Lundi 14 décembre 1 14 /12 /Déc 18:19

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Le Récit de T. Première partie

 

Lundi 27 octobre 2008… On s’est quittés fâchés la dernière fois, comme c’est étonnant ! Cette fille a un caractère décidément impossible, elle est ingérable… les échanges de textos qui ont précédé sa venue ne sont que récriminations et amertume. A se demander même si elle viendra comme prévu ? J’ignore même ce lundi matin si elle a pris sa voiture et si elle est sur zone. C’est dire…Alors j’envoie un texto, sybillin : « tu es bien arrivée ? ». et elle qui me répond à la façon de BHL : « on ne sort de l’ambiguité qu’à ses dépens ! »

 

Elle est là, j’en mets maintenant ma main à couper ! et cette nouvelle me réjouit vraiment…dans l’habitacle de ma voiture, mes pensées vagabondent.. Elle sera venue finalement, la rage au cœur et le feu entre les cuisses….Elle compte rester une semaine ici, dans la région, et il est convenu que nous fassions trois « séances ». Bien sûr, j’ai déjà prévu ce que je ferai le jour même, mais comment « meubler » les deux autres séquences?  Elle ne se rend pas compte de l’énergie que cela suppose. Tout lui est dû et cette exigence m’énerve prodigieusement.
Qui plus est, quand j’arrive dans sa location meublée, perdue sur une presqu’île, un de ces caps, qui, dans la région, s’avance loin sur la mer, j’ai vingt bonnes minutes de retard. Retard non voulu, certes, mais qui doit la mettre sur le grill. Le timing d’un mufle, certes, mais elle ne l’a pas volé ! je sonne. Elle m’ouvre, son visage exprimant un immense soulagement. Elle commençait à douter, à croire que je ne viendrais plus ? bien sûr…

J’observe sa tenue de bas en haut. Des bottines noires aux pieds, vraiment sexy ces bottines, des bas noirs, une robe légère, noire et blanche, presque une robe d’été.   « Tu as une culotte ? » fut ma première phrase. Elle acquiesce et je maugrée : je lui avais bien dit de se présenter à moi chatte nue…Ma main file entre ses cuisses, commence à lisser la chair juste au dessus de la jarretière puis bute sur l’étoffe qui barre l’accès de sa chatte.. « Tu me fais sauter ça tout de suite ! ». elle proteste. La travailler au corps tout de suite, c’est comme ça qu’on communique le mieux..Je lui caresse l’entrecuisse, la pousse sur le divan, trousse sa robe malgré ses protestations … une superbe culotte de dentelle bleue et or apparaît..   « allez ! on la fait sauter », prestement mes mains ont retiré la petite culotte, et profitant de ce qu’elle a les cuisses écartées, j’avance le bras, Je sonde aussitôt sa chatte de mon doigt. Les petites lèvres se sont écartées d’elle-même.. Tétanisée, elle capitule, ferme les yeux, se détend..

Aussi est-elle très surprise que j’interrompe mes caresses..

 « allez, viens, on sort ! », dis-je. Elle ouvre des yeux ronds : « tu m’emmènes où ? ». je me fends d’un petit sourire. « surprise surprise ! allons-y ! ».

Tu veux baiser ? tu vas baiser ! ai-je pensé en la faisant rentrer dans ma voiture. Je suis assez guilleret, j’éprouve presque une certaine jubilation….l’odeur qu’a laissée sa chatte sur mes ongles m’enivre.. Le trajet en voiture jusqu’au club échangiste prend un quart d’heure environ. Assez vite, en fait, elle comprendra la destination.. surtout lorsque j’évoque la nécessité de se choisir un pseudo lorsque l’on rentre dans l’établissement. Ce sera Violette, naturellement.

Nue sous ta robe, je te tiens par la main, je te sens fébrile, sur les charbons ardents…Je te dis des paroles rassurantes, que ta sécurité est assurée et qu’il est juste question de te montrer un club échangiste et d’y boire un verre…Pouvoir baiser ma chienne à l’intérieur de l’établissement me paraissait également envisageable mais j’étais loin de penser qu’elle brûlerait si vite les étapes. Mais n’allons pas trop vite en besogne…

 

Je gare la voiture à deux blocs de là.. Je la prends par la main. Des types dans un garage voisin nous observent. « ils savent où nous allons ! « murmure-t-elle.
La remarque  est pertinente, le garage étant pratiquement contigu au club échangiste ! « Et alors ?» rétorquai-je « on s’en fout ! nul ne te connaît ! tu habites à 450 km d’ici ! alors, aucune importance.. ».

Je l’ai entraînée devant l’entrée du lieu de perdition. La porte ressemble à s’y méprendre à celle d’une boite de nuit, avec une sonnette et une écoutille qui permet au portier de filtrer sa clientèle. Je sonne. C’est drôle : j’y suis souvent allé seul mais elle est la première femme que j’amène à l’Ortaline. C’est le fils du patron qui nous ouvre, je le connais bien.

« Bonjour » fais-je gaiement « tu vas bien ?». Il nous fait rentrer, et nous voici plongé dans cette lumière tamisé et cette odeur particulière, à base d’effluves d’eucalyptus qui s’échappe du sauna, que je connais bien.

 « Tu le connais ?? » me demandera-t-elle 

 « oui, bien sûr. Cela fait quand même 8 ans que je viens ici ».

Le fils du patron nous explique brièvement que toutes les parties gauches (hammam, jacuzzi et « backrooms ») nécessitent d’être dévêtus et imposent le port d’un peignoir de bain. En revanche, il est permis de rester habillés au bar et dans la salle de discothèque. A mon grand soulagement, je m’aperçois aussi que le « secteurs de droite » (les salles SM) sont ouvertes (ce qui n’est pas toujours le cas).Le temps de déposer nos manteaux dans les casiers du vestiaire et nous voici toujours habillés au bar, le temps pour moi de commander deux coupes de champagnes.

Nous nous replions, avec notre précieux breuvage, sur un canapé dans un sombre recoin de la discothèque. « Il n’y aura probablement pas grand-monde aujourd’hui, car demain, c’est la journée « gang-bang » et il y a toujours foule ! ». Mais c’est aussi bien…dans la lumière tamisé et rouge, baigné par une musique sensuelle, nous sirotons le champagne..

Est-ce l’effet euphorisant et anxiolytique de celui-ci ? Est-elle sensible à l’attention que je lui porte ? mon amie se détend très vite.. nos mains et nos corps se cherchent fiévreusement.. Ma main n’a pas quitté sa cuisse et elle boit son verre avec un plaisir évident. « J’aime cette ambiance, j’aime cette musique ! » me susurre-t-elle..

On est seuls au monde.. enfin presque…de loin en loin, une ombre fantomatique en peignoir blanc s’estompe dans le couloir qui mène au jacuzzi.
Personne ne viendra s’asseoir près de nous. A un moment, elle me saisit le bras, s’exclame : « tiens une femme ! » . Oui, une femme.. et alors ? elle aurait aperçu une martienne qu’elle n’aurait pas été plus surprise.
Oui, il y a des femmes qui viennent ici pour prendre et donner du plaisir… Mon amie s’excite de plus en plus, retrousse sa robe au maximum pour favoriser l’intromission de mon doigt, semble avoir oublié complètement que nous sommes dans la salle publique d’un club privé.
Ça m’excite bien sûr, surtout que j’ai le souvenir de femmes enfourchant leur partenaire, montant et descendant sur leur bite, sur cette même banquette.. Ma copine s’enhardit, projette ses cuisses sur mes épaules, arquant sa chatte devant ma bouche ! Entre ses cuisses moelleuses, je me penche en avant, je plonge ma tête j’introduis un doigt dans son vagin et commence à lécher le clitoris du bout de la langue, à petits coups rapides.
Sa chatte est douce, excitante, mouillée tout de suite .Comme sa fente est humide, ouverte et comme elle sent bon ! On l’aurait dit plus soyeux que jamais ce con, mes doigts s’y baladant, entrant et sortant, ses petites lèvres se mettant à gonfler, sans cesser de la branler jusqu’à l’os..
Et je la vois se raidir soudain, ses cuisses me serrant brutalement à m’étouffer, sa tête renversée en arrière, telle une crise de catatonie, ses gémissements couverts en partie par la musique. Je continuerai à jouer de la langue, lapant sa liqueur.  Je la lèche encore, aussi doucement qu’elle voudra, aussi longtemps qu’il faudra..

 

Elle a fini son verre, les yeux brillants et les joues encore pivoines, je lui prends la main et elle se laisse conduire dans le « secteur sm »…   Nous passons devant deux mâles accoudés au bar. Je lui fais visiter les différentes pièces. La pièce où trône la croix de Saint-André, le couloir où s’encastre à gauche une cellule avec ses lourds barreaux, la « salle de classe », la « salle médicale », où un jour, lui expliquai-je, en compagnie de deux autres hommes, j’avais allègrement tringlé une dame…et enfin, la salle moyenâgeuse, avec  sa selle sus pendue  et     son carcan en bois, qu’elle regarde avec avidité.. « regarde comment ça marche ».
Je soulève le battant supérieur du carcan et invite ma soumise à passer la tête et les poignets…Elle n’attendait que ça, en fait, et obtempère aussitôt ! je rabaisse la lourde barre de bois, la fixe. La salope est prise au piège.. « Bien, salope ! écarte bien les cuisses » je trousse sa robe sans ménagement, jusqu’à ses hanches, flatte sa croupe de ma main. 

« Quel cul ! mais quel cul !» m’exclamai-je. Sa docilité m’étonne : je pensais qu’elle renâclerait, que la peur d’être aperçue et exhibée en public la ferai reculer… » c’est une vision magnifique que tu m’offres là ! vas-y, écarte bien les cuisses ! ». Dommage que personne ne soit venue profiter du spectacle…Je coule une main jusqu’à la fourche, palpant la marchandise, l’endroit est large. Mouillée tout de suite. Son corps s’ouvre sous l’effet de mes attouchements.

. Ce jus, mon dieu, ce jus…Je la branle vigoureusement, fait monter le tout en neige…On eût dit que mes doigts chatouillent les zones érogènes de son cerveau. Le jus coule à flot. Elle se met à bouger d’avant en arrière puis à rouler du cul…elle geint bruyamment, secouant son cul de façon spasmodique, s’empalant follement sur mon doigt. le souffle court, elle me supplie…de prendre une photo..  « l’appareil photo, l’appareil photo ! » quémande-t-elle « il faut que tu me prennes en photo. J’aurais dû amener l’appareil photo, vas le chercher  » me supplie-t-elle.
J’hésite : il n’est pas vraiment permis de prendre des photos dans l’établissement, bien que certains ne s’en soient pas privés.. . « il faut y aller prudemment, on va retourner au vestiaire et ramener l’appareil photo en toute discrétion.. ».

« Je vais le chercher ! » insiste-t-elle « libère moi ! »-« d’accord ! mais planque-le ».

Elle s’éloigne. Une minutes plus tard, elle était de retour, munie de sa précieuse boite à images. La mine ravie. Elle photographie la pièce, exige de pouvoir être photographiée dans le carcan.. Je la réinstalle donc.. Elle insiste : 

« surtout, prends moi sous plusieurs angles ! ». Ainsi fut fait…100_4418.jpgCe carcan, dans cette position de contrainte, croupe relevée, met vraiment son cul en valeur. Un véritable appel au viol…son enthousiasme fait plaisir à voir… Je n’en ai pas eu beaucoup des comme ça. Une vraie perle ! à garder le plus longtemps possible !

Des pas dans le couloir… « j’entends du bruit.. on s’approche » souffle ma prisonnière, rendue soudain nerveuse. Je souris intérieurement . Du monde arrive ? et alors ? n’est-ce pas plus excitant… « c’est pas grave, salope !  » répliquai-je « tu restes en place ! ».

Mais les pas s’arrêteront à quelques mètres de là…La ou les personnes (je crois qu’il s’agissait d’un couple) ne s’imaginera jamais l’extraordinaire vision qu’elle aurait eu quelques pas plus loin..

« Viens ! » décidai-je. « Allons de l’autre côté ! ».

 

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Elle me suit…à reculons. Je lui prends la main et l’entraîne. « On va où, là ? » me soufflet-elle.

« - au vestiaire. Je vais te faire visiter l’autre secteur ».

Arrivé au casier, la discussion s’engage de nouveau. « Mais je ne vais pas aller dans le jacuzzi avec mes vêtements ! » s’insurge-t-elle.

« - Je ne te demande pas d’aller dans le jacuzzi ! tu vas enlever ta robe, tu gardes juste tes bas en dessous, et tu passeras par-dessus le peignoir. »

« Mais…et mes bottines ? ».

« -Tu les enlèves aussi ».

Est-ce l’effet euphorisant de l’alcool ? la discussion s’arrête et elle obtempère.. Elle ne le sait pas encore, mais je l’amène…dans la gueule du loup.

La gueule du loup, ça ressemble à un long couloir plongé dans la semi-obscurité, avec une porte qui s’ouvre à droite donnant sur le hammam, et un peu plus loin, un jacuzzi bien déserté car un seul homme y fait trempette. Je l’emmène directement dans la pièce du fond.

Dans cette salle, tout aussi sombre, figure une construction mystérieuse, un énorme rectangle de bois, percé de larges ouvertures (comme des hublots). L’intérieur du rectangle est éclairé par une lumière rouge.

« - Qu est-ce que c’est ? »  me demande-t-elle.

« - Approches-toi du hublot. On l’appelle le sous-marin. »

Alors, tu t’approches, tu jettes un œil timide à travers le hublot et tu comprends immédiatement : un grand matelas occupe intégralement le sol du sous –marin. Six personnes (ou trois couples) peuvent s’y allonger..

« - Tu as déjà fait l’amour là-dedans ? » me demandes-tu pensivement.

« - Bien sûr, viens ! » dis-je.

Tu ne protestes pas, tu me suis, d’ailleurs la pièce est déserte à part nous deux. L’objectif minimal que je m’étais fixé était de trouver un coin tranquille et de te baiser sur place. L’objectif inavoué était de te faire prendre par un autre homme.

Question cochonneries, les femmes, en un certain sens, peuvent être pires que nous ! car très vite, tu prends l’initiative. Nous sommes à peine installés sur le matelas, que tu me prends dans ta bouche et me suce goulûment et merveilleusement bien, comme tu sais si bien le faire…C’est tout juste si tu protestes quand je te demande de t’allonger en pleine lumière pour t’enfiler illico…

  


La suite, par "Violette"

Deuxième partie

   

C’est en effet une sorte de lit géant, où une dizaine de personnes pourraient s’amuser ensemble, pourvues d’un toit qui ne permet pas de se tenir debout, et dont les parois métalliques sont percées de hublots de tailles différentes : pour mater, et pour entrer.

Pour l’instant, nous y sommes seuls, et je me crois à l’abri de toute intrusion, « les autres » étant apparemment occupés ailleurs, dans le jacuzzi par exemple, en tout cas loin du sous marin.

Aussitôt il s’allonge sur moi, et nous commençons à faire l’amour, s’étant débarrassés de nos serviettes blanches qui forment sur le matelas une tache bleuâtre.

Au bout d’un moment  je remarque plusieurs têtes qui s’encadrent dans les hublots d’en face. Un peu affolée je le préviens, puisque lui ne peut pas les voir. « Ne t’en fais pas, c’est normal » me dit il, et sa voix trahit un secret contentement .. j’ai un peu l’impression d’être prise totalement au piège dans cette souricière géante !

C’est alors que je sens une présence derrière nous cette fois, tout près. Un homme s’est enhardi à entrer dans le sous marin, il est agenouillé, immobile et silencieux. Ce silence, cette immobilité m’impressionnent, j’ai conscience qu’il s’agit de codes inconnus de moi et dont je vais faire les frais ! Le regard des deux hommes se croisent, il me semble, une entente tacite a lieu entre eux, me passant par dessus.

Mais mon amant me libère de son poids, s’assoit près de moi, me demande à voix basse « tu veux ? » d’un ton si tendre que je ne peux me révolter. Me retournant vers l’homme, je vois de lui son ventre ferme, blanc, et lisse, un peu rebondi, et surtout son membre en érection qui me semble énorme et comment dire ? terriblement tentant ! A ce moment précis c’est la femelle qui parle en moi et me fait m’emparer sans hésiter de ce trophée turgescent ! geste de défi aussi, envie de prouver à mon amant que je peux aller plus loin qu’il ne le pense, et tout de suite.


C’est donc avec avidité que je commence à caresser le sexe de cet inconnu dont le visage disparaît dans l’ombre du sous marin, mais je l’imagine agréable et j’ai aimé sa façon directe de nous aborder, à vrai dire normale pour un tel endroit, mais comment pouvais je le savoir ? Je m’adapte, par amour et par envie et sans faire la mijaurée.

Pire encore, je commence à sucer cet inconnu avec la même passion que je le fais avec mon amant, que je sens un peu dérouté tout de meme par ma réaction inespérée ! Voire .. choqué ? Il prononce trop tard la recommandation de mettre un préservatif mais je le juge inutile pour ce préambule déjà bien épicé.

Il me caresse les hanches, me flatte la croupe, et me demande encore « tu veux ? » quand l’inconnu lui fait comprendre qu’il souhaiterait maintenant me prendre en levrette.

Trop tard pour m’arrêter ! Docilement autant que fougueusement je me retourne et m’offre à quatre pattes à cet inconnu sans même réfléchir à mes actes insensés, tout en prenant dans ma bouche mon amant, alors que l’autre enfile prestement un préservatif, et alors, oh oui ! être prise par deux hommes, voilà que je réalise mon fantasme le plus fou, grâce à toi, et avec une facilité confondante ..


Minutes vraiment très chaudes, presque violentes, ma guêpière est trempée de sueur, je dois être échevelée mais je m’en moque,  je me laisse complètement aller telle une bacchante déchaînée sacrifiant au culte de Priape !

Après je reprends mon souffle, et un peu honteuse du spectacle qu’on a offert aux autres voyeurs dont je remarque maintenant les visages sombres à travers les hublots, je fais la maline, je confie à l’inconnu que c’est ma première fois, il répond « oui, j’ai remarqué », un peu vexée je demande pourquoi et les deux complices m’ont expliqué, je crois, que ça se voyait à ma fougue, justement. Certes, je suis loin d’être blasée, je découvre avec un trouble ravissement cet univers glauque mais délicieux où tout est permis !

Je m’enhardis jusqu’à lui demander son prénom, en souvenir de cette première fois, et amusé, il me confie qu’il s’appelle Philippe et nous remercie avant de disparaître dans le noir.

L. me tire hors du sous marin, mais nous n’allons pas très loin, car je me retrouve je ne sais comment allongée sur une étroite table matelassée, assez haute, qui  me fait penser à une table d’examen, et pénétrée par ce vigoureux et endurant jeune homme (avec un petit bouc je crois)  mais  qui selon L. aurait des tendances bi car il aurait tenté sur lui quelques caresses ..

Cette fois c’est un peu plus réaliste qu’avec « Philippe », j’ai bien le temps de comprendre ma déchéance, l’homme me plaque entre ses bras tendus, et me baise avec une conviction extraordinaire, mécanique, un peu bestiale. Mais T. . est là tout près de moi, me tient la main, m’embrasse et me présente son membre à sucer, me rassure .. A un moment je me demande si je vais résister à ces coups de boutoir, mais jamais là non plus, je ne pourrai me laisser aller à jouir, il manquerait plus que ça !

Je crois que j’en suis encore loin, même si j’en approche. Pour retrouver ce chemin magique du plaisir, de l’orgasme vérifiable, j’aurais traversé le désert, et je n’en vois pas la fin .. Que manque t il pour atteindre la délivrance tant espérée ? Une volonté farouche ou au contraire, un total lâcher prise ? La recette de la première époque (complicité, défi, humour presque) fonctionnerait elle à la deuxième? Et pourquoi, et comment ai je perdu cette recette avec celui qui me l’avait donnée ?

Cruciales questions qui j’espère trouveront rapidement leur réponse ..

En attendant, je suis là dans ce club, en toute confiance et toute volupté, et pourtant ça ne fonctionne toujours pas, et aucune femme n’est présente on dirait, qui pourrait peut être me donner l’exemple, l’émulation nécessaires ?

Je m’en fiche, je me fais baiser, et j’aime ça.


Après ce second épisode, je crois que nous allons vers les douches, bien sur totalement ouvertes et voisines du jacuzzi où barbotent deux gros bonshommes, peut être les voyeurs du sous marin.

Joyeusement je me dépouille de ma guêpière trempée, mes bas je ne sais plus, et je me jette sous le jet puissant de la douche, encore toute excitée et devisant légèrement avec T. qui se douche également.

On s’essuie mutuellement avec les serviettes blanches, et au moment de retourner vers les vestiaires, je demande à T. , soudain très étonnée : « Et toi ? tu n’as pas été servi ? » Je me mords la langue, cette expression de soumise m’a échappé ..

Taquin, mais l’aurait il fait si je n’avais rien dit ? il  me dirige vers la petite pièce à s’enfermer dont il semble bien connaître l’emplacement dans ce dédale mal éclairé, me pousse à l’intérieur, puis referme le verrou.

Je crois qu’il y a une glace, une sorte de lit haut, ou de table matelassée, je ne sais plus, il me prendra ainsi, moi assise sur la table, lui debout devant moi, il jouit rapidement, visiblement très excité .. depuis juillet, nous n’employons plus de préservatif, à son initiative. Cette preuve de confiance ne cesse de m’émouvoir, on est comme de vrais amants ..

Cette fois, il est temps de  sortir, on reprend nos petites affaires, on se rhabille tant bien que mal, je crois que je ne peux remettre ma guêpière et que mes bas sèchent sur moi. Dans le petit couloir d’accueil, tous les deux devant une grande glace, on se partage le sèche cheveux, on se refait une beauté, je prends quelques photos, de lui, et de nous dans la glace, complices et des étoiles dans les yeux  .. 100_4426.jpg




On sort,  main dans la main, déjà le soir d’automne tombe sur cette zone désertée, je sens son sperme couler sur mes cuisses, je suis un peu groggy, un peu pensive,  lui aussi je pense, on parle peu, j’arrive à le décider à nous arrêter sur la plage de la Garonne, j’ai besoin d’une cigarette, lui il ne fume pas, et fait la tête, mais pour me faire plaisir, il m’accompagnera sur la plage, je ne sais plus ce qu’on s’est dit, sans doute des choses anodines, car comment parler si vite de cette troublante après midi ? Où j’ai été, selon lui, au delà de mes limites supposées et de ses espérances.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : les blogs persos
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Mardi 15 décembre 2 15 /12 /Déc 19:01

On avait convenu, pour ce nouveau séjour d'une semaine, de se voir un jour sur deux, comme pour la semaine d'avril. Crainte de l'overdose ? et lui ne pouvait pas s'absenter de son travail chaque jour, même s'il est sont propre patron.

J'avais  prévu des sorties à la découverte de ce beau département du midi, mais je n'avais pas prévu la pluie et la tempête!!

C'est donc en grelottant dans ma veste en cuir trop mince (j'avais étourdiment décidé de ne pas prendre ma doudoune) que j'ai visité, le mardi les mines de la Garonne, dont les galeries m'épargnèrent la pluie battante, et le jeudi, la ville de H., perchée sur sa colline et dominant la presqu'île de G.

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Cette fois la pluie me fut épargnée mais le soleil était- loin d'être vainqueur! J'ai eu tout de même le loisir d'admirer ces nouveaux paysages, tout en méditant sur ma récente dépravation, totalement inattendue, car seule la séance du dernier jour devait normalement me conduire à la "déchéance, la soumission  sexuelle" ; nous y reviendrons.

Le mercredi, il vint me voir et nous fimes l'amour le plus naturellement du monde, après toutefois une petite séance de bondage,100 4525 la seconde, et je crois que le mardi , il me rendit une petite visite en fin de matinée .. 100_4549.jpg
Nous étions bien ensemble, qu'avait il besoin de faire participer d'autres personnes ? des inconnus et bientôt son ami X, dont j'ai déjà parlé.

Avec le recul du temps, je vois bien qu'une fois encore, j'allais "passer au deuxième service", après sa soumise E. Sauf qu'avec moi, les choses iraient plus loin, sexuellement parlant ..
Je fantasmais depuis longtemps au sujet de cette séance risquée, importante, je sentais que X. n'était pas très attiré par moi, car préférant les femmes filiformes, et pourtant j'avais envie d'accomplir ce défi, après tout ce n'était pas si important, ce qui comptait c'était cette rencontre à trois, non plus dans l'anonymat d'un club libertin, mais en présence de l'ami de mon "maître" (décidément, ce mot m'écorche la bouche!)

Le scénario prévu était assez violent, ce qui me surprenait de L. : X devait me fouetter très durement après m'avoir attachée aux anneaux vissés dans le mur depuis cet été, puis tous les deux devaient me sodomiser sur la table prévue à cet effet, surmontée d'un trapèze et que je connaissais déjà. C'est tout ce que je savais.

Le jour prévu était un vendredi, le dernier jour d'octobre, le soir de Halloween, cela ne pouvait pas mieux tomber en matière de diableries!
Le matin, j'étais au marché du village, il pleuvait un peu encore, j'étais anxieuse et triste .. et plus tellement motivée pour la séance du soir.
J'envoie donc un texto sybillin à T.  . Je lui fais comprendre qu'il vaudrait mieux que je rentre ..  Et lui, à mon immense surprise et vague déception,  le voila qui abonde dans mon sens, me dit avec une feinte gentillesse que tout était très bien, et qu'il me souhaitait bonne route!!
Moi qui m'attendais à des supplications, des réassurances,   je fus bien déçue, décontenancée aussi ..  Maintenant je crois qu'il n'avait plus très envie de me lancer dans cette aventure, ou tout simplement qu'il était repu, et découragé par mon refus, mais je sais aussi qu'il s'est servi de  ce cette attitude apparamment conciliante pour provoquer une réaction, pour me déstabiliser et me culpabiliser .. Et que c'est le comble de la manipulation perverse ..

Affolée brusquement par l'idée de partir sans l'avoir revu, et en l'ayant déçu, je comprenais que nos relations allaient sans doute s'arrêter là, et je cherchais vainement une porte de sortie, un d é tail qui le ferait changer d'attitude, d'avis!

En attendant nous échangeâmes ces  textos indécis, imprécis .. et puis soudain, je me rappelais qu'il avait laissé chez moi une paire de menottes,un masque, des cordes! "Ah putain c'est vrai! " m'écrit il avec une sorte de soulagement palpable meme sur un écran de téléphone!! "OK je passe à 16h les prendre"..

Soulagée, je ferme mon portable et continue ma promenade dans ce joli petit parc, un peu détrempé. Je me suis acheté au marché un mignon haut noir transparent, pour quatre sous. Je vais le revoir, c'est déjà ça ..

A 16h il se présente chez moi, je me suis quand meme fait belle, il me tend une fleur de datura, blanche et vénéneuse, qu'il a du cueillir dans quelque buissons, et aussi une chainette de cheville dans un étui en satin pourpre .. Touchée, conquise, je reprends le dessus et nous buvons un verre tout en discutant, sans avoir rien décidé pour ce soir ..

Comme je me fais encore un peu prier, soudain il jette l'éponge, il se lève comme pour repartir, "c'est bon,  dans ces conditions je n'ai plus envie" me dit il, et il commence à rassembler ses affaires oubliées l'avant veille.

Dans un premier temps je me mets en colère devant si peu de volonté, on en avait tellement parlé de cette future séance! Je quitte mes bottines, les lance à travers la pièce et je commence à mettre mes sandales plates à bout ronds, comme par défi, et je lui crie ma colère, ma frustration, toutes choses que je serais maintenant incapable de faire avec lui .. Et comme il reste imperturbable, je me mets à pleurer (en me forçant un peu) et me jette dans ses bras ..
Il a gagné, ou j'ai gagné, que dire ?  il cède tout de suite, ému par mes larmes et sans doute voyant une issue honorable au conflit.
Il ne se rassiera pas, il garde son manteau et me dit simplement avec cette redoutable douceur :"je passe te chercher à 20 h 30", avant de repartir dans la nuit déjà tombée.













Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : les blogs persos
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Jeudi 17 décembre 4 17 /12 /Déc 11:21

Violette :

Dans la voiture pour une fois je m’efforce de rester silencieuse. Tout à l’heure, j’ai compris qu’il ne faut pas trop jouer avec les mots, qu’avec toi c’est jouer avec le feu, dans certaines circonstances. Et que tu n’aimes pas les conflits.
Tu avais feins d’accepter  mon appréhension, mon refus qui avait pour but  principal de tester ta motivation, et  tes textos du matin : « je comprends, rentre bien, sois prudente sur la route, ce qu’on a vécu était déjà merveilleux .. » m’avaient stupéfiée et mise en colère.  Pure manipulation ? pas sur…
Si je n’avais plus envie, ou trop peur, tu n’avais plus envie non plus, c’était peut être aussi simple que ça.
Mais je  me suis vue abandonnée ici avec mes regrets en guise de remords, alors  je m’étais  jetée dans tes bras dans le couloir, quand tu étais venu rechercher des affaires à toi oubliées l’avant veille, et  n’étais tu pas arrivé après tout, une belle fleur –empoisonnée dit-on -  de datura à la main en guise de drapeau blanc, et un cadeau pour moi, cette chaînette dorée que je porte toujours à la cheville gauche ? Mes larmes ont fait pencher la balance…
« Je reviens te chercher tout à l’heure, à 20h30 » as tu conclu sobrement. »Et je n’ai pas décommandé Roland. »

Je ne demande pas mon reste, l’étrange contrat de cette semaine de folies sera donc accompli jusqu’au bout.

les anneauxCe donjon caché dans une banlieue improbable, nous l’avions inauguré toi et moi sous le soleil de juillet dans une séance inoubliable que tu as relatée ici (« les lauriers roses »).
Là ce sera différent. Tu allais avec mon consentement me livrer à ton co locataire, exécuteur des hautes et basses œuvres, inconnu de moi mis à part sa réputation d’être « complexe, et bien plus sadique que moi  » .. tout un programme.
Tu voulais cette preuve d’amour, sans vouloir de cet amour. Tu l’auras.. Et  maintenant que le top départ est donné, je ressens une forme d’allégresse, de défi, je veux vivre cette aventure jusqu’au bout !

Dans cette nuit de Halloween, - on vient de passer à l’heure d’hiver-  nous croisons devant les cafés éclairés, des jeunes déguisés qui s’amusent en criant,  j’ envie fugacement leurs  jeux innocents et puis la voiture noire s’enfonce dans les ombres et les solitudes de cette zone industrielle où il me semble impossible de se repérer. Tu ne me sembles pas spécialement nerveux, concentré sur le lacis de ces rues sans lumière, et qui portent des noms de poètes.

Silencieux, à part quelques mots anodins, nous sortons de la voiture pour nous diriger vers le donjon en essayant d’éviter flaques d’eaux et fange boueuse. Au figuré je ne l’éviterai pas si facilement cette fameuse fange ! ..
La façade sombre du garage se profile, dans ton impressionnant jeu de clés tu cherches celle qui  ouvre la porte sur l’arrière, et me précède à l’intérieur ;  le rez de chaussée est  encore en travaux, sentant le ciment frais, la peinture, l’humidité. Je retrouve les lieux tels que je les ai laissés quelques mois plus tôt, mais dans la nuit d’automne cette fois.
A ta suite je grimpe le raide escalier que je connais déjà, un peu gênée par mes bottines à talons aiguilles.
Et je franchis bravement  la porte basse qui m’avait tant impressionnée en juillet.
A l’intérieur, personne encore, l’invité ne doit arriver que dans quelques minutes. Tout a été minuté, prévu par toi, comme à ton habitude. Je n’en sais que ce que je dois savoir.

Juste  le  temps me faire voir  les nouveaux aménagements, le canapé à méridienne, les anneaux fixés au mur et dans le sol, le lit de style bizarrement « chalet suisse »,  et .. bien sur  à la place du soleil estival qui m’avait tant fait peur, inondant la pièce noire de sa lumière par les trois vasistas du haut plafond à poutrelles, le donjon  est ce soir faiblement éclairée par deux halogènes à ampoule rouge.
Tu  me fais asseoir sur la méridienne, me passe tout de suite des menottes et le lourd collier médiéval prolongé par une longue chaîne.
Tu  mets en route la sono, pas trop fort, la climatisation ronronne, il fait bon.
attenteattente3 

Ton silence en dit long sur la tension qui commence à s’emparer de toi, c’est après tout ma première séance dans ce contexte.. pluriel, tu dois te demander, tout comme moi,  comment je vais réagir, et douter au moins autant que moi ? 

Lui :

A cet instant précis, tu as déjà les yeux bandés. Tu es si nerveuse que tu m’as supplié : « mets-moi de la musique ».



Violette :

Maintenant  assez tendue, j’entends le moteur d’une voiture qui arrive et s’arrête, en bas. Les deux maîtres des lieux  heureusement rivalisent de ponctualité, une plus  longue attente aurait été insurmontable.
Tu me bandes rapidement les yeux avec un  masque de cuir et me demande de rester tranquille et de me taire,  j’entends des bruits de clé, de porte, des pas dans l’escalier, mon cœur s’accélère avant que ne s’ouvre la porte basse.

Je me veux invisible, je voudrais disparaître et j’ai peut être disparu, car les deux complices se saluent de façon anodine, devisent tranquillement comme si je n’étais pas là. Je ne veux pas le voir, pas encore,  et je ne chercherai pas à regarder par dessous le masque. Que cet homme vienne pour moi me semble à peine croyable.

Puis les voix deviennent chuchotements, je perçois des mouvements qui se rapprochent, je ne peux entendre ce qu’ils disent, le flash d’ une photo, puis d’une autre,  me fait sursauter, perçant l’obscurité où je suis plongée.

Enfin tu me fais lever, tirant sur la chaîne de mon collier, je sais un peu ce qu’il va se passer, car tu me l’avais raconté tout à l’heure, au moment de tout annuler-  puisque je ne viendrais pas ! Je m’avance à tâtons jusqu’au centre de la pièce.

Tu me fais agenouiller et me voici prosternée à même le sol, la joue tout  près de l’anneau où tu arrimes ma chaîne, très court, quelques maillons, ainsi que mes deux mains rapprochées par un cadenas. Cette mise en scène m’impressionne et m’excite terriblement, je ne suis qu’une chienne rétive à l’attache,  amenée au dressage, je ne peux m’opposer à rien et à ce moment précis j’entre dans le jeu avec une suspecte délectation.
Le nez dans la moquette,  je n’ai pas d’autre choix que de trouver mon équilibre sur mes coudes et mes genoux, cambrée au maximum, et c’est toi, qui soulève ma jupe, alors que je n’ai rien dessous,  m’invitant d ‘un geste à écarter davantage les cuisses, pour mieux m’offrir aux regards de ton acolyte.

Lui :

 ton collier métallique est relié à une longue chaîne. J’engage l’extrémité libre de la chaine dans l’anneau et je tire… « Suis la chaîne » t’ ordonnai-je.
Ton cou est tiré vers le bas. Tu n’as d’autre choix que de te mettre à quatre pattes, puis t’aplatir…c’est comme ça que je te veux : prosternée.
Je n’ai laissée à la chaîne que dix centimètres de jeu : je bloque en glissant un cadenas dans un des maillons, empêchant tout retour en arrière. Te voici rivée au sol, à ton anneau…Prise au piège comme un animal.


Violette :

Les conciliabules continuent, je n’en perçois que des bribes privées de sens. Dans cette posture d’attente humiliante, je préfèrerais  ne rien voir, ne rien entendre, mais cette situation improbable et pourtant bien  réelle ne m’est pas désagréable, bien au contraire.
Je n’aurai de cesse d’avoir envie de la renouveler, d’ailleurs cet  anneau,  « mon » anneau va devenir mon point d’ancrage, mon objet du désir, mon fantasme ..
Enfin je  sens tes doigts habiles   qui m’investissent avec cette douceur magique à laquelle je ne résiste pas, qui me révèle humide, et même trempée ..Et tes mains qui passent et repassent sur mon corps, pèsent sur ma nuque pour la ployer vers le sol ..  plusieurs flashes se déclenchent encore, les photos, je les trouverai belles quand je les verrai, celles là, oui, les seules où tu es avec moi, en plan éloigné.

prostern. nb
Lui : j’ai retroussé ta jupe, palpé la fente. Jus tiède et poisseux. Mouillée, mouillée à un point…

   halloween
Violette :

Puis je sens –il fallait bien que çà arrive – une présence étrangère se rapprocher de nous et, soudain deux mains rudes m’empoignent les seins, les dénudent, les malaxent sans aucun ménagements, la chaîne se bloque, se relâche, se bloque à nouveau durement quand j’essaie de me cambrer ou de reculer pour résister, oh, comme je vénère ta douceur, comme elle me manque en cet instant et pourtant tu es là tout proche, derrière moi et tu laisses faire, tu m’avais prévenue que je devrais affronter cette rudesse sans détours, et le contraste est saisissant.
Et l’autre s’agenouille face à moi, me relève la tête en m’empoignant par les cheveux, présente sa queue devant ma bouche, m’oblige à l’avaler ..
Erection molle au début cependant, ajoutant encore à mon humiliation !.. Je m’exécute néanmoins du mieux que je peux, qualifiée quand même de « bonne suceuse » et je reçois de fortes claques sur les fesses sans préavis, et de longs pinçons sur le bout de mes seins. Des familiarités  brutales qui en disent long sur le caractère du personnage !

Lui :

il a empoigné tes seins, tu tressailles, gémis aussitôt.
Tu sens bien que ces mains qui te palpent sans ménagement ne sont pas les miennes.
Il s’installe, s’assied, se positionne sous ton  menton.
Je suis surpris par la rapidité à laquelle il t’impose ses désirs.
Quelques secondes lui suffisent pour t’investir la bouche. Déjà ! Dans la pénombre, je distingue mal mais les bruits de succion ne laissent aucun doute : tu l’as sucé aussi vite que n’importe quelle pute avec un de ses clients.
« Elle suce bien cette salope ! «  remarque mon ami.


Violette :

Puis tu me détaches enfin du sol, me fait lever. C’est toi qui tout le long, sera le maître de cérémonie, gardien des clés à défaut de mon corps,  prenant l’initiative des « figures imposées » qui doivent s’accomplir. Je sais que le scénario est écrit dans ta tête, sûrement même griffonné sur quelques pages blanches.

Un peu plus détendue maintenant que je suis debout, je continue à jouer le jeu, me laisse attacher contre le mur brut peint en noir, les poignets relevés et fixés aux anneaux verticaux . A plusieurs reprises, l’autre m’invite d’un geste à m’accrocher aux chaînes qui me  retiennent « haut et court », en posant mes mains dessus. La relative obscurité que  je perçois malgré le masque me met à l’aise.
Pendant ce temps, tu es à mes pieds, réfugié dans la technique, fixant les fers de chevilles aux anneaux inférieurs, écartés l’un de l’autre bien sur, figurant ainsi une sorte de croix de St André assez ressemblante.


L’invité parle davantage, et fanfaronne, avec un accent du sud assez prononcé, une voix forte et joviale, mais qui me glace quand même par ce contraste étonnant entre les bons mots d’humour bien lourd et les remarques humiliantes à mon encontre.
Parfois, ils font comme si je n’étais pas présente, ou pas humaine, parlant de moi comme « elle ». Ce qui me permet de m’abstraire de la réalité, ce n’est pas plus mal.

Lui : l’emploi de la troisième personne du singulier est délibéré. Te voici ramenée à une chose, une marchandise femelle…

Violette :

Ils ont décidé après un bref conciliabule  de me laisser mes vêtements, et de me trousser comme une fille de ferme !  je sais que l’autre n’aime pas les rondes et ne flashe que sur les minettes anorexiques, donc  je resterai empêtrée toute la séance dans mon  petit haut noir Morgan et  ma jupe de tous les jours, forcément mis à mal, débraillés, c’est peut être un choix délibéré, je ne sais pas. 
« Raconte un peu à notre ami  ce que tu as fait l’autre jour à l’O..    , salope » m’ordonne mon maître en prémices de la punition qui m’attend, déroulant le scénario prévu. (il m’avait en effet confié que le prétexte de ma punition serait mon attitude indécente au club libertin, le lundi précédent)

anneaux6Etre enfin actrice de mon sort  me fait du bien, et c’est posément, avec une pointe d’humour et de suspense, et sans me presser surtout,(ce qui m’étonne énormément de moi mais j’ai besoin de gagner du temps!) que je raconte les épisodes précédents de ma récente dépravation : l’arrivée joueuse, le champagne, la boite presque vide à cette heure de l’après midi, la visite des lieux, et  .. tout le reste de mes exploits ..
Devinant que je reprends de l’assurance, « Tiens, elle parle celle là ? »-  mon tourmenteur commence à me fouetter sèchement, commentant mes exploits sans détours et avec une certaine ironie :
« alors comme ça, tu te fais mettre par le premier venu ? et par combien ? «
A chacune de mes réponses, données sur le mode provocateur,  nouvelle série de coups de martinet.
Assénés de façon vicieuse, imprévisible, à la suite d’un bon mot, et  parfois après  une longue pause, puis un coup très fort, qui m’arque et marque  le corps et m’arrache un cri, surtout s’il est répété quelques secondes après au même endroit ; alors la douleur est insupportable.

Je proteste pour la forme, sure de ne pas être entendue, et fière de ma performance, c’est juste le coté imprévisible des coups qui me fait palpiter de terreur anticipatrice .. Je veux vivre cet expérience cuisante au moins une fois, et  tu as voulu me montrer ce que c’était, peut être, me le faire regretter, qui sait ? C’est l’hypothèse la plus plausible, que je retiens, car cette correction fut aussi la dernière ..

Et toi, tu restes silencieux, et il me semble que tu es loin, sûrement assis sur le canapé pour profiter du spectacle, et prendre des photos ; tu te venges de mes scènes, de mes insolences, de mes stupides revendications, et comme tu n’aimes pas faire mal, tu laisses ce soin à ton acolyte .. Et il paraît que tu t’es  régalé…




Je me souviens en comprenant ma douleur comme c’était différent quand c’était toi qui me fouettais, les coups restaient largement supportables, mis à part les trois derniers peut être, à mesure que montait ton excitation.

Et surtout, tu les ponctuais toujours d’une lecture On se serait cru aux journées de la correspondance du château de Grignan ! .. Oui, tu avais pris la peine d’écrire à la main, sur trois feuilles de papier, les extraits de mes mails et interventions sur le forum,  insolents ou provocateurs, menaçants même, et tu me les lisais à haute voix très sérieusement, tout en me fouettant,  tel  un accusateur public, alors que moi ça me touchait et en même temps me faisait rire !

La, rien de tel, l’autre se contente de me donner des ordres brefs :
« Allez, tourne toi, à gauche, à droite ! Oui, c’est bien, comme ça .. Allez ! » La petite vidéo tournée par tes soins me montrera,  implacable, que j’obéis automatiquement, à mesure que ma peau rougit sous les coups ..
Tu t’effaces volontairement derrière l’autre, qui continue à me fustiger sans se lasser, ne m’épargnant pas les bons mots ni les sarcasmes, me faisant mariner en attendant la prochaine bordée de coups, et c’est atroce car ça ne finit pas, mais je ne craque pas, j’encaisse ..
Pour toi, mais aussi pour me punir d’en être arrivée là, pour ne pas pouvoir deviner, ce que tu ressens réellement, si ça te fait tellement plaisir et pourquoi ? ..
Et cela même plusieurs mois après je ne le sais pas, car tu n’as pas écrit ce récit là .. Je ne saisis  pas vraiment le but et  le sens de cette cérémonie barbare  mais c’est évident, jusque là tout va bien et  je m’y laisse aller avec une certaine délectation ..  J’aime en cet instant ne pas comprendre, n’être qu’un objet sexuel, à la merci de plus forts que moi et qui décident à ma place.

« Allez, on passe côté pile » annonce  le tourmenteur qui me détache pour ce faire, et pendant la courte pause je ne peux m’empêcher de regarder sous le masque qui a un peu glissé dans la bataille et  …  ce que je vois me sidère et donne un nouveau tour à l’action : l’homme qui me détache et me retourne pour me ré attacher le dos au mur, n’est pas celui que je  croyais !
Ma raison vacille, plus que jamais je perds mes repères !


J’ai du faire  erreur sur la personne parmi les multiples partenaires de jeu de mon maître, et celui la a un physique banal, une cinquantaine d’années, très maigre avec des lunettes, alors que je m’attendais à un grand costaud du genre sportif et dans la quarantaine !
Et pourtant tu sembles bien le connaître, plus tard ils riront de mes doutes,  il me faudra donc faire avec. Mais cette découverte me fait froid dans le dos. Impression qu’il l’a fait exprès, de me laisser dans le doute sur l’identité du partenaire.

Un peu déstabilisée ,  je me retrouve en position de plongée arrêtée,  retenue par les poignets, le buste penché en avant et je le verrai plus tard sur les photos, la chaîne de cou arrimée comme un cordage de bateau  à l’anneau du sol. Telle une crucifiée, je laisse pendre mes cheveux devant moi, essayant de protéger mon visage et surtout ne pas trop  voir ce qui va m’arriver.



Ma jupe est retombée sur mes cuisses rougies, l’autre s’en prend maintenant à mes seins qu’il vient de dénuder davantage,  exposés aux pinçons cruels et sans fin, au malaxage brutal, et maintenant aux coups systématiques  sur les côtés, des coups cinglants assénés de loin avec un instrument que je n’identifie pas. Qui se révèlera sur une photo être une cravache, ou une badine, je n’y connais pas grand chose ..  Les mots qu’il prononce je ne m’en souviens plus, je suis propulsée dans un monde hors du monde, rien ne compte plus que la douleur et l’attente de la douleur, juste concentrée sur la nécessité de supporter .. Prononcer le safe word ne me vient donc  même pas à l’esprit, tant le conditionnement est réussi.

Et toi tu assistes à cette dangereuse correction  sans t’insurger, je n’ose t’implorer, pas question non plus d’employer le safe word qui arrêterait tout (« la soumise pourra le prononcer  mais  a ses risques et périls pour l’avenir de la relation »). Je ne veux pas te décevoir,
arrivée à ce point.constatdepolice
Violette restera violette et presque noire à cet endroit fragile, pendant plusieurs semaines mes seins se souviendront de la morsure du cuir .. C’était  assez terrifiant à voir, mais pour l’heure je n’imagine même pas ces marques futures, entièrement dans l’instant présent.sévices

Plus encore, tu t’agenouilles près de moi et commence à me caresser à ta façon inimitable, insistante et langoureuse, sûr de faire couler rapidement la source que tu aimes, que je sens sourdre sous tes doigts, inéluctablement. Tu me caresses si tendrement alors que j’ai encore  si mal, , et je mouille quand même, et tu aimes ça ..
Tu trouves ça dingue que je mouille tout en subissant cette violence, tu le dis je crois, et moi je ne sais plus où j’en suis, si je dois t’en vouloir ou te remercier, te quitter dans un dernier sursaut de raison ou m’accrocher à ce tout petit territoire que tu veux bien me concéder depuis la rentrée, en échange d’être devenue cet objet de luxure et de dépravation.

Alors je sais que tu vas avoir besoin et envie de me faire à nouveau allonger sur cette table, - dite la table d’infamie depuis que tu l’as faite entrer au donjon en me demandant mon avis pour l’achat ! -  les jambes relevées et arrimées à cette sorte de trapèze volant qui la surmonte, les bras étendus en arrières et attachés par des menottes fixes.

Et  maintenant tu m’as retiré le masque et je peux tout voir.

« Vous n’êtes pas celui que je crois. » osé je dire à celui qui m’attache les chevilles sur le trapèze.
Vous avez beau vous moquer et nier l’évidence, je sais que j’ai été trompée sur la personne, et pourquoi ? Ou alors c’est moi qui ai  mal interprété tes explications et tout mélangé .. Qu’importe au fond, c’est toi qui a le choix de ceux à qui tu me livres.

Tu restes à côté de moi pendant que l’autre s’installe entre mes cuisses, les claquant à l’intérieur – ça fait mal !-  et les plaquant contre la table.

Ta main chaude serre la mienne,  tu m’embrasses sur le front, la bouche, je croise ton regard indéchiffrable, un peu fiévreux,  tu me demandes une fois de plus, à voix basse, si ça va, .. être réconfortée par l’être qui vous livre ainsi à l’infamie est un sentiment très étrange, paradoxal, déjà ressenti à l’O…. , mais ici encore plus évident. C’est ça être maso ?  me dis je dans un semblant de réflexion .. Cette  forme d’amour dévoyé, absolu ?

sodo en mi majeurMais l’autre me pénètre maintenant au plus intime, tu lui as même passé le gel pour lui faciliter les choses, et tu ironises maintenant sur ton thème de prédilection : ta chienne lyonnaise a fait encore ses 450 km pour écarter les cuisses, et se faire mettre par plusieurs queues, c’est une vraie salope, et oui, je dois le confirmer  pendant que l’autre me pénètre  à grands coups de boutoir, et me travaille en même temps le clito avec une méchanceté rare  qui me rend proche de la jouissance cependant .. mes soubresauts parviennent à déplacer la table,  instinctivement je remonte pour échapper à cette  étreinte inconnue  et chaque fois suis saisie par les cuisses et ramenée rudement sur le bord  ..
Tu  te penches et me prends par les cheveux et  tourne mon visage contre ton sexe dressé à coté de moi, que je happe avec une plaisir évident .. Tu me prends par les cheveux et me voilà ramenée aux ancestraux instincts des femelles préhistoriques
!

Lui :

Lui : c’est moi qui ait fait signe à S. qu’il pouvait y aller, moi qui lui ait tendu le lubrifiant. C’est absolument délicieux de le voir peu à peu prendre ton cul. Imprimant d’abord un prudent mouvement de va-et-vient, il  va de plus en plus fort dans tes entrailles. Cette vision me fait bander comme un malade.
Et je t’entends gémir  : « non no nnon…oui oui oui ».
Et S. de s’esclaffer : « nonnonnon…ouiouioui ! tu ne sais dire que ça ! »  «  On va te le baiser à fond, ton cul, espèce de traînée !» gueule-t-il tout en te cassant le cul..
Je n’y tiens plus, je fourre ma queue dans ta bouche de  salope, t’empoignant fermement par les cheveux Je sais que tu adores ça.  Quelques minutes encore et S. me fait signe de prendre sa place….




Le temps passe, combien de temps cela va durer ? Maintenant c’est ton tour, pourquoi d’ailleurs  toi en deuxième ? quelle étrange vassalité te lie à cet être brutal et fébrile  qui partage avec toi  ce territoire étrange ?
Pendant que je te retrouve avec bonheur, pendant que tu me possèdes enfin,  l’autre vient à ta place, près de mon visage,  me tourne la tête vers lui et commence me baiser la bouche, qu’il a bizarrement photographiée en gros plan juste avant.
Je crois qu’à un moment on me remet le masque, ou je ferme les yeux, l’autre approche sa queue de ma bouche ..  Il appelle ça une « transfusion » dans son langage imagé .. Je n’arrive pas à intégrer ce qu’il me fait, à reconnaître le goût du sperme,  Je pense plutôt  à une sorte de drogue, du sang bien sur, ou à de l’urine, tellement son érection est peu satisfaisante ! Je ne sais même pas s’il a déjà  pris son plaisir tellement je suis ailleurs.

Je me conduis comme une oie blanche, totalement déstabilisée, ne sachant que faire de ce liquide inconnu ! avaler ou  cracher ?  Il  est très amer…Je choisis de l’avaler, car à vrai dire, je n’ai .. pas le choix.

Et toi pendant ce temps tu laisses toujours faire tout en ne me quittant pas du regard, et me pistonne allègrement, insouciant, arborant ce sourire canaille que je connais bien et qui me fait craquer ..  Avec toi, ça va toujours bien, je me laisse aller, confiante, en pays connu, je me caresse en même temps, à ta grande satisfaction ..

Lui :
bien sûr que je l’ai laissé « ouvrir la voie ». Je n’aime rien tant que rentrer dans un trou du cul qui a été bien élargi par la queue du copain passée avant
Il t’a rendu facile à prendre, facile à baiser. A peine ai-je poussé que ma queue est rentrée dans ton cul, Violette, aussi vite qu’un escargot rentrant dans sa coquille…
Je n’ai pas le souvenir, de ma vie, d’une sodomie aussi agréable…d’une muqueuse chaude et palpitante autour de moi. Oui, je me suis régalé..


Enfin je suis détachée de cette table, j’ai chaud, une fois libre je me sens soulagée, presque détendue, et par bravade  j’arrache mon pull et ma jupe, ah vous n’aimez pas les rondes, eh bien vous allez la voir celle que vous avez bien utilisée malgré tout ! Vous ne chipotiez pas tant que ça !

Lui :

 tu "oublies" une bonne partie de la suite. Après t’avoir bien ramonée, je défourne, et X. reprend ma place. Et tu me donnes ensuite, sans t’en rendre compte, la nième joie de la soirée : le consentement automatique. S. t’encule à nouveau…et tu gémis.. sans même t’en rendre compte, tu lui offres tes gémissements…et moi qui te demande : « allez ! dis-le que tu es une chienne ! dis-le». Et toi : « oui, je suis une chienne ! ». Je t’ai fait répéter, pour être sûr d’avoir bien entendu…Ensuite, oui, je t’ai libérer tes mains des menottes…
Mais tu étais toujours allongé sur la table, enculée par X.. Et quand celui-ci, pour ajouter à son plaisir de voir sa bite fichée dans ton rectum, t’a ordonné de te masturber, eh bien oui, salope, tu as fini par mettre  tes doigts sur ta motte ! et ça s’est passé comme ça :

S. : « Caresses-toi ! je veux te voir te branler ! »
Tu refuses et je me suis dit que je n’aurais pas dû te détacher les mains. Dès que je te laisse un peu d’espace, tu t’esquives comme une anguille.
V. : « mais c’est que…je n’arriverai pas à jouir.. »
S. : « Je veux que tu te branles, non pour te faire jouir, mais pour bien montrer que tu es une cochonne. »
Et là, oui, pour notre plus grand plaisir, tu as obtempéré… sodo avec t




Tu  m ‘invites sur le canapé, et je viens, dédaignant ton invité qui voudrais me faire ranimer sa bite ramollie, je m’empale sur toi, qui est prêt,  je n’obéis qu’à toi, je ne suis  qu’à toi. Je te chevauche, puis c’est toi, devant l’autre assis à coté qui joue l’indifférent.
Pour la énième fois, le MP3 qui tourne en boucle diffuse entre autres la musique du « Mépris » si tendre et si sensuelle, .. Pour te montrer que je vais bien, je fais ma Brigitte Bardot : » Tu aimes mes seins ? Tu aimes mes jambes ? etc .. » Tu me souris, je te souris, quelque chose passe de plus parlant qu’un Ange et rien n’est grave .. L’autre est oublié dans son coin. Il paraît que c’est toujours le lot du « 3e larron », dans une relation de ce genre.

Lui :
 j’ai le souvenir de tes cuisses tremblantes, quand tu te positionnes, sur le divan, pour me chevaucher.. Tes cuisses tremblantes et aussi ces gouttes de jus tiède qui tombent sur mes cuisses, juste au moment de t’empaler sur ma bite… l’autre est oublié dans son coin, dis-tu, mais quand il te demande de creuser les reins et de mettre les mains sur les hanches, tu lui obéis aussitôt…



Ainsi s’achèvera cette étrange soirée de Halloween, masque et bas les masques, la seule soirée d’orgie permise dans la légendaire celtique, alors pourquoi pas ?
Le frigo est en panne, il n’y aura même pas le verre des combattants, et je pars dans la nuit avec toi, un peu sonnés sans doute , mais ne le sachant pas Tout le monde s’est dit au revoir de façon très urbaine, et désinvolte.

En route tu t’arrêtes à une station service, va payer à l’avance mais .. tu allais oublier de prendre l’essence à la pompe ! Ce qui trahit ton état de stress, et nous met un instant sur pied d’égalité. A cause de cet incident, je ne t’en voudrai pas, pire encore, ça m’émeut ..
conclusion3.jpg
Tu me dis, comme le jour de mon arrivée, qu’on se reverra, en me regardant bien dans les yeux, tes yeux bleus si clairs que j’ai vu sombres la toute première fois dans mon égarement, mais c’est vrai qu’on se regarde  en face, maintenant. Même cette nuit.


Tu me dis que tu es fier de moi, que je me suis bien comportée.

 


Que répondre ? Je ne comprends pas bien tes motivations, et maintenant que tu as abattu tous mes tabous uns à un, depuis huit mois, que te reste-t-il à vouloir de moi ?



Lui : il est plus de minuit et le carrosse se changerait-il en citrouille ? Non, ce n’est pas le carrosse mais le prince charmant qui devient citrouille… A cette heure tardive, avec l’excitation et l’émotion, ma capacité de réflexion se réduit en effet à celle d’un légume…Il m’a manqué un peu de temps pour te permettre un atterrissage en douceur…

Tu es laissée à toi-même trop vite, trop longtemps,  et j’en conviens


Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 18 décembre 5 18 /12 /Déc 17:49

Je suis rentrée chez moi au terme de cette semaine un peu folle, blessée physiquement (mes hématomes sur les seins) et moralement (son absence de plusieurs jours, il n’a pas pu trouver deux minutes pour retourner au bureau pendant le week end  prolongé  et prendre de mes nouvelles). Et cette fois, aucune lettre ne m’attendait.

Tout cela tournait au drame et sentait la fin, mais j’étais tellement détruite que je le ressentais à peine, occupée à me réparer, à  tirer les leçons de mon inconséquence et de toute cette débauche inutile. A me relever et reprendre si possible l’avantage.

 

Nous sommes donc début novembre. Dès le mardi, de retour de week end, il me recontacte, et son ton me surprend : je le sens bouleversé, et .. amoureux. Au bout de plusieurs minutes de conversation sur MSN, il me l’avoue,  à mon immense surprise. 

J’attribuerai cela à un sentiment de culpabilité plus qu’à un sentiment tout court.

Je ne me tromperai qu’à moitié, cela n’est qu’un début, une amorce de ce qu’il     éprouvera vraiment plus tard, bien plus tard, mais les mois qui vont suivre seront très difficiles pour moi, car je serai victime de sa duplicité sans bornes.

 

Profitant tout de même de ses bonnes dispositions, estimant avoir mérité toutes ces attentions nouvelles, je pousse – je crois pousser mon avantage – en exigeant de lui qu’il rompe tout à fait avec sa précédente petite soumise, E. on s’en souvient.

 

Elle n’avait pas fait parler d’elle depuis deux mois et demi, mais je la supposais tapie dans l’ombre, en réserve, bien que L. me soutienne qu’elle ne l’attirait pas plus que ça, et qu’il ne l’avait pas revue, même si la géographie la favorisait ..

Il poussa le vice jusqu’à lui écrire un faux mail de rupture. Après m’avoir envoyé le double de deux ou trois échanges assez récents, pour information. 
Leur pauvreté stéréotypée, leur pragmatisme peu romantique, m’avaient suffisamment rassurée pour que je crois à cette histoire  et que le mail de rupture définitive, gentil mais net, me semble vraisemblable !

Pauvre naive que j’étais !! Des mois et des mois plus tard, lorsque’ j’eus tout découvert (ou plutôt qu’il m’eut tout avoué, tout montré, sous prétexte de sincérité !) j’ai pu lire le vrai mail qui  précéda celui la !!

L. prévenait sa soumise qu’elle allait recevoir un faux mail de rupture, et qu’elle ne devait pas s’inquiéter ! Que j’étais capable de lui en  demander une copie et qu’il lui fallait l’écrire, donc.


 
Date: Thu, 20 Nov 2008 16:26:59 +0100

chère petite soumise, bonjour. Le mail qui va suivre est celui de la "vraie fausse rupture" (à l'intention de V.). Donc, ne t'angoisse pas et n'en tiens pas compte.
Tu travailles à C.  le WE: est-ce à dire que tous tes WE seront indisponibles?
 Une certitude: on se reverra, et ce pour une raison très simple: j'ai envie de te revoir.

Ton Maitre.


E., désolé...Mon silence signifie la fin de ton dressage...
Je mets fin à cette histoire pour deux raisons: la première est que je m'occupe préférentiellement d'une autre soumise, rencontrée à la même époque que toi, Violette, dont je t'ai un peu parlée. Violette a fait d'énormes progrès, bien au delà de ce que je pensais.
Une relation intense (déraisonnable autant qu'imprévue) s'est nouée entre elle et moi.
La seconde est que Violette est d'une extrème jalousie. Elle sait depuis longtemps que j'ai une autre soumise (je lui ai parlé de toi), et elle m'a fait comprendre que celà lui pourrissait la vie.
Je tiens à Violette  plus qu'à toute autre...
Probablement qu'une seule des deux raisons n'aurait pas suffi et que j'aurais continué à te voir de temps en temps. Mais la combinaison des deux fait que ma décision est prise:
je ne veux pas  perdre Violette.
Tu es jeune, E. , tu es forte et tu rencontreras d'autres personnes.

Je te souhaite bonne chance.   

Ton ex-maitre.

Et sa réponse à elle, sans trop se soucier des mots qu'il a employés me concernant ...

bonjour maître,
oui effectivement je travaille tous les WE à C.  ce qui signifie que tous mes samedis sont pris ...
J'ai bien reçu votre mail de rupture ... ça fait quand même bizarre ...
J'espère vraiment qu'on se reverra ...
 
A bientôt votre soumise.



lui
pardon pour le mail mais l'objectif est atteint: je ne joue pas avec vous deux mais je la veux juste plus sereine.. Quant à toi, je viens te voir un jeudi après-midi en Janvier? Ci-joint, une petite photo des anneaux au mur. Je t'embrasse. Ton Maitre 

En fait ils se sont vus le 3 décembre, incapables d'attendre davantage!!  et moi oui je "patientais" ..



E. était donc au courant de mon existence et ne s’en inquiétait pas plus que ça. En dépit du faux mail qui pourtant la mettait sur la piste!! Avec l’insolence de la jeunesse, elle pensait sans doute que cet atout était un atout maître et qu’il suffisait à lui donner l’avantage sur moi. Que je n’existais pas. Elle avait décidé aussi qu’elle n’était ni amoureuse ni jalouse  (mais c’est lui qui lui avait suggéré cette condition en fait) et  j’existais donc encore moins. Ce qui excita ma fixation sur elle, au contraire, tout le temps que je me suis sentie menacée, par la suite.

Mais pour l’instant, il a rompu avec elle et je le crois. J’estime que notre relation vaut bien mieux que celle qu’il a eu avec cette gamine même pas jolie, même pas aguichante. Bêtement soumise comme dans les mauvais romans érotiques.

Cependant l’arbre cachait la forêt, à cette époque où les arbres pourtant perdent leurs feuilles !

 

Quand m’a t il parlé d’Anna la jeune  et nouvelle soumise de son ami Roland que l’on connaît déjà ? Roland. ne jure plus que par elle, vit avec elle et la présente à tous les amis du donjon .. Je suppose qu’à L aussi bien sur, mais tout reste flou dans mon souvenir, il a gardé le secret je crois, jusqu’en mars.

ET pourtant bien sur je supposais bien que le donjon ne chômait pas, car il me décrivait les nouveaux aménagements peu à peu installés : un lit, une croix de  St André, des commodes pour ranger les accessoires, des spots rouges, et cette cage que L construisait pour moi, barreau après barreau.

Je m’y accrochais pendant ce rude hiver, aux barreaux de cette cage, c’était mon seul repère, Dieu sait pourquoi, je le croyais quand il disait qu’elle serait pour moi seule, du moins la première fois.

Mais je supposais bien qu’il y avait d’autres séances, d’autres rencontres où A. jouait un rôle important.

Et  je n’étais pas convoquée, moi. Autre symptôme.

 

Les semaines passaient vite. T. . se prétendait fatigué, à bout, voire épuisé,  je le crois car moi même à cette époque noire de l’Avent, je suis au 36e dessous, le froid et la nuit me rendent triste, inquiète, ainsi que l’approche des fêtes et des réunions de famille.

Alors je comprenais.

 J’acceptai de guerre lasse,  de reporter notre rendez vous, prévu pour le 20 décembre 2008. Et pourtant comme je l’attendais et le fantasmais !

 

Le plus dur fut d’aller me faire rembourser les billets de train, c’était « ma première vraie défaite », je pleurais en quittant le guichet de la gare après cette opération humiliante, au lieu d’aller allègrement dépenser l’argent ainsi récupéré !

Jusqu’au bout j’ai essayé de le joindre, au cas où il changerait d’avis.

Mais non. Et quelques jours plus tard je suis partie en haute  montagne jouer les serveuses bénévoles dans un lieu de pèlerinage, mon ressourcement annuel si précieux pour moi.

Cela m’a fait du bien, surtout qu’il m’envoya un sms pour me souhaiter un joyeux Noel.

On verrait l’année prochaine ..

 

Il irait mieux, les jours rallongeraient, mes cheveux aussi (je les avais fait couper trop court en août) un ancien soupirant, aussi, avait repris contact avec moi, un temps découragé par ma relation obstinée avec L. Et ça m’avait fait un bien fou !

 

Et pourtant, ce que j’ai appris par la suite, j’étais loin de l’imaginer.

Je pourrais le raconter à l’époque où je l’ai su, c’est a dire très longtemps après, en mars, mais le trimestre suivant reste une période floue, incertaine, où tour à tour il me rejetait et m’attirait à lui, j’étais ainsi ballotée, niée et récupérée,  et je n’avais pas le courage de mettre un terme à tout cela.

 

Alors les faits.

 

Déjà, une semaine tout juste après la fameuse séance d’Halloween, alors qu’il se disait pratiquement amoureux de moi, il participait à « l’entrée dans le monde » de  A. en compagnie Rolandet d’un autre comparse, R.  l’ homme aux chaussettes blanches (ce détail ridicule m’a beaucoup aidée à supporter la crudité des photos que T. m’a ensuite complaisamment montrées en mars 2009 et que je montrerai plus tard.)

 

Les séances (il y en eu une autre le 21 novembre) se ressemblaient beaucoup et aussi à la mienne, sauf que l’héroïne en était plus  .. suave, mince et gracieuse,  très  à l’aise dans son rôle bien qu’elle débutât aussi. Mais son dom, X. était bien plus exigeant et motivé que L. plus rigoureux -  et aussi, ils vivaient ensemble, bientôt d’ailleurs installés au rez de chaussée du donjon.

 

Pour E.  queT. recontacta pendant le mois de novembre, je le sus encore plus tard ! quand en septembre 2009 il m’ouvrit carrément les mots de passe de ses boites email pour que je « sache tout » et qu’il en finisse avec les tromperies- alors qu’il aurait du se taire à jamais, bien sur !–

J’ai donc découvert plus de six mois de tromperie et de liaison parallèle avec son « petit objet », celle qu’il appelait « Mimi » ou « sa soumise attitrée » pendant tout ce temps qu’il était aussi avec moi !!

Il s’était donné pour but de la déflorer (à 20 ans il était temps !) et il lui a fallu pour cela plus d’un an. Pas très glorieux, mais aussi révélateur, sans doute, d ‘un certain manque d’envie ?

En tout cas, il y eut plusieurs essais, le 3 décembre, le 14 janvier, le 11 février (un échec cuisant), mais ces séances, quand j’en vis les images sur la boite d’envoi me firent très mal, bien plus que celles d’A.

Car faute de mieux, il réalisa avec elle ce qu’il fit avec moi quelques semaines ou même quelques jours plus tard (voir « Les Mimosas ») : les mêmes rites, les mêmes gestes, et cela me reste insupportable ! Totalement insupportable. Même pour la cage, j’ai un doute, car ses photos ne sont pas datées du vrai jour.

Une semaine avant moi, il a fait cette photo pour notre site bdsm, une des participante fantasmait sur « la soumise qui embrasse la chaussure de son maitre », et on s’était amusés, L et moi, à la réaliser le 18 février ! Innocente que j’étais !! Une semaine avant, il avait fait la même avec son oie blanche, sans doute rageant de ne pouvoir, par égard pour moi, l’exposer également à la vue du forum  et passer pour le pacha de son harem !!

 

février1                            dédicace1

Elle (3 décembre)                                                            Moi (18 février)

Pareil pour l’anneau du sol, le fameux anneau où il avait eu l’idée de m’attacher court lors de la séance de Halloween, eh bien il a fait de même avec E., quelques mois plus tard, avec le même collier et la même pose ! L’écrire me fait encore bouillir de colère impuissante devant tant de perversité !

 

La cage lui servit après moi également, mais en suis je vraiment sure ? cette  photo d’elle daterait du 14 avril, la mienne du 18 février. D’accord elle est plus jeune, mais .. y a pas photo non ?

 

Emily cage air stupide    cage

 

Il n’empêche que je fus folle de jalousie à la vue de ce « copy cat » qu’il m’imposait, et que j’avais éliminé de mes pensées depuis bien longtemps ! Furieuse après moi aussi de n’avoir pas pensé à ça, d’avoir trop vite tiré un trait sur sa petite histoire.

Et pourtant, elle m’avait précédée d’un mois comme je l’ai dit au début, et comme je n’étais à l’époque ni amoureuse ni jalouse, l’expérience qu’il m’avait complaisamment racontée, m’avait en quelque sorte rassurée : la jeune fille s’en était sortie vivante ! Si elle avait eu le courage de sauter le pas, je l’aurais aussi. Oui, ça s’engageait mal déjà, cette affaire ..

Et L. ne cessa de jouer sur ce fait : "que je devais beaucoup à E.  Qu’elle avait été pour moi l’aiguillon nécessaire et dont il s’était servi pour me convaincre ! "

En fait de manipulateur, il n’y a pas pire ..

 

En résumé, car je sens poindre la migraine :

Pour les séances avec Anna . j’ai été au courant quatre mois plus tard.

Pour les séances avec E., neuf mois plus tard, après la reprise de leur relation début décembre 2008.

 

Voici les images de ces trahisons -  prévisibles pourtant .. Qui peut m’assurer que même aujourd’hui, d’autres turpitudes inconnues ne  se passent pas en ces lieux fascinants, et que je ne les connaîtrai que dans six mois ?

 

 

 

 

 

 

 

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Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit - Communauté : plaisirs SM
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Vendredi 18 décembre 5 18 /12 /Déc 18:24

Stop à la prise de tête.

Il faut maintenant "montrer les preuves de ce que j'avance", et livrer ici, même si cela fait mal, les activités secrètes (c'est à dire sans moi) du donjon, que j'ai découvert sans l'exiger, juste parce qu'il avait envie que finalement je les  voie.

Celles qui concernent A., je les ai vues le jour où T.  m'a laissé les clés de son album secret, pour que je réorganise, soi disant, le bazar qui y régnait.
Il a donc voulu que je les voie, que je comprenne, suppute, déduise dates et circonstances.
Et voici le fruit de mes efforts.

Première séance avec A. : 8 novembre 2008,  - soit 9 jours après mon "Halloween" plus ou moins réussi.

C'est donc l'amie du fameux X. qu'on ne verra pas car c'est lui qui prend les photos L'homme en chaussettes blanches est un troisième larron, disparu du paysage depuis.

  DSCF0007 A. soi disant débutante, a l'air totalement à l'aise dans cet environnement inquiétant, le soir de sa "présentation" - déguisée en lolita à jupe écossaise.

 

Les deux compères commencent à l'attacher aux anneaux du mur, la croix de St André n'a pas encore été livrée. ?Notons l'agenouillement à ses pieds de ces deux apprentis doms ..

La voici a demi nue, avec toujours les deux hommes à ses pieds!

En réalité, ils doivent s'escrimer à fixer à ses chevilles la barre de contrainte que je connais bien aussi ..

La victime a toujours l'air aussi détendue.








DSCF0025  DSCF0031

Il y eut plus ce soir là, de coups de langue que de coups de fouet!

  DSCF0109

Petit passage obligé sur la solide table suédoise ...  toujours de la tendresse, pas de sm cette fois!

a.-floue.jpg 

Et voila ..


A...  Séance du 21 novembre 2008


C'est L. qui lui passe le collier après qu'elle ait sagement attendu sur le canapé : sérieux doute, serait ce lui, son dom ?  Ils se parlent avec une complicité suspecte ..


  a.-flou.jpg 

a. flou 1



















DSCF0035[1] DSCF0047[1]


DSCF0051[1]DSCF0145

Les chaussettes blanches se déchainent .. puis, mise au carcan forgé tout exprès en 2007.


DSCF0154 Autre pose rendue possible par ce carcan ..

Donc voici deux soirées très rapprochées, avec les mêmes participants et le même scénario : seule diffère la couleur de la jupette ..

Il se peut que T . en aie eu assez, et qu'il aie à ce moment rappelé en renfort la soumise oubliée, E.  qu'il devait toujours on s'en souvient, dépuceler. Il lui avait promis solenellement.


Petite séance seul  avec E., le 3 décembre, et je ne suis toujours au courant de rien!

 Incapables de passer aux actes l'un comme l'autre, il se rabat sur ce joli plan B. (B. comme  Bondage)




3 déc  3 déc 2008




Il y aura encore deux séances au début de l'hiver .. plus peut etre, sans photos, car elle avait l'air d'etre abonnée au TER de 13.32, "comme d'habitude" lui écrivait elle innocemment, pas consciente qu'il ne faut  jamais employer ce genre de mots avec celui que l'on convoite comme amant ..

En vrac, avant notre rencontre imprévue de la mi février, là encore des copies, ou des avant premières, prenait il un malin plaisir à répéter ces positions, ces gestes ?  j'en suis persuadée, et je ne peux pas lui pardonner.


Bon, cela me fait un peu gerber tout ça, overdose. Inutiles regrets de n'avoir pas compris, deviné ..

Je vais arrêter la ce chapitre, et écrire la suite, cette journée volée à toute cette fange et tous ces mensonges, une belle après midi de février 2009 ..

Il m'avait offert un livre, des mimosas,  tout cela m'a semblé sur le moment très romantique, alors je n'ai rien demandé, je n'ai pas pleuré, j'étais juste bien, mais il me restait encore un long parcours, avant de toucher au but ..

Par Violette-et-Lui - Publié dans : Récit
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