures..

cuir, de nouveau sur son cul tout rouge, couvert de cinglures..

Et la chienne de finir par craquer, acquiescer, suprême victoire du Maitre : « Oui, finit-elle par dire piteusement au bord des larmes, oui, tu as raison, je suis nulle, d’être venue » ..
Mais c’est un régal de la mettre en face de ses contradictions, de l’amener peu à peu à se renier…Elle ne s’appartient plus, il faut qu’elle le comprenne. Ma jouissance est clairement là : n’en faire qu’un objet, une marchandise femelle…J’observe son cul : il est très rouge. Je préfère arrêter avant les hématomes.

La séance de punition terminée, il me faut maintenant passer à la troisième étape. J’ai l’intention de la coucher sur la table, exactement comme Caroline, pour le « deuxième service » (quel régal si j’y parviens !) et d’au moins la baiser. Qu’elle se laisse  sodomiser serait le couronnement suprême mais là ça dépend surtout de moi…

J’ai envisagé qu’elle me résiste, bien que je n’y croyais plus guère : je sais d’expérience que c’est la première résistance qui est la plus forte (celle du début, lors de l’entrée au donjon).
Ensuite, l’enchaînement des faits, le conditionnement de son corps par le fouet érode sa résistance, de même que le reniement progressif d’elle-même, l’abandon de toute fierté et de toute dignité.
Aussi, c’est une femelle totalement déstabilisée et cassée que je détache et qui se laisse conduire, presque sans protestation, vers la table suédoise. Deux paires de solides menottes, solidarisées à la table, l’attendent, et si j’arrive à lui enchaîner les poignets, le reste viendra tout seul.

Violette

..    Après deux ou trois protestations de principe, je  m’allonge sur les deux oreillers disposés sur cette solide table de fabrication suédoise, sachant bien à quoi m’attendre, puisque cette fameuse table semble vouée au seul cul-te de Sodome ..  et puis le soleil a tourné un peu et ne tombe plus directement sur la table comme tout à l’heure.
Au dessus d’une des extrémités de la table, une barre de contrainte est disposée à bonne hauteur, soutenue par deux chaînes accrochées au plafond. Cela ressemble un peu à un trapèze, comme dans « les Ailes du Désir » notre film  .. cul-te.
Un sombre consentement m’envahit. Rien n’a été dit mais je sais.
Il me propose un masque de cuir, que j’accepte avec reconnaissance. Il a du mal à le fixer complètement à cause de mes cheveux qui se prennent dedans, mais à aucun moment, je n’aurai la tentation de regarder par dessous.
Résignée, je me laisse attacher sur la table par les poignets (menottes ou bracelets de cuir, impossible de m’en souvenir) et bien sur par les chevilles, de part et d’autre de la barre de contrainte.
Je reste silencieuse, le MP3 passe une chanson qui me rappelle des souvenirs plus tendres ( Natural Blues ..)  comme j’en suis loin …  mais non, pas si loin … .. Je sens qu’il s’affaire sans hâte autour de moi, va chercher des choses et déplace des objets ;  j’entend un claquement caractéristique : le latex d’un gant chirurgical ? Je ne suis qu’attente, résignée, et ce que je crains arrive : je sens son doigt ganté, nappé de gel , s’introduire très lentement dans mon petit trou, sans aucune caresse ou avertissement préalable. J’essaie de me tortiller pour dévier son chemin, pour la forme, mais je sais que c’est peine perdue .. A la froide agression du gel, succède bientôt une insidieuse chaleur qui commence à me ravir les entrailles .. 
Tout est fait avec tant de douceur et de lenteur  que je perçois à peine le moment où son sexe remplace son doigt sinon à la douleur passagère, mais qui est moindre dans cette position, et je peux hautement  le confirmer ..

Et pendant de longues minutes, il me possède ainsi  délicieusement pas, et voyant que tout se passe aussi bien, je commence à aimer vraiment ça, à avoir envie que ça dure encore, cette délicieuse sensation oubliée d’appartenance encore plus totale. Des mots sont échangés, tendres et crus, je ne sais plus trop quoi, mais à ce moment là nous parlons.

Lui

La victoire est totale, et comme elle semble ne pas vraiment souffrir, je l’embroche  jusqu’à la garde puis allant et venant franchement en elle, secouant son ventre sans ménagement. La surprise et je dois le dire, une certaine forme d’allégresse, se lit sur son visage. 

Ça te plait, hein, chienne ; cette bonne grosse machine qui te secoue le ventre ?  J’avais pris soin de laisser mon appareil photo à portée de main, pour immortaliser ma victoire au cas où, et surtout pouvoir filmer à son insu.. Je le fis donc, content de jouer  un bon tour à cette cochonne…Quel délice, ces séquences vidéo..et de voir mon braquemard s’enfoncer entre ses fesses dodues.. Quelle joie ! Je suis tellement excité que j’en ai les couilles gonflées comme des balles de tennis…
L’allégresse donc, sur le visage de ma victime.. Elle n’est plus qu’un corps qui jouit de ce qu’on lui impose.. Elle a probablement conscience, à ce moment-là, sur la table du donjon, ma bite bien à fond dans son cul, qu’elle devient une esclave à part entière..Ca te plait tant que ça, grosse cochonne, de te faire casser le popotin ? alors j’y retournerai plus souvent qu’à mon tour… et ce délicieux moment quand réalisant enfin que je la filme, elle est submergée par la honte. Elle boira la coupe jusqu’à la lie !

Arrêt sur image : (partiellement censurée)

Moi : ah ça te plait hein ? »
Elle : « J’suis contente de l’avoir fait avec toi. »
Moi : « Oui moi aussi j’suis content que tu me donnes ça !
C’est ta partie la plus..tu vois, la plus difficile à prendre.. »
Elle : « Oh oui j’me donne là ! »
Moi : « La partie la plus.. plus la plus rebelle »
Elle : « Ooohh »
Moi : »Donnes toi bien ! »

Violette

Sans avoir conclu, il se retire lentement et c’est à ce moment la que je me rend compte vraiment d’avoir été possédée .. aussi profondément.
Une sensation très curieuse ..
Complètement abandonnée, (matée ?)  je le laisse prendre encore des photos .. euh .. très intimes et très possessives .. et  puis  je peux me relever, un peu groggy quand même, pour enchaîner aussitôt sur des jeux plus .. classiques mais infiniment affamés, à même le sol. Animalement..

Lui

Plus tard, je la détacherai, je la baiserai à même le sol, en levrette mais dans la chatte cette fois, puis l’attirant à moi, sur moi. Elle m’enfourche, merveilleux foutrage, étroitement vissés l’un à l’autre, nous restons ainsi un long moment, sans dégainer..

Violette
D’un commun accord, nous décidons quand même de  battre en retraite vers l’ hôtel pour la suite des festivités, qui seront, elles plus conventionnelles et sans le moindre artifice ni mise en scène  mais toujours aussi passionnantes pour l’ensemble de l’humanité jusqu’à la fin des temps.

Avant de partir, il rafle dans le vieux frigo, un tire bouchon, et  deux bouteilles d’un divin muscat; nous boirons la première à l’hôtel dans les verres en plastique de la salle de bains et il m’offrira la deuxième. Il oubliera le tire bouchon violet, que je ne pourrai lui rendre qu'à la prochaine saison ...


Lui

Plus tard encore. On veut encore baiser, il nous manque un lit, on décide de retourner à l’hôtel et d’y boire une des  deux bouteilles qui attendent en bas. Nous repartons. Sous le chant des cigales. Il est 16 heures30. Dehors, il fait encore très chaud…




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Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : les blogs persos
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