Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 10:20

"C'est trop tôt je te garde" .. m'as tu écrit à plusieurs reprises.


Bien sur, je n'ai pas dit non. Mais j'ai noté le changement de niveau.

Depuis que tu as su, par surprise, me faire jouir, me faire lacher prise totalement, on dirait que le but étant atteint, tu vas maintenant pousser cet avantage pour obtenir de moi ce dont tu rêves, m'amener "là où je veux t'amener", c'est à dire me soumettre sexuellement, c'est à dire me partager, me faire découvrir ce qui te plait vraiment, les partouzes, gang bang, me faire prendre sous tes yeux et me prendre ensuite ..

Comme si tout ce que tu m'as fait vivre n'avait pour but que te permettre de revivre ces moments sulfureux, avec moi, m'y entrainer, tu sais que je suis sensuelle, curieuse, et que mes tabous ne tiennent qu'à un fil, tu me juges sans doute mure pour ce rôle auquel tu  m'as préparée ..

Il faut voir comme tu m'oublies et comme tu cherches sur le net, dans tes anciens réseaux, des partenaires qui ne nous poserons pas de lapin, n'auront pas quelque empêchement, des gens qui ne fantasment pas et pratiquent réellement l'échangisme et le libertinage, dans un cadre de BDSM soft.

Tu te donnes pour cela autant de mal que tu en as pris pour me conquérir.

Et moi, qui aimerait tant reconquérir ton coeur,  je ne dis pas non, j'attends de voir, j'ai renoncé à mon statut d'amante (bien obligée .. ) et je réendosse celui de Ta Soumise.

J'ai trop peur de te perdre pour faire semblant de partir. C'est peut etre ce que je devrais faire ?

Alors je fais la part des choses, je me fais moins présente, moins exigeante, enfin j'essaie!!

Si  je suis ta proie, tu es aussi la mienne ..

négatif

Par Violette-et-Lui
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Vendredi 2 avril 5 02 /04 /Avr 13:04

 

 

Un nouveau voyage vers T., et c’est le train encore, qui m’a déposée sur le pavé ensoleillé de la ville. Je ne suis venue en voiture que quatre fois :

La toute première, bien que partant le lendemain, car conduire ma voiture me rassurait, me protégeait.

La semaine d’avril   qui a suivi, comme si je voulais déjà m’installer dans le midi !

La semaine d’halloween, de toute autre facture

Et enfin l’idyllique séjour de décembre dernier, quatre jours entiers au soleil d’hiver ou dans l’ombre du donjon, ou à la recherche de petits ports cachés dans les environs.

 

Et cette fois ci, il valait mieux que je me rapproche le plus possible du centre ville, car le soir même, j’allais devoir jouer les visiteuses nocturnes et clandestines rue P.

Oui, il avait répondu favorablement à mon défi, sans trop réfléchir,  tout comme le lendemain je répondrai au sien. Cet aspect « donnant-donnant » (ce furent ses propres mots) me dérangeait bien un peu, mais ..

Tout est dans ce « mais » !

 

J’ai prévu de venir à l’avance, avec la SNCF on ne sait jamais, mais cette fois ci tout alla bien et je pus profiter d’une jolie balade en ville. La pluie annoncée trop vite par météo France n’était pas au rendez vous et le soleil brillait dans un ciel bleu euphorisant. J’ai maintenant mes bonnes adresses, pour le shopping et la balade.

En dépit de ces distractions, une dînette au Mac Do et des photos que je m’appliquais à prendre astucieusement, le temps ne passa pas très vite jusqu’au soir, l’avant dernier de l’heure d’hiver.

 

Refusant de penser à la soirée plus difficile du lendemain, je me réjouissais à l’avance de cette intrusion qui, je le savais, le perturbait un peu. Regrettait il déjà d’avoir souscrit à cette idée folle ? En mesurait il vraiment les conséquences ?

Moi, je voulais juste au départ, visiter, prendre un verre,  flirter peut être dans son bureau, mais il en avait rajouté sans méfiance, parti dans un de ces délires impossibles à endiguer, entre désir et caprice ! Il voulait me prendre sur son bureau, m’installer sur la table d’examen, les pieds dans les étriers, jouer au docteur en gardant sa blouse blanche, bref, le grand jeu !!

 

Ce mélange d’excitation et de crainte, cette brisure de tabou, quel effet cela lui ferait il au final, imprévisible et hypersensible comme il est ?

Quant à moi je me sentais conquérante, amusée, curieuse surtout et contente de pouvoir enfin visualiser les choses quand il m’écrivait « je descends », « j’ai mon associé à coté »,  .. Ce serait comme si j’y étais, toujours. Et lui, toujours me verrai dans les lieux, encore un truc pour me rendre inoubliable !

 

C’est donc sans trembler que je me dirige, dès que j’ai le feu vert, deux rues plus bas, légère et court vêtue : jupe léopard, bas top, bottines et petit pull noir sage sous ma veste en cuir. Parfumée, épilée, manucurée comme il se doit, les cheveux à peine secs car pas de sèchoir comme annoncé à l’hôtel ..

Je compose le code, sur un clavier heureusement légèrement éclairé, et le sésame s’ouvre, un lourd battant de bois .. je  pénètre dans le hall d’entrée, cherchant la minuterie que je ne trouve pas ! Ah, peut etre ce  bouton rouge ? non, il est là pour rouvrir la porte, qui recommence sa manœuvre .. C’est donc  à l’aveugle que je m’engage dans ce qu’il me semble être un bel escalier d’honneur, avec rampe de fer forgé ..

Heureusement je n’ai qu’un  étage à monter, et il n’y a qu’une seule porte : en m ‘approchant, je déclenche une lumière, enfin, et je vois que cette porte est bien la bonne, car elle est entrebaillée.

Je  pousse le battant de bois, et te voilà juste derrière, dans le couloir, tu m’accueilles en blouse blanche et avec le sourire, deux mois qu’on s’est séparés porte d'Italie dans un drôle d’état, et me voilà ce soir, en cliente tardive et clandestine, pour une fois les rôles sont inversés, c’est moi qui suis à la porte, et toi derrière !

 

Je pensais pouvoir te faire le numéro de la cliente offusquée, justement, si tu me sautais dessus comme prévu, mais hélas, changement de programme, car tu tiens à me faire les honneurs avant de .. m’honorer ! Et nous voilà partis pour un long périple à travers des pièces et des couloirs tous communicants, qui me semblent tourner autour d’une immense salle d’apparat (la salle d’attente), dont les fenêtres à l’ancienne ouvrent sur les immeubles d’en face.

Partout, du parquet, des moulures, des tableaux aussi contemporains qu’impersonnels, et ces  plafonds plus hauts que la normale qui donnent tout de suite une impression de luxe, car le luxe, c’est avant tout l’espace !

Puis nous descendons un escalier de service pour rejoindre le fameux « en bas ». Tout est éclairé, partout des instruments mystérieux, des papiers entassés, des ordinateurs en veille ..Après ce parcours, nous remontons par des escaliers extérieurs, qui donnent sur une cour en forme de puits.

Nous revoilà dans ton bureau, Tu ouvres ton armoire, bizarrement à l’opposé de ton bureau, et tu m’offres un cadeau, un livre de Benoîte Groult, « les vaisseaux du cœur », que je ne connais pas. En le lisant dans le TGV du retour, j’y trouve beaucoup d’allusions à notre histoire, ton choix a été pertinent, une fois de plus .. Alors que mes films dorment dans ton armoire (je les ai vus !) sans que tu aies pris le temps de les voir ! Que t’offrir de non compromettant ? je n’ai jamais été douée pour faire les cadeaux, moi, c’est vrai !

 

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Alors que je furète en parcourant les papiers épars sur le bureau et les icônes de son écran d’accueil, enfin tu passes tes mains sous ma jupe, ou alors tu l’as fait un peu plus tôt je ne sais plus .. mais en un clin d’œil me voilà couchée sur le bureau pour une petite reprise de contact bien intéressante .. Sur le bureau n’était pas contre le bureau dans ton idée, à ce qu’il me semble .. et je me trouve en situation périlleuse (e pericolo sporgesi) entre le clavier de l’ordinateur et l’arête de la table. .. Le manque cruel de musique d’ambiance me noue, je suis incapable de toute activité sexuelle non accompagnée d’une douce musique, au grand désespoir et incompréhension de mes amants ! Mon prochain cadeau sera peut etre une paire d’enceintes pour cet ordinateur muet ?

Mais il m’entraîne maintenant vers la salle d’examen que j’ai aperçue tout à l’heure, allume la lampe articulée – heureusement de lumière chaude et pas trop forte -  près de la table turquoise inclinée dans l’angle de la petite pièce. Je m’installe en jubilant, les pieds dans les étriers, insouciante des possibles regards des voisins d’en face, car les volets  ne sont pas fermés.

Tu fais semblant d’être très pro, enfilant des gants en latex, fouillant dans un tiroir pour en tirer un instrument transparent que je ne connais pas,  silencieux et imperturbable, jouant le mystère ..

« Qu’est ce que c’est ? » demandé je un peu inquiète «  Un spéculum ». Ah bon ? dans mon souvenir, le spéculum était cet instrument entre la tenaille et la loupe, tout en  métal froid et lourd, délicieusement anxiogène .. Principe de précaution quand tu nous tiens !  Maintenant tout est aseptisé, jetable, mais après tout il est normal quand on « joue au docteur », que les jouets soient .. en plastique !

Il n’empêche, l’instrument me pénètre, m’oblige à m’ouvrir .. et après la photo réglementaire, tu t’empresses de le retirer et de .. le remplacer, non sans avoir réglé la table grinçante à bonne hauteur !

Comme c’est bon, cette transgression de l’usage habituel de la table médicale qui gémis sous notre double poids ! En plus c’est la première fois que tu me prends tout habillé, je trouve ça très excitant, et j’en tire aussitôt parti, agrippant la ceinture de ton jean ouvert, pour donner à tes assauts le rythme qui me plait, et à ce stade, qui est le cavalier et qui est la monture ? On ne sait plus ! Mais c’est follement bon ! Cette ceinture m’a souvent fait fantasmer et je lui réservais plusieurs usages dans mes rêves, mais pas celui là !

 

 

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Hélas, le téléphone sonne à cet instant torride ! Jusque là il nous avait fichu la paix. Même si tu t’en empares très vite, me laissant seule sur la table, ça n’a pas l’air de répondre ..  Tu tentes plusieurs manœuvres, te perds en conjectures, ça faisait partie des risques.

J’ai fait semblant de comprendre l’organisation bizarre des urgences nocturnes. Je me relève et me promène alentours, attirée par la magnificence de la salle d’attente, où tu ne tardes pas à me rejoindre, dans la pénombre.

Tu ne réponds pas à mes questions concernant ce  coup de fil muet,  tu me dis juste l’heure déjà  tardive, 22h20, déjà deux heures que nous sommes là  ? et  tu me pousses doucement sur le canapé élégant de la salle d’attente. Mon Dieu ! l’idée des nobles postérieurs qui vont se poser sur les coussins où tu me prends en levrette avec cette frénésie .. me murmurant des mots .. des mots crus et des mots d’amour, cette idée là me donne le frisson, mon passage ici restera impérissable, que tu le veuilles ou non, et pour longtemps ..

 

J’ai le temps de me dire .. on va si bien ensemble, ça se passe tellement bien, tellement fort, pourquoi cette soirée de demain ? pourquoi prendre d’autres risques, se confronter à de telles inconnues ?

Sans conclure (je suppose que c’est pour etre en forme demain justement ?) tu m’offres un verre dans ton bureau de nouveau, mais nous sommes cette fois assis à la place des visiteurs, sur des fauteuils « metteur en scène » en cuir noir.

Dans le frigo  de la salle de réunion, tu es allé chercher ton premier vin d’orange, qui a l’age de notre dernière rencontre, deux mois.

Nous passons un long moment délicieux à deviser, nous faire des confidences .. tu me dis en passant que tout à l’heure, sans doute .. tu voudras me prendre « jusqu’au bout », je n’y crois pas, il vaudrait mieux pas, je me concentre sur le vin d’orange et ce moment si précieux, car assez rare finalement.

Mais je me retrouve à nouveau, je ne sais comment, allongée sur l’étroit bureau, tu t’es dévêtu cette fois, pour être plus à l’aise, et je fais tomber les  antiques disquettes et d’autres choses encore, à grand bruit, sur le sol ! Entre trouble et fou rire, je me tortille sur cet inconfortable planche et fait encore tomber de nouveaux trucs ! Il ne s’agirait pas que la technicienne soit en bas et entende ces bruits inquiétants, qui ressemblent à des bruits de lutte, appelle la police, etc  .. Je ne veux pas y penser, tu vas et tu viens, et .. tu viens !

J’ai gagné, sans le vouloir vraiment, mais j’ai cette impression, tu n’as pu me résister, j’adore ça ! Et demain, tu paieras sans doute cette imprudence, je le crains (c’est ce qu’il s’est effectivement passé) – Je me demande si ce n’était pas mon vœu secret, en fait ..

 

Il est presque minuit, l’heure où Cendrillon doit rentrer, et le beau prince remonter dans son carrosse noir garé non  loin de là, ayant pris soin d’effacer toutes traces d’effraction ..

 

Je repars seule comme je suis venue, dans la nuit tiède de printemps, il est minuit mais il y a encore pas mal de monde dans la rue,  j’aime tellement cette ville jadis méprisée ! Je me sens bien, demain est un autre jour ..

 

 

 

 

 

Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : les blogs persos
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Lundi 10 mai 1 10 /05 /Mai 19:26

'Est ce que l'amour fait mal" ? demande la Sirène du Mississipi à sa victime dans le beau film de François Truffaud.

 

"un mal dont on jouit, un bien dont on souffre" lui répond le poète portugais Manuel de Melo.

 

Trop accepter, trop pardonner, il va falloir que ça bouge .. mais c'est comme si les liens imposés à mes membres parfois, restaient ancrés dans mon coeur et dans mon esprit, les lestant de plomb, quoi qu'il se passe et quoique je fasse.

 

Une enclave  printanière nous a été donnée en cette fin du mois d'avril, et nous y fumes livrés à nous mêmes, seuls avec nos faiblesses et nos démons, peut etre notre amour. C'est plus difficile quand on fait attention l'un à l'autre, la peur de se blesser, de crier les vérités éphémères, ne rien casser, pas encore ..

 

Il n'avait rien préparé pour moi, saisi l'avant veille de mon arrivée d'un de ces accès dépressifs que j'ai appris à connaitre, et je le soupçonne de les provoquer lorsque ça l'arrange, ou pour me faire peur, car il use alors d'un double langage effrayant, illisible : tendresse et passion, retour aux gestes érotiques, évocations mélancoliques, réactions surprenantes et rendez vous  inattendus, propices aux confidences ..

 

Il y eu tout cela dans ce séjour étrange, qui distille l'angoisse mais n'insulte pas l'avenir. Le grand déprimé m'a fait l'amour tout un après midi, après m'avoir emmené au donjon la veille, et nous avons bu avec son "vin de citron" cet inquiétant coktail de promesses et de menaces en suspens.

 

Heureusement pour moi, j'aime la vie, la nature, et je ne me suis pas privée, pendant ses heures de travail, d'arpenter les sentiers littoraux, les villages médiévaux et les petits ports cachés de la presqu'ile de Giens.

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Saoulée de soleil et d'air marin, j'ai réussi à mettre de coté mes inquiétudes, et le jour de mon départ, après une délicieuse fin de matinée en sa compagnie convalescente, sur la terrasse d'un café face à la plage, je m'attarde à T., m'achète de jolies sandales et dévore un aioli dans une brasserie du port.

 

Rapportées de ce séjour printanier, tout de même quelques photos, et une vidéo prises au donjon, le premier jour de mon arrivée. Ce donjon qu'il rejette parfois mais refuse résolument de quitter .. Ce donjon où je me donne complètement ..

 

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la prochaine fois, il veut me partager,  jouer avec d'autres, rendez vous avait été pris mais  il n'a rien fait pour confirmer les choses ..  découragement ? plus envie ? ce qui me fait bien flipper, c'est que le voir est maintenant suspendu à ces projets ambivalents.

 

par fierté, je préfère différer notre prochaine rencontre.  Attiser le désir, ne pas être un pis aller .. comment formuler ce ressenti qui à la fois me fait souffrir et me remplit d'ambition ?

 

 

 

Par Violette-et-Lui - Communauté : les blogs persos
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Dimanche 23 mai 7 23 /05 /Mai 17:05

En attendant le récit à quatre mains qui ne saurait tarder, je ne résiste pas à l'envie de parler  - surtout en images - de cette soirée d'avant hier, pour laquelle j'ai reçu les remerciements les plus tendres :

 

"Merci, mon Ange, pour cette soirée inouie! Je suis comblé, heureux, je t'aime, je t'aime, je t'aime .. "

 

Et cette fois, c'est vrai, on a pris les mêmes et on a recommencé, mais nous  connaissant mieux, la soirée fut une réussite, avec des enchainements parfaits (au sens propre comme au figuré) ..

 

D'abord, l'autre femme -Naty - et moi, avons été mises à genoux dos à dos, et menottées ensemble, et attachées aux pieds l'une de l'autre par des  bracelets de cuir ...

 

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Cette pose permet aux trois messieurs présents de venir nous "proposer" une fellation sans les mains à laquelle nous ne pouvons guère nous opposer!

 

Me voici par exemple aux prises avec notre bel étalon black ..

 

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Les réjouissances se poursuivent, il manque des photos car la carte mémoire, sans doute effarouchée par l'audace des prises de vue, a buggé !!

 

 

Sur le lit, pendant que Naty est sur la table des supplices, je suis maintenue par une barre de contrainte et menottée aux barreaux.

 

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soiree-du-21-mai 0790Offerte aux caresses  les plus coquines..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

soiree-du-21-mai 0791Exhibée sans pudeur ..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour finir par être honorée dans tous les sens ..

 

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Puis c'est au tour de Naty ..

 

 

 

 

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Pendant que son mari se confie à mes soins .. particuliers!

 

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La soirée devint tellement chaude que mon dom en a oublié de prendre d'autres photos, et pourtant elle était loin d'etre finie ..   Puis meme, vers la fin, sa carte mémoire s'est pudiquement bloquée!

 

Le mari de Naty a souhaité que nous soyons toutes les deux allongées sur le lit et pluggées, mais j'ai été la seule à être ensuite sodomisée jusqu'au bout  par les deux participants, était ce un privilège ?

 

Ensuite mon dom a voulu épargner mon petit trou bien mis à mal, et pour finir la soirée, a joui en moi à son tour!

 

C'était ma première vraie soirée libertine, et peut etre un peu plus que libertine, car si j'y pense plutôt hard, mais j'ai assumé pleinement, je l'ai fait par amour et aussi j'avoue par envie et curiosité, mise à l'aise par ma connaissance des lieux et des gens à qui nous avions eu affaire il y a deux mois, de vrais habitués ceux la!

 

Il m'a raccompagnée tendrement, nous étions émus et heureux, on se préfére  décidément .. quelle étrange affaire!!

 

Le lendemain, j'étais épanouie, sans éprouver la moindre culpabilité,  je me suis baladée insouciante et contente dans le matin printanier de cette joyeuse ville, en dépit de la brève nuit.

 

Boire un coca avec lui, ensuite, dans un lounge du port, moment de bonheur complice et parfait, avant de se séparer pour encore quelques semaines, et  à peine a  t il disparu dans la foule qu'il me manque déjà.

 

Une fois de plus, c'est maintenant un rituel rassurant  :  "on se reverra" ..  "à bientot" .. "il y aura une prochaine fois" ..  

 

Ce que je ne savais pas, c'est que c'était l'avant dernière séparation où il m'aurait dit cela ..

 

Et la dernière, j'étais repartie avec au doigt, une bague or et brillants, une bague d'engagement .. Comme la vie est cruelle parfois ..

 

 

Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : les blogs persos
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Dimanche 27 juin 7 27 /06 /Juin 19:13

Ce n'était pas vraiment prévu du moins par moi, cette séance un peu brutale, animale, car si nous venions là, c'était dans mon idée pour profiter du grand lit: en effet l'hotel où j'étais descendue n'avait plus qu'une chambre à lit jumeaux, et j'avais vraiment moi, envie du  grand lit et du vaste espace secret du Donjon tout autour : les plafonds très hauts traversés de poutrelles métalliques, les murs noirs, la moquette rouge, les inquiétantes silhouettes de la Croix de St André, de la cage, et des collections de pinces suspendues à une chaine transversale.

De la musique, une climatisation apaisantes, le salon attenant où il y a toujours de quoi  boire, l'échelle de meunier presque impraticable complètent ce décor insolite auquel je  m'attache de plus en plus. A chaque fois, l'angoisse me prend : et si c'était la dernière fois que je venais ?

 

Mais pour l'heure il n'en est pas question, bien qu'à peine arrivés mon dom aie du régler en direct et par téléphone un petit souci domestique .. allait il devoir repartir ? me laisser là en attendant ? me raccompagner ? Je m'attends à tout et on devise gentiment en attendant qu"on le rappelle .. Je ne montre en rien ma déconvenue, il n'est pas responsable du tout.

 

Heureusement la réponse est positive! Alors presque gaiement, il me fait entrer dans la pièce noire à peine éclairée par les trois halogènes rouges, et sans perdre de temps, ouvre .. la cage pour m'y installer! Le ton est donné, il m'a fait la surprise que j'attendais, la  séance de soumission à laquelle j'aspire en secret!

 

Je n'ai pas le temps de me changer, mettre mes bas et ma jupe en latex, mes talons. j'entre dans cette cage pieds nus avec ma petite robe d 'été, et il  m'attache aussitot les poignets aux barreaux .. Il a oublié de me mettre le collier, tant pis, je serai telle que je suis, nature .. cela change et ça me plait.

 

 

 

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En couleur .. et en noir et blanc  ..      cage1-1

 

 

Se tenant aux barreaux ..

 

 

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Il m'a demandé de me préparer, meme inconfortablement installée dans cette cage étroite, c'est avec grand peine et sous son regard narquois que j'enfile mes bas et ma jupe en latex, enlevant ma robe pour découvrir ma guêpière.

 

J'ai gardé mon string bleu et or, celui qu'il aime bien, et qu'il ne va pas tarder à déchirer impitoyablement en tirant dessus, afin de pouvoir me "saillir", à travers les barreaux dela cage, et sans me demander mon avis.

 

je suis morte de honte mais en meme temps très excitée par cette possession sauvage autant qu'inopinée.

 

 

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La femelle en cage se laisse faire docilement, accompagnant la saillie d'irrésistibles mouvements du bassin debout sur ses talons et se retenant aux barreaux ..

 

Puis il me sort de là, et m'ordonne, puisque je suis si chienne, de me mettre à ma place, à quatre pattes à un endroit précis, et d'attendre.

Pendant ce temps, il arrange des longues chaines métalliques, les accroche à certains anneaux et à l'autre bout, à chacun de mes poignets et de mes chevilles. Il leur a passé préalablement les  beaux et lourds bracelets médiévaux, dont les anneaux n'attendent que les mousquetons des chaines.

Me voici en passe de subir le supplice de l'écartèlement, augmenté par la façon volontairement assymétrique dont il place le dispositif. Je me sens un peu ridicule et honteuse, surtout qu'il a remonté ma jupe sur mon dos, exposant ainsi mon cul à sa vue, les cuisses bien écartées ..

 

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Je le sens derrière moi, silencieux, contemplant son oeuvre et sa créature, je crois qu 'il me photographie, me filme ..  puis il s'agenouille derrière moi, sans écouter mes (fausses) protestations, me caresse et me reprend sauvagement, attrapant mes cheveux dans un geste ancestral et possessif .. mes genoux entrent dans le sol il me semble, j'ai mal, ce mal qui fait du bien,  mais il s'en fout,  il continue ..

 

C'ets alors que dans le feu de l'action, j'ose pour la première fois prononcer   la supplique infamante " .. Encule moi" à voix très basse mais il a très bien entendu!

 

Cette fois il prend son temps, fort de ma demande, va d'abord chercher un plug, du gel  .. "ah tu aimes avoir quelque chose dans le cul?" me dit il, et je me mordrais les doigts si je pouvais, d'avoir été aussi impudique! et il me l'enfonce sans trop de ménagement dans le fondement pour bien le préparer ..

 

Me voila non seulement exposée à son regard, mais dument pluggée,  caressée à outrance et je sens que je mouille tellement, totalement dépravée en cet instant précis, offerte ..

Alors et sans se faire prier,  il me retire l'objet et aussitot le remplace et me sodomise avec ardeur. "ah ça faisait un peu longtemps que je ne t'avais pas enculée" ose t il souligner ..

 

A  peine m'a til dégagée de mes chaines, à peine sortons nous de cette heureuse bestialité pour entamer une conversation normale,  que je commence à penser, voila, ça va finir, on va devoir s'en aller et maintenant on ne se verra plus pendant plusieurs semaines, ces maudites semaines d'été ..  et le reverrai je ? reviendrai je ici au donjon tellement chargé de souvenirs et où je me sens chez moi, stupides questions mais sait on jamais ?

  Dans la voiture, une nouvelle fois il tente de me rassurer, meme si les ombre d'une rupture inévitable se profilent à nouveau dans nos esprits malades ..

 

Pour les conjurer, il me redit encore les mots si souvent entendus  : "je te voudrais plus sereine .. tu sais bien qu'on se reverra .. "

 

Plus tard, il me déposera devant les Plages, au soleil déjà presque couchant, et  me voila seule, sans lui pour longtemps, un texto inattendu viendra une demi heure après me remonter un peu le moral, et je retrouve mon sourire d'amante, une certaine insouciance, enfin ..

 

 

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Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : PLAISIRS BDSM
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