En cette morose fin d'année sans espoir et sans but, j'ai envie de faire plaisir à mes (rares) lecteurs, en leur offrant le
récit somme toute rafraichissant d'une lointaine soirée de juin où je ne suis pas. Ils vont donc respirer!
Moi, je suis effacée désormais, je ne suis plus là, dans la vie. notre vie, et notre maison a été rendue.
Ce récit n'est en effet pas de moi, mais de la charmante et douce Emilie, jeune fille qui fut longtemps ma rivale et que le
héros de cette histoire m'a sacrifiée sans regrets. Il était "arrivé au bout avec elle", tout comme il a fini par y etre avec moi.
Sauf que j'ai résisté plus qu'elle, me suis battue jusqu'au bout et que j'en meurs.
Voir certains chapitres précédents (Révélations, l'autre dans l'ombre etc .. ) pour l'historique.
Il s'agit (si je le crois) de la dernière séance au donjon de cette demoiselle, remerciée comme je savais que je le serais un
jour (mais il a eu plus de mal avec moi le salaud!)
Il va sans dire que j'ai encore préféré la mienne, de dernière fois ... meme si le mensonge et la dissimulation
s'avéreront plus forts que l'authentique désir que j'avais cru voir alors, en cette belle matinée d'aout.
Cette traitrise ne cesse de me torturer, la douleur de la perte se dispute avec la rage d'avoir "été eue", qui vaincra ? et
comment vais je m'en sortir ?
En attendant de le savoir, donc, respiration érotique, du temps de la gloire du donjon, ce joli récit assez touchant
et que je trouve bien écrit.
La scène se passe le 25 juin 2009. trois semaines après ma reconquête (3 juin) et un mois avant ma
conquête officielle et exclusive (24 juillet)
La jeune fille n'est plus vierge deepuis le 13 mars. Il ne l'avais revue qu'une fois, pour la forme étant arrivé à
son but. (non pas à cause de la résistance de la fille, mais de la .. sienne propre : déjà pas d'envie.
Juste envie de ce scénario, ou plutot, l'envie de Roland.
D'ailleurs dans la scène qui suit, il n'y a aucun rapport sexuel. Juste des choses bien plus hard!
Récit de la rencontre du 25/06/09
Je suis Emily 20ème soumise de Maître Luc. Je suis en cours
de dressage. Je veux être dressée en objet de sexe afin de faire de moi une vicieuse facile et fière de l’être.
Et je vais vous raconter la dernière séance passée en une compagnie différente
des autres jours…
Depuis le dernier récit (et cela fait bien longtemps déjà), j’ai revu plusieurs
fois Maître Luc et, ma foi, beaucoup de choses ont changé, ou du moins évolué… Entre autres (celle-ci est sans doute la plus importante) le fait que je ne sois plus vierge. Ma « première
fois » a été un moment très agréable, que j’ai vécu pleinement (il se reconnaîtra ^^).
Le soir dernier a été le soir des premières fois. Cela faisait quelques temps
déjà que le Maître me parlait de rencontrer (et d’être bien sûr dominée par) une femme. J’ai eu du mal à m’imaginer être dominée par une femme je l’avoue ; mais « l’anxiété » a
vite laissé place à l’excitation. L’excitation de découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles sensations aussi.
En plus le Maître m’avait expliqué que cette Domina d’un soir avait été
auparavant sa soumise, qu’il l’avait ensuite présentée à un autre Dominant et qu’elle avait succombé aux désirs de ce dernier. Elle avait émis plus tard le souhait de dominer un jour une femme.
Et cette femme on avait conclu que ce pourrait être moi. Ce jour tant attendu (et tant redouté malgré tout) arriva.
Comme je le faisais depuis quelques temps je
pris le train d’Antibes à Toulon à 15h49 (exactement ^^) afin d’être un peu en avance (un peu … hum … la séance devait débuter à 21h30 et j’arrivais à 17h15…). Mais au moins ça me laissais le
temps de me préparer. Mais en fait je crois que je me suis laissé un peu trop de temps. A force de ne « pas savoir quoi faire », j’ai commencé à réfléchir à la manière dont se passerait
la séance. Chose à ne pas faire quand on est un peu angoissé de nature comme moi … Mais bon, que voulez-vous… une fois que j’avais entamé mes petits
scénarios impossible de m’arrêter.
Je me suis donc quand même préparée. Je me suis rasée la chatte, les jambes, et
les aisselles... et j’ai pris une douche (il était environ 21h). En sortant j’ai regardé mon portable (sorte de pressentiment… qui s’est avéré fondé) et j’avais reçu un message de Maître Luc qui
me disait qu’il était déjà en bas… L’horreur, je n’aime pas le faire attendre, et je n’étais même pas habillée. Heureusement je savais ce que j’allais mettre… j’ai donc enfilé un soutien-gorge,
des bas, une robe et j’ai mis des talons (pas de culotte, ce n’est pas utile). J’ai pris un petit porte-monnaie, mes clefs et mon courage à deux mains et je suis sortie. Il faisait frais, mais
j’étais tellement excitée et stressée que j’avais l’impression d’être dans une bulle.
Quand je suis montée dans la voiture du Maître, j’ai senti une grosse boule se
former dans mon ventre. Et malheureusement cette boule ne m’a presque pas quitté de la soirée.
Enfin bon, une fois sur la route il m’a expliqué
ce qui n’allait pas se passer : Il a posé les limites, mais ne m’en a pas dit plus. Il n’était donc pas question que Maître Luc ou Roland (l’autre dominant) me pénètrent ; mais
après, en ce qui concernait ma Maîtresse d’un soir, je ne savais pas vraiment ce qu’elle allait me faire et ça me faisait vraiment peur, de plus en plus en fait.
Et le truc c’est que plus on s’approchait du
donjon, plus mon ventre se nouait. Le Maître m’a demandé à plusieurs reprises si ça allait, je lui ai dit que ça pouvait aller, mais il est vrai que je n’en menais pas large. J’avais envie que le
trajet dure éternellement, mais en même temps j’avais très envie d’aller jusqu’au bout. Arrivés sur place le Maître a envoyé un message à Roland et à Anna (ma Domina d’un soir) puis nous sommes
entrés.
Comme le donjon comporte 2 étages et que la
séance de ce soir allait se dérouler exclusivement au 2ème, le Maître a pris le temps de finir de me préparer au 1er. J’ai donc enfilé un corset rouge en vinyle (que j’avais
déjà mis la séance précédente) qui me fait sortir les seins et uniformise un peu mon buste. Il a ensuite montré quelque chose sur le lit dont on avait déjà parlé et dont j’avais émis le souhait
d’en porter : une cagoule.
Mais je vous avoue que sur le coup je n’avais
plus trop envie … mais je l’ai quand même enfilée et il m’a dit qu’il me mettrait le bandeau une fois les escaliers gravis. Et à ce moment là je me suis dit « wouhaou … ça va faire
bizarre ». Mais la chose à laquelle je n’avais pas pensé, c’est qu’il fait très chaud là-dessous !!
Bref, une fois en haut des escaliers, comme prévu Il m’a mit le bandeau, m’a
prise par l’épaule et m’a conduite jusqu’à la salle où se passerai la séance. Lorsque je suis entrée, j’ai senti qu’on se déplaçait autour de moi… et c’est alors que j’ai eu la sensation d’être
observée (ce qui ne devait pas totalement être faux ). Mais cela m’a procuré à la fois un sentiment de « honte » d’être exhibée ainsi et en même temps un sentiment de fierté pour la
même raison. Le Maître m’a prise par les épaules et m’a postée dos contre la croix de St André et il m’a chuchoté « mets les mains sur la tête ». Et j’ai obéi sans même réfléchir une
seconde.
On a alors commencé à me caresser, j’ai entendu qu’on chuchotait près de moi,
mais les mots ne m’étaient pas destinés donc je n’entendais rien. Jusqu’au moment où j’ai entendu le Maître s’adresser à Anna et dire : « Bon, ben voilà, elle est à toi attache là comme tu
veux, fais en ce que tu veux ». Et là je crois que j’ai dû frissonner. Ça ne m’arrangeait pas du tout ça… Pourquoi avait-elle tous les droits ? J’avais envie de crier : « ne
me laissez pas toute seule !! Ne m’abandonnez pas Maître !! »
J’avais vraiment peur, mais encore une fois je voulais aller jusqu’au bout.
Elle a alors pris la direction des choses sous l’œil vigilant (je l’espérais et il en avait été conclu ainsi) de mon Maître et de Roland. Elle a alors commencé à me poser des questions et je
répondais de façon plus ou moins audible et quand je sentais que je faiblissais, j’avais alors une sorte de sursaut qui me faisait redresser la tête et être fière de cette
situation.
Elle a alors demandé à ce qu’on m’attache à la
croix de St André et elle a continué à me poser des questions. Mais elle m’a vite reprise pour mes réponses. Puisque je répondais simplement par oui ou non.
Elle m’a dit que je devais ajouter un Maîtresse
à la fin de chaque phrase.
Elle a commencé à me caresser et comme elle
s’approchait de moi j’ai pu entrevoir sa poitrine par un petit trou par-dessous le bandeau. Et je vous avoue que j’ai apprécié la vue^^.
Elle a ensuite chuchoté quelque chose (je
suppose que c’était à Roland) et j’ai senti qu’on me passait quelque chose autour du cou (non non pas une corde.. enfin quoique lol), un collier avec une laisse accrochée. Elle a alors demandé à
ce qu’on me détache et m’a ordonné de me mettre à quatre pattes pour montrer à Maître Luc comment j’obéissais. Je me suis alors exécutée et je l’ai suivi à quatre pattes, tenue en
laisse.
Elle s’est arrêtée et j’en ai fait de
même. Et comme par habitude (mais c’était surement pour impressionner ou du moins satisfaire le Maître) j’ai écarté les cuisses et j’ai cambré les reins. J’ai alors senti des mains me caresser et
s’immiscer dans mon intimité, que ce soit dans mon cul ou dans mon con. Un doigt ou deux se baladaient dans un trou ou dans
l’autre.
Et d’un coup, j’ai senti de violentes
douleurs sur les fesses. Elle était en train de me donner des claques sur les fesses. Pour me les rendre rouges (d’après ses dires). Elle me frappait de plus en plus fort, accélérant de temps en
temps. Je serrais les dents pour ne pas crier, même si je crois qu’ils auraient aimé m’entendre crier. Mais j’ai résisté jusqu’au bout.
On m’a alors demandé de me mettre à genoux et je l’ai fait. Elle m’a ensuite
dit que j’allais pouvoir « goûter » à sa poitrine. Elle m’y a guidé et j’ai commencé à sucer son téton, à le lécher. Ma langue en faisait le tour, elle dessinait le contour et
s’attardait encore et encore sur le bout qui pointait vers moi. Je me mettais à sa place pour pouvoir lui donner le plus de plaisir possible, pour essayer de ressentir ce que je lui
faisais.
Je peux vous dire que j’ai savouré ce moment. Elle m’a demandé de me relever,
m’a remise contre la croix et a recommencé à me triturer les tétons. Sincèrement, à ce moment, j’aurais voulu qu’elle aille plus loin et qu’elle me mette des pinces, en fait je m’y attendais même
un peu mais rien de tout ça… Mais à la place elle a approché ses lèvres des miennes et a sorti sa langue et nous nous sommes embrassées, furtivement. Ce fut un moment délicieux. J’étais dans une
sorte d’état second, entre excitation et peur, mais ça ne m’empêchait pas de mouiller... bien au contraire. Je crois que je mouillais encore plus qu’a l’accoutumée et elle s’en est rendu compte.
Je mouillais comme la chienne que j’étais à ce moment là.
Elle a alors entamé une série de coups de fouet, mais j’ai encaissé. Elle m’a
demandé si j’aimais ça et j’ai dit oui. Elle m’a alors ordonné de la remercier par des « merci Maîtresse » à chaque coup qui tombait sur mes hanches, mes fesses ou encore ma poitrine.
C’est ce que j’ai fait. Elle m’a ensuite redemandé de me mettre à quatre pattes, de m’accouder sur le canapé et a continué sa série de coups de fouet, mais cette fois en ayant déterminé un nombre
(30 au début) et m’a ordonné de compter à haute voix. C’est après, que les choses se sont « corsées ».
Des doigts se baladaient toujours dans mes trous (con et cul) par un, deux et
même trois !! Je le savais, et elle m’a posé la question. J’ai pu répondre avec toujours ce sentiment de honte mêlé de fierté (car c’était la première fois que je me faisais enculer). Mais
là j’ai eu peur quand j’ai senti quelque chose en plastique au bord de ma rondelle… c’était un gode !!
Je n’en revenais pas. Autre que la première fois, la c’était carrément une
grande première. !! Ça m’a fait un peu mal, mais pas autant que je le croyais, et que j’avais pu l’imaginer…
Je sentais peu à peu mon ventre tressaillir et quand à moi j’étais à deux
doigts de défaillir. Mais à chaque fois j’entendais un Jimminy Cricket prononcer mon prénom comme pour me ramener à la vie. Ce devait être la voix de Maître Luc. Et à chaque fois je me redressais
et je me sentais encore plus fière. Et là elle à prononcé des mots qui m’ont presque fait sursauter : « bon maintenant, tu vas un peu t’occuper de ta Maîtresse ». Et j’ai de suite
compris, avant même qu’elle ne m’y invite où elle voulait en venir. Elle voulait que je lui fasse un cunnilingus.
Comprenez-moi bien, non seulement c’était le premier, mais en plus je n’avais
même pas encore fait de fellation. Donc c’était la toute première pour moi et d’ailleurs au début ça s’est senti autant de son côté que du mien. Elle a senti que je n’y mettais pas vraiment du
mien (j’étais descendue trop bas et avait eu un haut le cœur qui m’avait un peu refroidie…) et elle m’a alors donné un coup de fouet sur la croupe. Après ce rappel à l’ordre j’ai de suite compris
qu’il fallait que je me ressaisisse. J’ai alors cherché son Mont de Venus ; et une fois que je l’eu trouvé je me suis attardée dessus en le léchant du bout de ma langue, et en le suçant. Je
faisais des ronds autour, je m’attardais plus longuement dessus, et j’écoutais sa respiration pour savoir si j’étais sur la bonne voie ou pas. Au bout du compte, ça n’a pas été une expérience si
désagréable que ça, mais il me faut encore de l’entrainement.
Juste un petit rappel, j’avais toujours le gode fiché dans mon cul, mais je
commençais à m’y habituer, je le sentais moins.
Plus personne autour de moi… un vide, autour et en moi …
Le Maître s’est alors approché et m’a susurré à l’oreille : « elle
est en train d’enfiler un gode ceinture et elle va te prendre ». A ces mots j’ai cru que j’allais m’évanouir. J’ai ressenti une violente douleur avant même qu’elle ne me pénètre. C’était une
douleur psychique.
Le psychique a très vite laissé la place au
physique et au réel. J’ai senti un truc énorme tenter de me pénétrer en forçant un peu l’entrée. J’ai eu très peur et je crois que du coup tout mon
corps s’est contracté, rendant l’insertion encore plus difficile. Et quand cette chose est rentrée en moi, j’ai cru que tout mon être se déchirait, « violé » pas ce truc cet
engin.
Elle a alors entamé des va et viens, laminant
mon con. Je n’éprouvais pas franchement de plaisir à être prise par mes deux trous. Francis en a alors profité pour me signaler que si je n’en pouvais plus ou si ça faisait trop mal, je n’avais
qu’à dire « pitié Maîtresse ».
Mais je n’en avais pas envie, d’une parce que je
ne voulais pas décevoir mon Maître, et de deux parce que je savais que je pouvais et que je voulais le faire. Et j’avais raison peu à peu la douleur
commençait à laisser place à l’excitation.
Et puis elle a arrêté ses va et viens
et Roland m’a dit vas-y empale-toi. Mais j’étais déjà épuisée par le fait de supporter les allers-retours précédents. Je n’avais presque plus de force, j’étais comme vidée. Je n’allais donc
pas très vite. Même avec des encouragements je n’y arrivais pas. Alors elle a repris ses mouvements et j’ai commencé à pousser des cris. J’avais mal, mais je ne détestais plus ça. Roland et
Anna m’encourageaient à crier encore plus fort à donner tout ce que j’avais.
Mais j’étais déjà presque épuisée … alors
je me forçais à donner tout ce que je pouvais. Et le Maître est venu s’asseoir à coté de moi et m’a tendu sa main. J’y ai glissé la mienne et j’ai serré mes doigts, comme pour me donner du
courage. J’ai beaucoup apprécié… Puis Elle s’est retirée. Elle a chuchoté quelques mots puis j’ai entendu : « attends il faut d’abord qu’elle suce ce qui sort de sa chatte ». Et
là, malgré le bandeau et la cagoule, j’ai écarquillé les yeux. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure je n’avais encore
jamais fait de fellation… Bon, vous allez me dire que ça
peut être un bon entrainement, et effectivement, ça permet peut-être de s’entraîner. Alors j’ai fait comme si c’était une vraie queue. Je me suis appliquée. J’ai sucé jusqu’à ce qu’on me dise
d’arrêter. J’ai aimé ce moment. Mais ce que j’ai pu apprécier surtout c’était la taille de cet engin : je me déboitais quasiment la mâchoire pour pouvoir l’enfoncer dans ma bouche, mais j’ai
quand même aimé.
A quand la vraie Maître ?
Là on m’a remise dans la position dans laquelle on m’avait enfoncé le gode dans
le cul, et on me l’a enlevé. Quel soulagement… de courte durée. Si on me l’avait enlevé c’était pour en mettre un autre, plus gros. Mais cette fois je devais me l’enfoncer moi-même. J’ai essayé,
j’ai forcé, mais vu la taille, je n’ai pas pu y arriver. C’est alors qu’elle m’a dit : « et bien puisque ça ne rentre pas dans ton cul, ça rentrera bien dans ta chatte, ça devrait être
plus facile ». J’ai essayé … mais rien n’y faisait. Ils n’arrêtaient pas de me dire « si tu n’en peux plus dis simplement « pitié Maîtresse » ». Mais je ne pouvais pas …
je n’y arrivais pas, ces mots ne sortaient pas de ma bouche. J’avais l’impression que si je prononçais ces mots, tout s’effondrerait, et que je perdrais la confiance que mon Maître avait en moi,
et surtout la confiance que j’avais en moi.
Je n’arrivais pas à le faire rentrer, alors Anna s’y est mise, mais c’était
pareil. Alors je ne sais pas trop vous dire si c’était mon Maître ou bien Francis, mais j’ai alors entendu : « on n’a qu’a la mettre sur le lit, peut être qu’allongée ça passera
mieux. »
On m’a emmenée sur le lit, et on a enduit le
gode de lubrifiant, pour que ça passe mieux, mais ce n’étais toujours pas le cas. Alors on a enduit ma chatte et l’entrée de mon con de ce même lubrifiant, mais rien n’y faisait. On me
répétait... « Si tu n’y arrives pas dit le !! ». Et au bout d’un moment ces mots sont sortis de ma bouche : «Pitié Maîtresse ».Et j’ai senti un grand soulagement autant
au fond de moi, que dans l’ambiance générale. J’ai même cru entendre un « ouf » ou un « aaah » de soulagement.
Et là on a tout arrêté. Et le Maître s’est penché sur moi, il s’était placé sur
le lit aussi mais au niveau de mon épaule gauche.
Quand je l’ai senti je me suis demandé ce qu’il allait faire. Et quel
soulagement ça a été de voir ou de sentir qu’il allait me lécher la chatte ! Et là, Anna m’a dit : « tu vois, ton Maître te remercie ». Et là, mais vous devez vous en doutez…
j’ai eu un grand sentiment de fierté. J’ai beaucoup apprécié ce moment, court, mais très agréable !!
Ensuite tout le monde s’est écarté, j’ai entendu chuchoter, on ouvrait la salle
où s’était passé la scène, et quelqu’un est venu s’asseoir près de moi. J’ai senti des caresses furtives, puis j’ai entendu la voix de mon Maître. Il a alors passé les mains derrière mon cou et
m’a enlevé le bandeau puis la cagoule. J’avais eu chaud et le maquillage avait coulé. Il a alors eu un sourire et je lui aie renvoyé son sourire.
Nous sommes sortis de la salle, et il m’a accompagné jusqu’en bas dans la salle
de bain. Il m’a alors serré un instant dans ses bras puis m’a laissé seule pour que je puisse me laver…
Et voilà comment s’est terminée cette séance… bouleversante…
MERCI Maître Luc… un très grand merci à Toi ^^
La pauvrette y croit vraiment .. si elle avait pu voir son "'Maitre" mis en cage, obligé de me faire l'amour jusqu'à la limite
de ses faibles forces, depuis deux ans que je suis arrivée moi aussi au bout de mon programme!! et que j'ai tenu bon, meme sur un tabouret! elle en serait bien étonnée
..